Maison de l'oncle de Deädranös (avec Filigel) [VRM Privée]

Deädranös remontait la rue avec Filigel dans ses bras, cette fois-ci, elle ne s'était pas endormie. Il y avait beaucoup de bruit sur la Rue de la Rosée, tout les marchands et travailleurs qui passait d'un côté et de l'autre de la rue lui donnait le tournis.
Deädranös marchait d'un pas rapide, mais assez lent pour ne pas importuné Filigel. Il jetta un regard circulaire dans la rue et ses yeux s'arrêtèrent sur une maison de taille moyenne. Il marcha vers cette maison, une fois devant la porte, il la regarda avec attention, elle n'avais aucune poigné. Il regarda la porte d'un air sérieux, tandis que Filigel n'y comprenait absolument rien.

- Il s'agit d'un nouveau moyen de vérouillé les portes, mon oncle la fait installé sur la sienne. Mais je connais le code qui l'ouvre, regarde tu vas comprendre. Feurimar

Aussitôt qu'il eut prononcé la dernière syllable de son nom de famille, la porte s'ouvrit d'elle-même, révélant une belle maison très bien meublé et luxueuse. Il y entra sans hésité et se dirigea vers le salon, pendant se moment, la porte se refermait d'elle-même derrière eux.

Filigel regardait les alentours avec attention: elle était rarement allée dans le village, restant plutôt dans les alentours de l'école. Alors qu'il entrait dans la maison de son oncle, Deadranos lui expliquait le mécanisme de serrure de la porte. Fili trouva cette façon très étrange, mais du moins sécuritaire, et se demanda si, une fois refermée, la porte se barrait automatiquement. Lorsqu'ils furent arrivés dans le salon, la jeune Elfe se sentit basculée légèrement vers l'arrière et se retrouva allongée sur un divan fort confortable. Elle prit alors Deadranos par le collet et le rapprocha le plus possible, l'embrassant avec fougue et passion, son autre main placée sur la taille du jeune homme et l'obligeant à se rapprocher d'elle.

"Tu es sûr qu'on ne se fera pas surprendre?", lui demanda-t-elle, avec une voix douce comme le miel.

Deädranös arriva dans le salon avec Filigel dans les bras, il la fit basculé légèrement vers le divan ou elle tomba mollement. Elle fit un sourire de confort, Deädranös n'eut même pas le temps de réagir qu'elle le prit par la taille et l'emena sur elle. Filigel lui fit ensuite par de ses craintes de se faire prendre, ce qui fit sourire Deädranös, normalement c'était lui qui était inquiet.

- Ne t'en fait pas, mon oncle ne reviens que tard le soir, alors nos chances de ce faire coincé son exactement de ... (Il marqua un temps de pose durant lesquels il sembalti réfléchir intensément) ... 0%. Nous avons la maison à nous tout seul jusqu'à minuit, es-ce que nous avons assez de temps à ton avis? Et présentement, il est ... (Il leva le bras et regarda sa montre) ... 14 heure, alors nous avons tout le temps du monde.

Deädranös ne la laissa même pas répondre, il se pencha sur elle et l'embrassa avec passion. Il ouvrait la bouche afin que leur langue entre en contact. Il retira de nouveau sa tunique rapidement en se relevant juste assez afin d'avoir l'espace necessaire.
C'est alors qu'il pensa que le divan n'était certainement pas le meilleur endroit, il prit Filigel par la taille en revenant sur ses jambes et la serra contre lui. Les pieds de sa chérie de touchait plus le sol et elle avait enroulé ses jambes autour de sa taille afin de se maintenir en place.
Deädranös se dirigea ensuite vers les escaliers afin de monté à l'étage ou se trouvait sa chambre.

