La jeune fille n'aimait vraimùent pas l'atmosphère de la cité, trop de monde, trop de murs, trop de tout. Il n'y avait rien de naturel, pas d'air. tout le monde était bien trop à l'étroit. Comment pouvaient-ils tous vivre ensemble ainsi? Ils n'avaient donc jamais besoin de respirer?

Katarina lasse de tout ce rafu et ce manque d'oxigène avait une nouvelle fois décidé de sortir faire un tour dehors, elle était sure qu'elle serait bien mieux n'importe où que dans cette foutue cité. Elle vit une falaise et décida de l'escalader. Elle était en contre bas. Elle avait volé au-dessus de la mer qui se trouvait par terre puis s'était agrippée à la roche.

Elle commença son ascenssion tout en douceur. Elle sentait à peine la roche sous ses doigts. Elle se déplacer rapidement avec grace et discrétion. La progression était de plus en plus rapide. Elle avait l'air d'être comme accrochée par un fil invisible et tirée de là haut. Elle atteignit le sommet en à peine cinq minutes. Elle avait de temsp en temps, regarder le paysage et repirer une bouffée d'oxygène.

Une fois au sommet, la jeune fille respirait normalement comme si elle venait de se réveiller. elle était aussi fraîche qu'une rose. Elle se laissa aller, courant derrière des animaux tous aussi quelconques les uns que les autres. puis dans un élan, elle sauta sur un oiseau en vol et le tua nettement. Elle relâcha sa proie et la regarda avant de la jeter dans le ravin. elle n'avait pas faim.

Erkios était assis tranquilement a l'ombre d'un arbre quand il vit une jeune fille s'amuser à courire après les animaux...

** Elle est bisarre cette fille... **

Il ne bougeait pas, la regardant s'amuser, puis elle attrapa un oiseau pour le tuer...

** J'ai faim... **

Elle jeta alors l'oiseau dans le ravin, il se leva alors, courut face a la falaise et s'écria :

" T'es folle !!! "

Il serra le poing, et se tourna vers elle

" C'est du GASPILLAGE ! J'avais la dalle moi ! T'aurai pu me le filer plutot que t'en débarasser... Non mais j'vous jure, les gens sont vraiment stupide ces derniers temps... Et en plus de ça tu l'as tué pour rien, t'aimerai qu'un démon t'ôte la vie simplement dans le but de te balancer du haut d'une falaise toi ? "

Un oiseau passa alors au dessus de sa tête, par reflexe, Erkios lança une boule de feu dans sa direction, celui-ci mourut sur le coup et lui tomba dans la main...

" Les oiseaux, on les manges... "

Il s'assis alors en tailleur, et commença à déplumer la bête...

La jeune fille sentit le regard du'ne personne au loin. Mais elle continua à s'amuser, se moquant des sourires moqueurs et surement un peu étonné qu'elle attirait. Après tout, les gens pouvaient penser ce qu'ils voulaient d'elle. qu'elle importance? Aucune, elle n'en créverait pas. Bien au contraire. Plus on la laissait en paix, mieux elle serait.

Elle tua l'oiseau et àà cet instant, l'étranger se manifesta, l'interpellant par grand éclat de voix alors qu'elle venait de lancer l'oiseau dans le vide. Elle tourna la tête vers ce nouvel arrivant qu'elle n'avait encore jamais rencontré. Ce qui ne l'étonnait pas vraiment, vue les heures auquelles elle sortait et le monde qu'elle croisait: c'est à dire le moins de monde possible, de préférence: personne.

Il criait à plein poumons, laissant sa colère résonner. Elle en était totalement indifférente, se contentant de le jauger du regard. Il se plaignit qu'il avait faim: pauvre petit... Si elle avait un peu de temps à lui consacrer, elle l'aurait plaint. mais elle n'avait à sa dispositon, pas une seconde à lui consacrer, quelle perte de temps ce serait...

Elle eut un sourire faussement navré sur le visage et ne fit aucun mouvement, aucun geste. cependant, l'oiseau qui venait de périr remonter dans les airs, arrivant jusqu'au bord de la falaise. le plus étonnant, c'était qu'il ne faisait aucun mouvement, il semblait être tiré par une corde invisible. Il acheva son trjet entre Katarina et le jeune homme. Elle ne fit aucun geste, se contentant de sourire.

