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 Mensonges d'une nuit d'été

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MessageMensonges d'une nuit d'été EmptyJeu 18 Déc 2008 - 21:29

Chapitre 1 : Mytho, mensonge et logique.

Evanescent avait fournit un effort de marche important, lorsqu’il vit apparaitre au loin, le préambule de l’agglomération cyclopéenne d’Elament ; sa lourde porte centrale grandissante à vue d’œil, offrait aux mythes de personne, son engouffrant accueil.
Aussitôt lorsque de l’horizon, Ulysse en estimant proche le seuil, il s’adonna contre un arbre Persée, pour un moment de se poser, dans cette toute fin d’après midi.
Au dessus de sa tête, les nuages moqueur sursoient Circée en sursaut, dans une magie d’animaux transformés et cotonneux, s’étirant sur les kilomètres de toiles célestes en des hydres sinueuses.
Préférant fermer les yeux à ce spectacle, comme pour effacer l’air cul ; les muscles fins et secs du danseur brisèrent leurs dernières alarmes, dans le confort précaire des touffes d’herbes, et de tubercules.
Il repensait encore aux derniers mots de son père adoptif, dans l’émoie du vent qui s’engouffrait dans tout l’interstice du désordre de sa chevelure captive.


-Soupir-

Perdu dans les labyrinthes de son inconscience, des dalles d’ombres et de lumières se formaient ; Médée d’aide aucune ne fuyait le soleil cajoleur qui jouait avec l’ombre du saule sur la peau lactescente de l’inconscient.
Un rêve affreux secouait son sourire crispé, avant que tard… tard, il reprenne à la couleur de ces enfers.


*un vent pire déversant son ire, une montagne de chaux, sept salles…*

Evanescent rouvrit ces yeux pâles et tristes, puis se redressa sans plier aucune de ces articulations, sous les yeux médusés de la solitude ambiante, ces cheveux soulevés en d’autant de serpents, par le vent crépuscule ; du moins se croyait-il seul, alors qu’il reprit sans se presser, le chemin vers son Eole.
Apollon avait déjà presque finit d’écraser son char solaire contre l’Ouest, qu’Evanescent s’assombrissait à mesure qu’il s’éloignait du saule comateux.

...

Des décombres de la terre, sortit un squelette poussiéreux sur lequel le pronemeur de ces dames avait rêvé d'affreux...


Dernière édition par Evanescent le Dim 28 Déc 2008 - 22:28, édité 1 fois
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MessageMensonges d'une nuit d'été EmptySam 20 Déc 2008 - 22:40

Chapitre 2 : Appel d’air.

A mesure que l’ombre décantait aux pas de l’homme, le vin ni fit caution au trajet impeccable en direction de l’entrée de la cité d’Elament.
Derrière lui, le monstre sans elle, jouait de ces pieds dénudés de chairs, disputant à la fraicheur catin les derniers rayons solaires.
L’ange inconscient devant, jouait avec une de ces mèches bizarres et perlées qui s’agrippaient entre les interstices de ces doigts filiformes, comme d’autant de pièges pour son curieux poursuivant.
Un air soufflant ces indices mortels dans le dos putréfié du danseur fou, l’avertit bien avant la grande porte ; et celui-ci de se retourner les deux pieds accolés, une bourrasque sentant bon le cimetière frais lui arrivant en pleine face, eut tôt fait de casser l’effet "mise en scène" de son acrobatique pirouette.
Remettant de l’ordre dans sa chevelure d’or assombrie, pour y voir quelque chose, la dernière mèche folle révéla les eaux détachées d’une violence, grève de ces sens affolés face à l’écume squelettiques.


-« Qui… qui_ui êtes vous ! » avec une grand assurance dans la voix.

En effet l’ange avait une peur bleue des os détachés de leurs chairs d’hommes, trappant l’insulte à déglutir sa mâchoire branlante, l’être désaccouplé se permit un bruit onomatopéique qui n’eut pour seul échange que celui de faire se dresser les cheveux d’Evanescent à la verticale, la "Marge" de manœuvre était étroite.

-« Omer… de ! »

L’ange se permit un : « A l’aide ! » désespéré sans trop de conviction, lorsque le sosie de "bras dépité" se mit à foncer sur lui comme un damné.



Son bras venait de parer tremblant comme une feuille jaunie de sa larme-épée, la vieille épée rouillé, pleine de promesse d’horribles tétanos.