Filigel se laissa porter par son amoureux, rassurée par ses paroles. Elle serra très fort la taille de son amour, afin de se maintenir en équilibre dans les airs. Lorsqu'ils arrivèrent finalement à la chambre, Fili se sentit une fois de plus renversée par derrière et se retrouva, encore une fois, couchée sur le dos. Cette fois, parcontre, elle avait beaucoup plus d'espace vu qu'ils étaient dans un lit double, et non pas sur un divan! La jeune Elfe, suivant ses instincts animals, caressa doucement le dos de deadranos, pour ensuite descendre jusqu'à ses fesses et se glisser vers son entre-jambe. Caressant doucement celui-ci, elle faisait son possible pour faire plaisir à l'homme qu'elle aimait. N'ayant jamais été aimée réciproquement, elle ignorait totalement les plaisirs de l'amour et elle ne faisait que se laisser aller à ses instincts naturels de femelle.(lol ça me fait penser à mon chum de dire ça: femelle lol(il me dit ça souvent))

Aussiôt que Filigel fut sur le lit, Deädranös vint se placé par dessus elle, il pouvait sentir la main de son amour lui parcourir le dos, finissant sa course dans ses sous-vêtements. Un grand frisson de plaisir lui parcoura tout le corps et une grande chaleur émanait de lui. Sa température avait monté d'un cran, mais cela était tout à fait normal vue les circonstances.
Deädranös se renversa lui-même sur le dos, afin que Filigel soit par-dessus lui, il pu lui retiré sa tunique avec une délicatesse que lui-même ne se connaissait pas.
Il se retrouvai ensuite devant un problème encore plus grand, les sous-vêtements, mais ne voulant pas perdre de temps avec sa, il fit chauffé ses mains et affaibli le tissu, le cassant avec une légère pression.
Ses yeux parcourèrent le corps mur de sa bien-aimé avec envie. Il la saisit et la serra contre lui, l'embrassa avec fougue, caressant sa poitrine avec douceur.

Filigel fut étonnée de le voir casser ses sous-vêtements d'une telle manière. elle se surprit à penser que s'il continuait comme ça à l'avenir, elle n'aurait bientôt plus aucun sous-vêtement à se mettre!

"J'espère que tu vas m'en racheter un!", blagua-t-elle, alors qu'elle se penchait vers lui pour l'embrasser.

L'Elfe frémit lorsque Deadranos commença à caresser sa poitrine. Jamais elle n'avait vécut celà, et elle devait avouer que c'était hautement agréable! Ne sachant trop que faire en étant ainsi par-dessus lui, elle laissa aller son imagination et embrassa petit à petit chaque centimètre de peau du torse de son bien-aimé. Puis, elle alla embrasser délicatement son entre-jambe, pour ensuite remonter vers son cou et finir près de son oreille. D'une voix incertaine et légèrement tremblante, elle murmura au jeune homme:

"C'est...c'est la première fois que je vis ça et...*soupir* ..je ne sais pas trop comment faire..."

Deädranös continua de caressé Filigel, il pouvait sentir le plaisir qu'elle avait quand il posait ce geste. Il la sentit alors se dérobé et descendre vers le bas, un nouveau frisson traversa tout son corps quand elle vint embrassé son entre-jambe. Une fois qu'elle fut revenu au niveau de sa tête, elle lui dit des paroles à l'oreille, un sourire apparut sur son visage en entendant ses paroles.

- Laisse-moi faire, et fais ce que tu juges bon, autant pour moi que pour toi et tout vas bien ce passé.

Sur ses paroles, Deädranös se recula sur le lit et vint embrassé la poitrine de Filigel, tout en caressant les fesses de celle-ci. Il descendait de plus en plus vers le bas et atteint son entre-jambe qu'il embrassa lentement. Il remonta après quelques secondes vers sa poitrine qu'il caressa avec tendresse. Il embrassa Filigel avec amour, tout en se positionnant sous elle.