Puis le jeune homme sembla avoir vu quelque chose d'interressant; un oiseau. il volait à basse altitude, vitesse constante, peu de défence: proie facile. Puis une boule de feu jaillit pour attaquer l'oiseau. la jeune fille ouvrit la bouche comme pour pousser un cri, mais aucun son ne sortit. Elle referma la bouche tout en faisant un bond en arrière, se recroquevillant sur elle même. dans ses yeux, se lisait une peur sans nom. Une terreur même. c'était bien plus puissant qu'une simple petit frayeur. elle était vraiement terrifiée. Puis tout se termina. Le feu disparut, l'oiseau était mort.

Erkios venait de terminer le déplumage de sa proie, il rapassa un bout de bois qu'il tailla en pique et s'en servit pour embrocher son nouveau repas, sur le moment il ne pretta plus aucune attention a la jeune fille, car il était concentré sur la préparation de l'oiseau cuit...

Il allait commencer à manger quand il s'aperçut que la fille en question, en plus d'avoir récupéré l'oiseau qu'elle avait balancé dans un ravin, était maintenant toute recrocquevillée sur elle-même, affichant une panique plutot signifiquative sur son visage...

Erkios la regardait d'un oeil inquiet, en plus de ne pas parler, cette fille était maintenant paniquée comme un petit animal craintif... Elle avait tué un oiseau de sang froid, donc le voir en tuer un ne devait rien avoir d'effrayant, il ne restait que deux possibilités, soit elle craignait le feu, soit elle jouait la comédie... Si c'était la deuxième solution, elle était parfaite actrice, car son visage affichait un état de panique véritable...

Erkios déposa délicatement sa proie sur le sol, se redressa, et s'avança en direction de la jeune fille, il lui tendit alors la main, un sourire aimable aux lèvres et dit :

" Est-ce que tout va bien ? "

Le jeune homme avait été très occupé par la préparation de sa proie. Cependant quand il la vit réagir de la sorte, il la regarda quelque peu inquiet. Il lui tendit une main en abandonnant au sol sa proie. Il lui demanda si tout allait bien. La féline le regardait toujours un peu apeurée. Il faisait sortir du feu de ses mains! La terreur avait été immense, mais maintenant que le feu avait disparut, son regard redevint impassible. Elle se redressa sans prendre la main. Elle avait appris avec le temps de ne faire confiance qu'à elle-même. Elle le regardait d'un oeil méfiant bien qu'il se soit enquit de son état. Elle restait sur ses gardes. Prête à se défendre. Mais que pourrait-elle faire face au feu?

La jeune fille était à présent de bout, fixant cet inconnu de son regard de glace. De nouveau, aucun sentiment ne paraissait sur son doux visage. Elle aurait pu être jolie si elle n'avait pas des traits aussi durs. Elle respirait de nouveau normalement. Elle resta un moment à le fixer, sans ciller de son regard de félin. Puis elle finit par hocher la tête pour le rassurer de son état, si vraiment il s'en soucier un temps soit peu. Puis elle se mit à regarder le paysage, l’air indifférent. Ce jeune homme ne semblait pas lui vouloir de mal, mais que savoir de tous ces êtres qui paraissent aimables et qui en réalité veulent juste la maltraiter ? de toute façon, à présent elle savait se battre donc si il le fallait, elle le tuerait s’il la cherchait un peu trop. Elle le regarda de nouveau et s’inclina légèrement. Elle saisit une bourse et jeta de la poussière argentée dans les airs. Les mots suivants se formèrent :

Citation :

Je m’appelle Katarina. Et toi ?

Elle lui lançait un regard interrogatif, attendant sa réponse. Elle ne risquait rien de toute façon à lui parler ainsi. C'est pourquoi, elle se l'était permis par ailleurs.

" Etrange façon de communiquer... "

Il marqua une courte pause, et répondit :

" Et bien... Je m'appelle Erkios, enchanté de faire ta conaissance, Katarina... "

Il se dirigea vers son repas, le ramassa...

" Cuit a point, comme je les aime... "

Il retourna face à Katarina et lui tendit l'oiseau...