-« Nous pourrions en discuter autour d’un bon verre, la ville n’est pas loin, et je suis certain qu’il doit y avoir d’excellentes tav… »

Nouveau tentative de rentrer en communication de la part du mort-vivant, se soldant par un déglutit du tremble, lorsqu’il constata qu’à défaut de boisson, un ver rognait crânement les orifices du putréfiant.
Par soucis de nos lecteurs, une traduction simultanée à été élaborée pour comprendre le langage du mort à la mâchoire déplacée.


-« Zog zog, akita ! » dans un claquement de mandibule.
-« Je vous informe que je n’ai guère apprécié cette familiarité dont vous avez fait preuve en vous endormant sur moi, sans vous êtes au préalablement présenté.»

-Tremblement de dents éclatantes, lançant leurs éclairs à la faible lumière décédée du jour-

-« Akala volo »
-« Aussi bien si vous me le permettez, je m’en vais vous estoquer cavalièrement, en réparation du sommeil déflecteur donc j’ai impunément été submergé par vos viles pensées, en garde ! »


Bon, je sais ce que vous vous dites, et vous avez raison ; il faut des années d’études pour en donner la littéraire traduction, ce que évidement Evanescent n’entendait pas.



Evanescent se dégageât d’un bon, son aile médiale profitant de l’agitation sonore, me dit hâle de son teint aspirine.


Dernière édition par Evanescent le Mer 24 Déc 2008 - 15:13, édité 1 fois
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MessageMensonges d'une nuit d'été EmptyMar 23 Déc 2008 - 18:27

Les portes apparaissaient au loin comme un doux air de rédemption. Les quatre éléments qui y reposaient semblaient vives d’une lumière qui leurs étaient propre, attirant les voyageurs à faire halte, une fois la nuit tombée. Une quiétude particulière se dégageait de la cité, le ciel gris papillonnant de quelques étoiles égarées. Au sommet des habitations, semblaient choir une luminescence lunaire et glacée, alors que quelques cheminées laissent déjà entre voir de calmes volutes de fumée… les rues désertes, les ruelles sombres, tout régissait sous le couvert d’une nuit profonde. L’hiver était venu sans demander à qui de droit, et la neige, la glace faisait office de décoration chatoyante et dangereuse. La respiration des habitants, profonde et parfois endormis, laissait à quelques endroits déconfits, une brume glacée, difficilement contré par une couverture miteuse, ou quelques animaux de compagnie tout aussi frigorifiés.

D’un vent pinçant, une poudre de neige s’abattait à l’extérieur de la cité, et même au-dedans, ne laissant à aucun le droit de voir ce qui se passait, d’un côté comme de l’autre, au niveau des fenêtres, on ne voyait qu’un blanc déferlement et, de ceux qui n’arrivaient pas encore à dormir, le chant surgelé du vent frisait la plainte, battant, poussant les maisonnées avec grand cas.

Quelques petits êtres givrés se pelotonnaient les uns contre les autres, les pauvres d’Elament d’autant plus dénudés face au rafale de la nuit, cachés derrière un commerce, une taverne… ou simplement à l’intérieur, oubliant leurs peines.

De la givre couvrait les fenêtres, et de misère, la glace craquait, quelques pics de celle-ci se décrochant des toits, glissant vers les voisins, éclatant au milieu des chemins.
Oui
Tout semblait calme à Elament.

Loin de tout ceci, une flopée de papillon, férue de chaleur et heureuse d’en trouver, voletait de plus belle autour d’une jeune femme toute fatiguée. À genoux dans un périmètre de neige fondue et d’une terre légèrement craquelée, tenant la garde d’une grande épée à deux mains, la respiration plus que difficilement articulée…
Dorés et joyeux, ils traversaient le corps de la rouge demoiselle d’un air tout gourmand, la source de chaleur se dégageant de l’Igni plus qu’attrayante en cette bien froide et jeune nuit.

D’une paire d’yeux incrédule, la possédée observait un bien drôle évènement. Névrotique, l’odeur du nécrophage traversait les distances, la lézarde y fronçant le nez d’un air peu amusée. N’osant pourtant approcher, elle conduisit plutôt une chaleureuse ribambelle de flamme vers le mort vivant insulté, n’aillant pas le cœur ce soir au décès d’un être pure… tant qu’il ne se terre.