Heureuse et rassurée par ses paroles, Filigel se laissa donc faire sans protester. Lorsqu'il descendit, elle eut alors le plus beau feeling qu'elle avait eu de sa vie. Cette sensation était la plus agréable qu'elle aie connue et elle poussa même quelques gémissements de plaisir. Alors qu'il remontait vers elle, elle le saisit brusquement par la tête et colla très fort ses lèvres sur les siennes, tout en le faisant basculer afin qu'il se retrouve au-dessus d'elle.

"Là je crois qu'on va s'amuser!", remarqua-t-elle, afin des yeux brillants de désir.

Elle caressa doucement le dos de son amour, descendant lentement pour masser ses belles fesses musclées Wink

.

Deädranös avait tout juste eu le temps de remonté et de se placé que Filigel l'agrippa brusquement, se collant contre lui. Il reçu ses lèvres avec délectation et passion, puisqu'il était rendu l'un dans l'autre, (Si tu comprend ce que je veux dire) Deädranös commenca alors à faire des aller-retour avec son bassin, tandis que Filigel lui massait ses "belles fesses musclés".
Deädranös embrassait son amour avec passion et tendresse, il massait sa poitrine avec une douceur exquise d'une main, tandis que l'autre était sur les fesses de sa chérie, qu'il frottait avec plaisir.

Un mélange de plaisir et de douleur se fit alors sentir dans l,entre-jambe de la jeune Elfe. N'ayant jamais été réciproquement, elle n'avait jamais non plus goûté au plaisir de la chair et, pour elle comme pour la plupart, cette expérience s'avérait douloureuse. Elle s'agrippa au dos de Deadranos, le visage crispé par la douleur. Poussant de petits cris de douleur ou de plaisir, Filigel essayait de se concentrer sur la bonne sensation plutôt que sur la mauvaise. D'une main, elle obligea son amour à se rapprocher la tête et à l'embrasser sauvegement, les baisers lui faisant légèrement oublier la souffrance dont elle était victime à l'instant. Certes, elle savait qu'elle devrait sans doute passer par là un jour, mais jamais elle ne s'était imaginée que ce serait aussi douloureux que ça.

Deädranös, qui sentit immédiatement la douleur de Filigel, il sentit par la suite ses mains se crispé dans son dos, elle poussait de petit crie de douleur ou bien de plaisir, mais celui de la douleur revenait plus souvent. Il se rappella par la suite qu'il était en mesure de réduire la douleur de son amour, il utilisa ses capacités mentale afin de faire complètement oublié la douleur à Filigel. Cela s'avéra très concluant puisqu'il ne sentait plus la douleur qu'elle épprouvait, seulement du plaisir.
Deädranös se fit alors plus intense, puisqu'il agissait sur le cerveau de sa Fili et qu'il était en mesure de tenir cela très longtemps, même quand il était en période de déconcentration totale.
Deädranös renversa alors Filigel, ce placant par-dessus elle, accélérant les mouvements de son bassin. Il embrassa Filigel sauvagement, il voulait lui procuré un plaisir qu'elle n'oublierait jamais.

Oubliant tout à coup la douleur qui la martyrisait, Filigel se mit à pousser des gémissements de plaisir. La sensation qu'elle éprouvait était soudainement devenue plus intense et plus agréable. Ils passèrent une bonne heure de cette manière, et lorsqu'ils atteignirent tout deux le septième ciel, ils restèrent enlacés un long moment, l'un par-dessus l'autre, essayant de calmer leurs coeurs qui battaient la chamade. Lorsque Deadranos se retira, Fili, fatiguée, resta étendue sur le dos, se concentrant sur sa respiration et essayant de comprendre et d'assimiler la si merveilleuse sensation de plaisir qu'elle venait d'avoir.

"Je t'aime, chéri...", murmura-t-elle, en reprenant tranquillement son souffle.