" T'a faim ? On peut partager si tu veux... "

Erkios la regardait, tout en essayant de comprendre face à qui il se trouvait...

Le prénommé Erkios sembla étonné de sa façon de communiquer. La jeune fille baissa les yeux. Même en communiquant ainsi, elle était rejetée. Mais qu’avait-elle fait pour que tout soit ainsi ? De quel droit, les autres pouvaient-ils s’exprimer normalement et elle garder le silence ? Elle garda les yeux fixés au sol, se remémorant son passé. Elle devait se taire. Non, elle ne voulait pas ! Mais personne ne voulait d’elle.

Le jeune homme lui répondit en lui indiquant qu’il se nommait Erkios. Il lui dit qu’il était enchanté de faire sa connaissance. Celle-ci le regarda puis de nouveaux mots se formèrent :

Citation :

Je suis moi aussi enchantée de faire ta connaissance Erkios.

Puis les lettres disparurent. S’effaçant dans l’air, se laissant porter par une douce brise. Elle venait de se rappeler qu’elle n’avait pas le droit. Ne pas parler, ne rien dire. Telles étaient les règles.

Le jeune homme lui proposa de partager l’oiseau. Il semblait être si gentil. Cette gentillesse la faisait souffrir. Pourquoi tant de gentillesse ? Ne pouvait-il pas l’ignorer comme tout le monde ? la féline sentit des larmes lui monter aux yeux. Elle resta à fixer le sol et forma de nouvelles lettres avec le peu de poussière qu’elle avait laissé voler dans les airs :

Citation :

Non merci. Ne te donne pas de mal pour une personne comme moi.

Le jeune fille regarda la falaise qu’elle avait escalader il y a peu. Voilà par où elle pourrait partir, si il le fallait. Elle pourrait sauter. Puisqu’il contrôlait le feu, il ne pourrait la suivre. Voilà la retraite parfaite. Elle se tenait prête à sauter.

Erkios la regarda, il ne pouvait s'empecher de ressentir un besoin de comprendre cette jeune fille, elle semblait si triste... Lui qui d'habitude était hautain, provoquateur et bagarreur, se sentait totalement désarmé, il sortit sa dague de son ceinturon et coupa l'oiseau en deux parties égales, il en pausa une face à lui, et la poussa en direction de Katarina, il leva alors les yeux vers elle et lui dit :

" Chaque personne est unique, et personne n'a le droit de prétendre avoir plus d'importance que d'autres, et je pense que toi, tu n'as pas le droit de penser que les personnes comme toi ne méritent aucune attention... "

Il piqua alors un bout de son morceau d'oiseau et commença à manger...

" Tu devrais gouter, c'est délicieux... "

Le jeune homme ne semblait pas savoir comment agir avec elle. Il lui affirma que les gens comme elle méritaient eux aussi de l'attention. elle secoua la tête et forma de nouvelles lettres:

Citation :

Si tu dis ça, c'est parce que tu ne me connais pas. mais pas du tout.

Elle le regardait de son regard azur. Son visage commençait à s'adoucir. Ses traits devenait plus beax, moins stricts. elle le regarda alors qu'il coupait l'oiseau en deux parties égales. elle secoua doucement la tête d'un signe négatif quand il lui en proposa de nouveau, les lettes de reformèrent:

Citation :

Merci baucoup, mais non merci. Je n'ai pas très faim. C'est quand même gentil à toi.

Elle lui adressa un semi sourire puis regarda de nouveau ce qui les entouerait. Cette activité presque impercpectible, ses mouvements partout, les êtres vivants allant de la plus petite fourmie aux biches. elle aimait tellement cet environnement, cet air frai qui circulait tout autour. rien à voir avec la cité où tants de gens marchaient, respiraient. Ici, on pouvait se croire loin de tout.

Erkios finit sa moitié d'oiseau, et, comprenant que Katarina ne mangerai pas, il piqua dans l'aure moitié et dit :

" C'est vrai, je ne te connais pas... Pourquoi ne pas me raconter un peu, peut être que si on apprenait à se connaître, on pourrait devenir amis, t'en pense quoi ? "

Cette fille dégageait quelque chose qu'il n'avait que trop vécu : la solitude... Erkios c'était sorti de cette solitude lorsqu'il s'était fait des amis a Elament, et c'est pourquoi il se promit interieurement de faire de son mieux pour que Katarina ne se sente plus jamais seule... Une sorte de manière de remercier le destin en aidant quelqu'un comme il avait été aidé lui même...