Tout en continuant d’être cacher sous le couvert lointain de quelques sapins, Dilyos vit enfin la goule prendre feu, quelques papillons partant en sa direction pour s’y nourrir, la fâchant de ce manque alarmant de discrétion.
Suppurant d’une chaude vapeur, la lézarde se tassa dans son coin, malgré les signaux de l’ardente fumée.
Peu convaincu de son geste pourtant, elle sortie la truffe, la neige fondant avant qu’elle n’y dépose le pied, un faiseur de passoire dans le dos, quelques braves intentions à l’avant, pourtant, toujours accroupie, Dilyos remarqua une torche obstinée…
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MessageMensonges d'une nuit d'été EmptyMar 23 Déc 2008 - 20:59

Chapitre 3 : Retour de flammes.

Alors que « bras dépité » fonçait une nouvelle fois sur lui, de ces entrailles le ver pleurait d’affreuses douleurs qui emplirent l’odeur et ces sens putrides dans la confie torture de l’apparition d’un brasier mortel pour le non-mort.
Toute petite flamme au départ, venant d’horizon encore inconnus, Evanescent poussa un soupir de soulagement lorsque la pulsion de ces névroses dansait tribale dans la nuit naissante.
Son pouvoir ne fit qu’alimenter l’ardeur de son mystérieux défenseur, et la vieille bougie termina son ultime flamme, dans ces cris psychédéliques.
Lorsqu’il ne resta plus que cendre, l’ange approchant un pied peu assuré sur l’incandescent, afin de s’assurer et se rassurer, de sa fin phobique pour ce genre de monstre.
Croyant que le démon d’os avait périt, il scrutait maintenant les pieds sur cette tombe improvisée, le créateur au cœur de flamme.
C’est alors qu’il l’aperçut, être rampant avec discrétion sur le sol proche d’un petit buisson de mûres qui avait vu au combien de meurtres indécents.
Il s’agissait d’un hybride, presque un animal, et Evanescent ne voulait pas l’effrayer à son tour comme il l’avait été, mais pas non plus finir en torche à son tour.
Aussi s’inclinant avec une laxité inhumaine, il se mit à cette distance respectable, sa tête à hauteur du rampant mi-humanoïde ; et dans un sourire intransigeant, il lui dit simplement :


-« Merci ! »

Mais après, il considéra l’être comme pour un animal, n’ayant jamais vu auparavant d’hybride dans son enclave surprotégé par Gabrielle sa tante.

-« Allez viens, gentil ! N’es pas peur ! »

Ouvrant la bouche, une flamme longue sortie de la gueule du serpent, pour réchauffer les neurones infantilisant de l’être ange.
L’ange étouffa ridicule le feu de ces cheveux dans l’herbe sanctuaire autour du tas de cendre sage.


-« Chaud, chaud ! »

Après avoir compté le nombre de meurtre de ces mèches folles, relevant la tête alors qu’il était accroupi sur le sol vert, l’animal se tenait proche de lui, allait t’il lui expliquer l’erreur de son jugement hâtif à son sujet.
Du moins il n’en n’eut pas vraiment le temps, car des cendres de Brad, un tourbillon emplit soudainement l’air, soulevant ce qui avait été chairs décharnés et os osés.
L’esprit démoniaque du ver vengeur et crâneur, soulevant la poussière de son ancien hôte, créait sa dernière carte, afin de se venger des dormeurs et des cracheurs de flammes.
Au final, cela ressemblait à un tourbillon en forme de ver géant, auquel cendre et terres environnantes s’était accolés afin de donner de la consistance à l’esprit juge.
Plongeant dans la terre morte, le géant foret torturé par sa pomme pourrie, ne tarderait pas à réapparaitre sous leurs pas.
N’écoutant que son courage de la fuite, l’ange se saisit de son compagnon pour s’envoler par lévitation, alors que la gueule d’aspirateur surgissait pour venir les avaler à leurs tours, juste sous leurs pieds.
La situation était critique, et la peau du serpent était chaude pour un être au sang froid, qu’Evanescent au supplice dut créer provisoirement de l’air entre ces paumes meurtries et son paquet cadeau.
Ils se posèrent donc plus loin de la taupe-démoniaque, et ce n’est qu’à cet instant cuisant, qu’il se rendit compte qu’il s’agissait d’une… femelle.


-« Mais… mais par où t’ais je donc soulevée ! »

Nouvelles flammes dans sa tête choquée.