Suite à son intervention, Deädranös pouvait sentir l'intense plaisir qui parcourait le corps de Filigel. Cela le rendait heureux et emplifiat son propre plaisir, sachant que son amour y goutait autant que lui.
Après une bonne heure, qui semblèrent beaucoup plus longue à première vue, il se retira et ils restèrent couché sur le lit, reprenant leur souffle après un effort si intense.
Deädranös pu alors entendre la questionnement intérieur de Filigel alors qu'ils étaient tous les deux couché sur le dos. Il se retourna vers elle afin de lui faire face, il s'avanca un peu et déposa un doux baiser sur les lèvres de sa chérie. Il allait répondre à sa question, sans lui dire directement qu'il avait lui-même mit un terme à ses souffrances, d'une manière très simple. Il dit alors d'une voix douce et pleine de tendresse.

- Sa m'afflige de te voir souffrir, tu le savais sa?

Deädranös déposa un second baiser sur les lèvres de Filigel et la pris dans ses bras, lui laissant à peine le temps de réfléchir à ce qu'il veanit de lui dire.

Voyant qu'il semblait avoir une fois de plus parcouru ses pensées, Fili soupira. Définitivement, avec lui, elle ne pourrait jamais rien garder de secret. Mais dans le fond, c'était mieux comme ça, car un vrai couple se dit tout, non? Lorsqu'elle fut prisonnière des bras de Deadranos, Filigel l'embrassa avec amour et lui répondit d'une voix douce et mélodieuse:

"Non, je ne savais pas....à quel point? C'est toi qui a intervenu, n'est-ce pas?"

Elle le regardait d'un air grave, comme si ce qu'il avait fait était un horrible crime qu'elle ne pourrait pas lui pardonner de si tôt. Mais au fond, l'Elfe lui préparait seulement une mauvaise blague...

Deädranös sentit un léger ton méprisant dans la voix de Filigel, mais il garda son sourire. Il lui répondit avec la même chaleur et la même douceur que la première fois.

- Oui c'est moi qui est intervenu, je ne peux simplement pas te voir souffrir, parce que je souffre en même temps que toi. Pourquoi tu me regarde comme sa, ai-je fait quelque chose de mal.

Deädranös regarda Filigel dans les yeux, il ne voulait sondé l'esprit de sa chérie pour savoir la réponse, il voulait qu'elle lui dise elle-même. Mais pour sa part, il avait le choix entre la regardé souffrir, ou la soulagé de ce mal, le choix avait alors été évident, puisqu'il avait le pouvoir de le faire.

L'air méprisant de Filigel se transforma soudainement en un sourire taquin et elle lui sauta dessus en riant.

"Je t'ai bien eu!! Tu pensais que j'étais fâchée contre toi, n'est-ce pas?? Hahahahahahahahahaha!!!"

Riant aux éclats, elle le serra fort contre lui et mordilla son oreille, pour le taquiner. Elle était tellement heureuse avec lui, il n'y avait plus rien qui l'agaçait! Elle monta sur lui et lorsqu'elle se pencha pour l'embrasser, ses longs cheveux violets tombèrent doucement autour de leurs visages, formant un voile d'intimité que rien ni personne n'aurait pu traverser. Agaçant doucement son amour du bout de la langue, Filigel le regarda dans les yeux et revint l'embrasser avec amour. Puis, elle s'abaissa légèrement et s'accota sur le buste musclé de l'Igni.

"Mmmmmmh...je suis fatiguée.", murmura-t-elle, en fermant les yeux.

Elle inspira une dernière fois l'odeur délicieuse de son amoureux avant de lui dire 'bonne nuit' et de sombrer dans un profond sommeil.