Il regardait la jeune fille avec un sourire, attendant une réponse de sa part...

Katarina regarda le jeune homme manger d'un oeil. tout en regardant ce qui se passait aux allentours. Il lui proposa de faire plus ample connaissance. Elle le regarda totalement, étonnée. De plus, il lui proposait de devenir amis après avoir mieux fait connaissance et bien s'être entendu. elle ne pensait pas qu'un jour quelqu'un lui ferait une telle proposition.

Elle hésita un moment et forma sa réponse:

Citation :

Personne ne peut faire de moi une amie. c'est impossible...

Dans son regard, se lisait une tristesse mais aussi uhe force enfouie bien au fond d'elle. Elle se savait trop cruelle et trop imprevisible pour oser prétendre avoir de quelconques amis. elle avait toujours été seule et n'en avait jamais été bouleverser. c'était une habitude. Elle était libre. c'était le plus important.

Erkios s'allongea dans l'herbe, s'appuya la tête sur ses bras croisés, et regarda le ciel...

" Bon, et bien, je suppose que je vais devoir commencer... "

Il prit une profonde inspiration et dit :

" Je m'appelle Erkios, je suis un béonide, le resultat du croisement d'un humain et d'une démone... J'ai vu mon père se faire assassiner par ma mère lorsqu'il tenta de me sauver de ses griffes, puis cette horrible créature qui m'a engendré s'est occupée de mon éducation... "

Il se tut alors, et repris :

" Si tu veux connaître la suite, tu vas devoir m'en raconter un peu plus sur toi, je ne me confie jamais aux personnes desquelles je ne sais rien... "

Katarina le regarda. il se mit à lui parler de ses origines sans qu'elle ne lui ai rien demandé. Quel étrange personnage. Elle ne comprenanyit pas pourquoi il lui disait tout cela alors qu'ils se voyaient pour la première fois. elle n'atait pas du tout du genre à se confier. Son passé? elle n'en voulait pas. Son futur? Elle vivait au jour le jour.

Elle ne voulait en aucun cas faire un flash back sur son passé. Elle écrivit rapidement un réponse:

Citation :

Ma vie est sans interêt. De plus, je n'aime ni mon passé, ni mon présent et mon futur je ne souhaite pas l'imaginer.

Elle inclina légèrement la tête puis écrivit ensuite de nouvelles paroles comme prise de remord de s'être ontrer aussi distante:

Citation :

Ne fais pas attention à mon caractère, il change aussi vite que le vent change de direction ou de puissance...

Erkios regarda les lettres apparaître et disparaître, il commençait à comprendre le comportement de Katarina, c'est pourquoi il reprit :

" Je n'aime pas ce que je suis... Les démons veulent se servir de moi, car j'ai un pouvoir élémental de feu... Et les humains me craignent, par-ce que je suis a moitié démon... J'ai vécu avec ma mère pour seule compagnie, elle me provait son amour a coup de griffe, tu penses que mon passé me plait ? Non, il ne me plait pas, je suis instable, quand je m'enerve et que je perds le controle, je devient une machine a tuer, assoifé de pouvoir... Il m'en faut toujours plus... Tu penses être la seule a connaitre la solitude ? Si c'est le cas tu te trompes... Je suis comme toi, ou du moins, je l'étais, jusqu'a ce que je me fasse des amis... "

Il marqua une courte pause, et reprit :

" Dit moi, pourquoi penses-tu que t'a vie n'a aucun interet ? "

Erkios eut l'air de mieux comprendre la jeune fille. Il se mit à lui parler de son passé, qui n'avait pas l'air très heureux non plus. Elle se contenta de le regarder sans rien dire. Son passé n'était peut-être pas très heureux, mais elle était certaine d'une chose: des amis n'avaient aucune place dans sa vie. Ca, elle en était sure et certaine. Elle le regarda un moment encore, il parla de coup de griffes. Elle regarda donc ces mains quand il parla de cela. Que de souvenirs.