Ils n’avaient plus le temps pour jouer, ils avaient un monstre à renvoyer aux royaumes des morts…


Dernière édition par Evanescent le Mer 24 Déc 2008 - 15:13, édité 1 fois
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MessageMensonges d'une nuit d'été EmptyMar 23 Déc 2008 - 22:51

Mais par toutes les flammes d’Igni, il lui parlait comme s’elle fut une drôle de bébête, craintive et serviable. Diantre. De sa langue de caméléon, elle lui envoya une douche brasier, déjà peu à l’aise de sa toute proximité, elle qui dans le fond, n’avait voulu que l’aider, puis disparaître sans louange ni grandeur. De ses yeux gris, elle détailla le drôle, reculant presque de par son innocente présence.

L’être de chair et d’os n’étant plus que cendre, elle n’eut d’autre envie que de quitter les lieux. Malheureusement, il semblait s’obstiner. L’expression de son visage était claire, il semblait avoir de quoi causer. Pourtant, nerveuse et dépassée, elle tenta de s’engager sur le chemin de la retraite, faisant fit de la gratitude, au possible, qu’il pouvait bien vouloir lui faire part, ne cherchant dans sa nature, cas partir prestement.

Peste soit-il de cet ange là!

Elle manqua de crier son désespoir quand elle se retrouva dans le vide, le corps dangereusement coller au sien, et non pas parce qu’elle le trouvait séduisant, mais bien plus car de rage, elle eut augmentée sa chaleur corporelle. D’un regard las, Dilyos vit la menace proliférer, bien grassement éparse dans son champ de vision, particulièrement barbante pas sa mauvaise fois à l’égard d’une mort définitive.

Une fois de retour à la terre, elle envoya à l’ange un regard des plus incendiaire, comprenant très bien le sens de ses dernières paroles, alors que d’un bras énervé, elle tirait son arme au devant, prête à toute lutte acharnée.

D’un soupire à la connotation hargneuse, elle échauffa le sol sous ses pieds, le rendant sec et fragile, au sens d’attirer la bête contre sa lame, l’air de ce demander si un jour, il n’allait pas faire quelque chose d’utile, mis à part lui avoir sauver les orteils.

En ce sens, elle le gratifia d’un « Arrgh, met toi en garde! ». Lézarde d’action, elle suivit elle-même son sage conseil, observant l’énorme lombric comme tant d’autre chose à affronter, cherchant un moyen logique de contrer sa terreuse menace…

L’être cendré avait des airs carnivores, sa vivace progression n’en faisant pas douter…
Il fallait utiliser sa vélocité à bon compte, mais comment?

« Des idées… des idées… des idées… ! »

Murmura la demoiselle, possédée, le tremblement provoqué par la nouvelle masse sus mentionnée.

« À gauche! »

Dernier ton au jeu, elle s’élança vers la droite, transcendent une chaleur à sa lame, cherchant à atteindre le flanc de la bête…
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MessageMensonges d'une nuit d'été EmptyMer 24 Déc 2008 - 15:13

Chapitre 4 : Six clones.

Evanescent tira de son fourreau sa larme-épée, aux sifflements gutturaux de sa généreuse amie, mais comparée à elle, la largeur de son arme pouvait faire peine à voir.
Le manche en argent finement travaillé sur des reflets dracontium, exposait à sa prise angélique une lame anorexique d’une bonne avancée.
Cadeau de sa tante à qui elle appartenait, pleurante de sa nouvelle nudité, elle s’offrait à la garde de l’oiseau de nuit, ces songes vespéraux.
L’ange se mit donc en position, sur le sol ténébreux aux puissantes ardeurs, le ver-démoniaque ne pourrait sans doute pas en reboire la terre, comme il leurs avait déjà fait ce coup là, puisqu’elle était à présent dure comme pierre.


-« Dance première : mensonge d’une nuit d’été ! »

La lame brilla d’un éclat traitre, et obliquant sur le flanc droit de l’animal, Evanescent la fit virevolter autour de lui à mesure qu’il avançait d’un pas filant et travaillé.
Sa tranchante partenaire se glissait dans le reste de sa chevelure immaculée, alors que la lézarde rapide attirait déjà le vide de l’esprit du côté gauche de sa non-vie,
Le géant était composé de deux éléments distinct, tout d’abord la terre qui lui servait de devanture et de protection à son souffle puissant d’air, qui vrombissait furieux à l’intérieur.
Aussi, l’ange ne fit pas trop de fioritures pour l’inepte aux arts premiers, il bloqua en prolongement de sa main son épée, puis décrivant une coupe soignée, il la planta enfin dans le faux-ventre de l’animal en terre.
L’instinct de vouloir blesser un esprit sans chairs était une erreur à sa portée, car ce n’est pas du sang qui se rependit de sa déchirure, mais bien un vent violent qui l’aspirait contre cette peau.
L’esprit toujours occupé avec la pyromane, ne prêtait guère attention, à l’intrus qui entrait en lui, aspirateur d’occasion, le bras s’enfuit dans le corps graveleux du démon, puis l’épaule, la tête, l’alouette à qu’une aile finit avalée littéralement par ce puits sans vent, qui colmatât derrière la brèche hémorragique avec les restes de ces vêtements.