Le sourire de Deädranös s'élargit quand Filigel se mit à rire, lui qui avait cru qu'elle pouvait être faché contre lui, c'était complètement inscencé. Il sentit alors son amour plus molle que d'habitude, il su alors qu'elle était fatigué, mais releva la couverture afin de les couvrir tous les deux. Filigel vint alors le taquiné en lui mordillant l'oreille, Deädranös leva la main et vint lui caressé les cheveux doucement.
Quand elle vint lui dire qu'elle se sentait fatigué, elle vint déposé sa tête sur son épaule, trouvant probablement son épaule plus confortable que l'oreillé et s'endormi aussitôt. Deädranös jetta un coup d'oeil à sa montre, elle indiquait 6h50, ce qui lui laissait le temps de dormir assez pour une journée entière, puisqu'il n'avais besion que de 5 heures de sommeil par nuit.
Deädranös ferma l'oeil un instant, mais il tomba dans un sommeil mi-profond, un seul bruit dans la maison pouvait le réveillé.
C'est alors qu'un bruit venant de la pièce du bas lui fit ouvrir les yeux. Il identifia immédiatement son oncle, mais il ne se dérangeait pas de sa présence. Il avait toujours été plus compréhensif que son père, il allait comprendre le fait qu'il n'avait pas pu allé dormir à l'école. Il se décida donc à lui faire parvenir un message par la pensée.

* Salut mon oncle, je suis dans ma chambre avec ma petite amie, je te la présenterai demain, parce qu'elle dort en se moment. *
* Pas de problème mon garçon, je suis très content d'apprendre que tu as une petite amie, j'espèrait que tu ne reste pas seul trop longtemps. *

Deädranös ria interieurement, il posa ses yeux sur Filigel qui dormait toujours contre lui. Il pouvait maintenant l'admiré durant des heures, il entendit alors son oncle monté les escaliers afin de se rendre à sa chambre.

* Je vais me couché, on se verra demain. *
* Bien sur mon oncle et bonne nuit. *

Deädranös entendit alors une porte ouvrir dans le couloir, elle se referma aussitôt, puis le silence, son oncle était partit se couché.
Deädranös reporta ses yeux sur Filigel et l'admira dans son sommeil, la trouvant si paisible et si belle.

Le lendemain matin, Filigel se réveilla et remarqua qu'elle était toujours couchée sur Deadranos, qui s'était rendormi. Elle se dégagea doucement de ses bras et s'étira. C'est alors qu'elle regarda par la fenêtre et remarqua que le soleil se levait.

*Son oncle doit être rentré!! Ah non!!*, songea-t-elle.

Un peu prise de panique, elle se leva du lit et se dépècha de remettre sa tunique, ne désirant point que l'oncle de Deadranos la voit ainsi. Ensuite, elle retourna s'allonger aux côtés de son amour, attendant qu'il se réveille.

Deädranös ne s'était pas vraiment rendormi, il gardait simplement les yeux fermé, pensant à tout et rien, c'est alors qu'il sentit Filigel bougé sur lui. Celle-ci ce leva, il pu alors sentir de la panique en elle, comme si un terrible malheur allait s'abattre sur elle, mais il compris qu'elle s'inquiètait pour son oncle.
Une fois qu'elle fut revenu contre lui, Deädranös ouvrit les yeux et la regarda avec amour. Il déposa un baiser sur ses lèvres et se leva tranquillement. Il empoigna son pantalon ainsi que sa tunique et les enfila. Il se retourna ensuite vers Filigel avec un sourire charmeur.

- Mon oncle est rentré, je lui est parlé quand il est arrivé (Filigel fit alors un visage inquiet). Il n'est pas entré dans la chambre, mon oncle fait partie des membres de ma famille qui possèdent des pouvoirs mental, comme moi. Je lui es parlé par la pensée. Il sait que tu es la, la heure qu'il est, il doit être assis dans le salon à attendre que l'on se pointe le bout du nez. Tu viens avec moi, je ne peux pas descendre seul.

Deädranös regarda Filigel et lui tendis son bras avec affection, l'inscitant à le suivre.