Elle était un peu pensive. Pas vraiment touchée par son amitié envers les autres qui l'avait aidé. Elle n'y croyait pas. elle ne voulait être dépendante de personne. Elle ne voulait pas se retrouver enfermée. Non, jamais! Elle forma de nouvelles lettres:

Citation :

Tu as peut-être réussi à sortir de ta solitude grace à des amis, mais moi c'est différent. je n'aime personne. Quand à la solitude, je la préfère à la compagnie. Je suis comme ça. Tu n'y peux rien. La seule chose à laquelle j'aspire est une totale indépendance ainsi qu'une liberté sans limitte. Mais je ne pense pas que tu puisses le comprendre. toi, tu préfères comme tout le monde la compagnie.

Puis il lui demanda pourquoi sa vie n'a aucun intérêt. elle planta son regard bleuté dans celui du jeune homme et reforma d'autre lettres:

Citation :

Si je dis que ma vie n'a aucun intérêt, c'est surtout à tes yeux. Ma vie n'a pas de but précis. je vis pour tuer. C'est ainsi pour chaque être vivant. sauf que moi, je ne fais que tuer. Je ne fais rien d'autre. Ma vie n'est que solitude et liberté totale.

Erkios émit alors un sourir et lui répondit :

" Ah ? Alors pourquoi ne m'as tu pas tué ? "

Il marqua une courte pause, réfléchissant à ce qu'elle venait de dire... Il compris que son problème venai du fait qu'elle manquait de confiance, non seulement envers les autres, mais également envers elle même, enfin, c'était l'idée qu'Erkios commençait à se faire...

" Tu aimes l'indépendance hein ? la liberté ? Dans ce cas, tu devrait être libre d'être heureuse... Ou plus simplement déjà, être libre de parler... "

Il lui demanda pourqui elle ne l'avait pas tuer. Elle esquissa un sourire et répondit par de nouvelles lettres argentées:

Citation :

Peut-être que je ne t'ai pas tué parce que je n'en avais pas envie. Je tue quand j'en ai envie, et ce que j'ai envie. Pour le moment, tu n'es pas une proie qui m'interresse...

Puis il lui parla d'indépendance, de liberté. De parler. Elle lui lança un regard surpris puis répondit:

Citation :

Si je ne parle pas, c'est peut-être parce que je n'ai tout simplement pas de voix... Tu n'as jamais entendu parler de personnes qui sont muettes? Parce que si c'est le cas, et bien je vais te dire en quelque mots ce que c'est: Ce sont des personnes qui n'ont pas la possibilité de s'exprimer oralement. J'en fais partie. Quant au bonheur, je n'ai pas la prétention de ne pas être heureuse...

Erkios la regardait, il compris que continuer à discuter avec elle s'avèrerait totalement inutil... pour le moment en tout cas... Il ferma les yeux, et lui dit :

" Je vais me reposer un peu, s'il te vient l'envi de me tuer, ne te gêne pas... "

Un léger sourir se dessinait sur ses lèvres, puis s'effaçait peu à peu...

** Dommage, on dirait que finalement, elle n'a pas besoin de moi... Je garderais quand même un oeil sur elle, elle risquerai de se faire des ennemis s'il lui venait l'envi d'attaquer des habitants de la cité... **

Erkios lui dit qu'il allait se reposer et que si elle en avait envie, elle pourait le tuer, il lui dit celà bien évidament pour se moquer d'elle. Elle lui jetta un regard noir, n'appréciant pas l'humour sous toute ses formes. Puis répliqua avec énergie:

Citation :

Ne t'inquiètes pas, je m'en vais. Sans te tuer.

Puis la féline se redressa et regarda la falaise. Elle lui adressa une révérance puis sauta dans le vide puis vola le long de l'eau, bercée part ce doux ronronement.

Erkios avait gardé un oeil entre-ouvert et lu les derniers mots de katarina avant qu'elle ne s'en aille...

** Sans me tuer... Je sais pas si elle en avait envie, mais de toute façon, elle n'aurait pas pu... Il n'y avait qu'a voir sa réaction quand elle a vu ma petite boule de feu... **

Il se redressa alors, s'étira les bras et regarda autour de lui...

** Bon, on dirait qu'il n'y a plus personne... **

Il se releva tranquilement, et se dirigea vers la cité...