Filigel fut heureuse de voir que son amoureux ne dormait pas et fut fort rassurée de savoir que son oncle n'était pas entré dans la chambre. Ce qui l'inquiéta fut le fait qu'il soit au courant de sa présence. Qu'est-ce que Deadranos avait bien pu lui dire à propos d'elle? Lui avait-il dit qu'elle était son amoureuse? Peut-être, mais peut-être pas. Il ne restait qu'une façon de le savoir: descendre avec lui. Elle prit alors le bras de Deadranos et ils descendirent ensemble jusqu'au salon. arrivée dans le salon, Filigel commença à être mal à l'aise, sachant qu'elle se trouvait dans la maison d'un inconnu. Elle se tut et attendit qu'un des deux autres prenne la parole.

Deädranös prit le bras de Filigel avec douceur, il ouvrit la porte de la chambre et il descendit dans le salon avec elle. En entrant, il vit son oncle qui était assis sur le divan. Son oncle et lui se regardèrent durant quelques secondes, possèdant tous les deux les même pouvoirs, il sentait tous les deux que Filigel était mal à l'aise.

* Arrangeons-nous pour qu'elle prenne cette maison pour la sienne, tu marches? *
* Avec plaisir mon garçon, rien ne me ferais plus plaisir, mais commencons par le commencement. *

L'oncle de Deädranös se leva tout d'un coup en ne disant aucun mot, s'approchant d'eux d'un pas rapide. Un sourire illumina son visage lorsqu'il n'arriva qu'as quelques pas d'eux.

- Tu n'as pas changé mon garçon, à moins que tu ne sois plus puissant. Tu ne trouves pas que tu l'es assez comme sa.
- Je ne manquerais jamais assez de puissance pour devenir un Tueur de Démons mon oncle, et tu le sais.

Tous les deux rirent en coeur, puis ils tournèrent ensemble la tête vers Filigel qui semblati s'être fait petite quand son oncle avait avancé vers eux. Il prit alors la parole d'une voix chaude et aimable.

- Bonjour Miss, je m'appele Gäbarngïl Feurïmar, je suis l'oncle de Deädranös, heureux de faire ta rencontre. Il m'a tellement parlé de toi.

* Tu exgères la, on s'est parlé pendant 2 minutes. *
* C'est pas grave sa, c'est seulement un détail. *

Deädranös rit interieurement, son oncle pouvait tellement être jeune des fois. Pourtant il avait presque 550 ans, mais cela l'amusait toujours de le voir agir ainsi.

Filigel n'avait rien compris du début de la discussion entre Deadranos et son oncle et elle se sentait de plus en plus mal à l'aise dans cette maison. La seule chose qu'elle avait crut comprendre était que Deadranos souhaitait devenir un tueur de démons...quel emploi intéressant! Lorsque l'oncle de Deadranos se présenta et lui affirma avoir longuement entendu parler d'elle, l'Elfe se tourna vers Deadranos avec un regard interrogateur, avant de se tourner à nouveau vers son oncle pour lui répondre poliement:

"Et je suis Filigel, élève d'Aqua de première année. Je vous remercie de tout mon coeur de nous avoir accueillis ici à bras ouverts, monsieur. C'était fort aimable..."

Elle lui tendit la main afin qu'il puisse la serrer en signe de bienvenue et attendit la suite des événements.

Gärbarngïl serra la main de Filigel avec le sourire, elle se sentait toujours mal à l'aise dans la maison, mais c'était tout à fait normal, puisque c'était leur première rencontre.

- C'est tout naturel jeune fille, comment aurai-je pu vous recevoir autrement, surtout que Deädranös connait le code pour entré dans la maison.

Gärbarngïl regarda Deädränos avec un sourire anusé, celui-ci lui répondit par une grimace. Il se retourna ensuite vers Filigel, le sourire au lèvre.

- Est-ce que vous avec faim ou soif, vous pouvez vous servir, le frigo est la pour sa.

Deädranös tourna alors la tête vers Filigel, il ne voulait pas lui mettre trop de pression, mais il remarqua son regard interrogateur et lui sourit. Il serra sa main dans la sienne avec délicatese et se tourna vers son oncle.

- Dans ce cas, je vais me prendre quelque chose à mangé, j'ai incoryablement faim. Est-ce que tu veux quelque chose mon amour?

Deädranös posa ses yeux sur son amour, attendant sa réponse.

Filigel commençait à se sentir un peu mieux dans cette maison: apparemment, la gentillessse et la courtoisie étaient des valeurs primaires dans cette famille. Elle apprécia que Deadranos prenne sa main et ne se gêna pas pour la serrer un peu plus fort. Lorsqu'il lui demanda si elle avait faim, elle hocha doucement la tête en signe d'approbation et lui dit:

"Je prendrai la même chose que toi, ce sera plus simple."

Elle regarda Deadranos avec amour, puis regarda l'oncle de celui-ci se servir quelque chose à manger. Elle ne put s'empêcher de remarquer que Deadranos et son oncle avaient quelques points communs autant pour ce qui est des pouvoirs, du physique et de leur comportement.

*C'est peut-être son oncle qui l'a élevé?*, pensa-t-elle, sans se soucier que Deadranos pourrait entendre ses pensées.

Ausitôt que Filigel avait dit qu'elle avait faim, Deädranös l'avait emporté avec lui vers la cuisine. Il lui tira une chaise et la fit s'assoir.

- Je vais te le préparé, sa ne devrais pas être très long.

Deädranös déposa un baiser sur la joue de son amour et se dirigea directement vers le frigo qu'il ouvrit. Il en sortit deux morceau de steak, il en commenca la préparation lorsqu'il entendit le commentaire de Filigel. Celui-ci fit apparaître un sourire sur son visage, il remarqua par la suite que son oncle avait le même sourire.
Deädranös se tourna vers Filigel et lui dit avec le sourire.

- Tu as raison de pensé que je lui ressemble beaucoup et que c'est lui qui m'a élevé, parce que c'est la vérité. IL n'a pas toujours vécu à Elament.
- Je suis arrivé à Elament il y a de cela 15 ans. Toute le reste de ma vie je l'ai passé à la Forêt Noir avec Deädranös, nous fesions nos entrainement ensemble, ...
- Et je le battais toujours.
- Petit baveux! C'est vrai que je ne gagnais jamais, mais je contrôle l'élément de la terre, comme le reste de la famille Feurïmar, Deädranös est la seul exeption de notre famille. Et en plus d'avoir sa puissance, il est très fort pour lire dans les pensés, ce qui fait de lui un guerrier et un stratège inplacable.
- Inplacable c'est un bien grand mot, pour ma part je dirais invincible.

Ils partirent à rire tout les deux, Deädranös revint alors sur son steak, il le déposa dans la poèle, ne touchant pas au bouton pour allumé le feu.
Gärbarngïl le regarda avec un sourire et tourna la tête vers Filigel.

- Regarde le faire, je n'es toujours pas compris comment il peut y arrivé en si peux de temps.

Deädranös retint un rire et posa ses yeux de braise sur la cuisinière. Il plissa un peu les yeux et de grande flamme sortirent de la cuisinière, enrobant totalement les steaks.
Cela dura quelques secondes et les flammes disparurent. Deädranös se tourna ensuite vers son oncle avec le sourire aux lèvres.

- Et puis, le verdict.

Gäbarngïl empoigna la fourchette que Deädranös lui tendit et mit le morceau de viande dans sa bouche. Après quelques secondes seulement, il leva les pouces dans les airs.
Deädranös sourit avec satisfaction, il sortit trois assiettes et y déposa un morceau dans chaqu'une des assiettes et vint les servir sur la table. Il prit place au côté de sa chérie et prit un première bouché. Il était tout simplement parfait, il n'avais jamais réussi aussi bien son steak. Deädränös tourna ensuite la tête vers Filigel afin de voir sa réaction.

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