Seul, perdu dans un cyclone violent, Evanescent tiraillé de toutes parts voyait autour de lui voler de multiples objets dont il faisait maintenant parti, comme pour le ventre centripète d’un animal, aux estomacs sans bords.
C’était douloureux, pourtant il dut cette fois si compter sur sa réflexion posée, et fermant les yeux, ces six clones ne se formaient plus sur sa rétine du fait de la vitesse de la centrifugeuse.
Le calme dans sa tempête, il se révéla.


-« Si cet esprit vampire ne craint pas les blessures de son corps, il faut lui trouver un cœur… »

Le bruit du vent intérieur occultait ces propres battements de cœur, qui commençaient de fatiguer face à la pression exercée, un fin filé de sang coulait de la bouche du faux-filet.
C’est alors qu’il sentit quelque chose lui toucher la joue, il rouvrit ces yeux sages sur ces doubles, et comprit le sens du désordre.
Tentant son dernier coup d’épée dans l’air, il trancha dans sa transversalité la pomme d’Eve qui l’avait touché, libérant non pas des pépins, mais bien le refuge du vers rimant et solitaire, dans son cœur fruité où il organisait ces liens.
Puis comme plus rien ne tenait, l’esprit s’en vint, faisant tomber à la vertical, fruit, terre, chairs et bruits.
Au milieu du cercle, Evanescent gisait drogué par cet excès d’air comme pour d’un gaz hilarant ; ces vêtements projetés bien plus loin offraient tout l’artifice à son aile impudique.
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MessageMensonges d'une nuit d'été EmptyJeu 25 Déc 2008 - 21:26

La femme lézarde n’eut pas grand temps à traiter de ce cas là. À peine avait-elle titillé la coque du monstre d’une pointe d’épée, que l’ange disparut soudainement, dans un bruit belliqueux. De sa danse elle n’avait pas suivit grand-chose, plutôt concentrée sur sa campagne, l’idée de faire craquer la terre qui servait de corps au géant ver suivant la logique destructif de l’Hybride.

Cela dit, celle-ci manqua de prendre son envol quand l’être, mené par un vent intérieur, se décida d’imploser. Une flopée cendrée germa tout autour, libérant tout ce que contenait cette mauvaise aventure.
Plantant arme au sol craquelé, elle s’y accrocha, les jambes campées, closent visu et baissant couvre chef. Le vent, de rigueur, prit bien du temps à se dissiper, un goût de brûler et une peau de terre s’y dispersant. Du paysage, maintenant bien sale, la caméléonienne offrit deux tâches claires au milieu de sa peau rougeâtre, observant enfin les dégâts de ce léger panache…

Quelques vêtements épars lui firent craindre ses découvertes à venir, mais elle du manquée de tact pour ne pas voir l’étendu de cuir angélique se manifester au milieu de quelques cercles concentriques.
De soupir et de chaleur, Dilyos s’approcha. De toute manière, la bête, si l’idée lui en fut de réapparaître, n’avait sûrement pas de quoi digérer pas plus un être divin qu’une possédée.
Sans plus d’inspiration, elle planta massivement son arme au côté de l’ange, contemplant par habitude et curiosité sa feluette physionomie, y trouvant qu’il y manquait quelque chose. Une imperfection qui aurait put rehausser sa pâle carcasse, une cicatrice, voir des grains de beauté…

« Pisssh… »

D’un pied à la température tempéré, elle lui remua quelques côtes, cherchant un signe de vie qui lui aurait enfin permit, l’esprit à demi tranquille, de retourner dans son antre, et ce, bien sûr, seule…

L’état des lieux était déplorable. Non loin de la grande porte d’Elament, qui plus est… la nuit, bien tombé, ne laissait plus deviner ce qu’il s’y passait. Il semblait qu’aucun garde, ni sentinelle n’avait entendu la lutte. C’était étrange, au souvenir de l’hybride, qui de sa jeunesse, avait toujours aperçu un gardien dans le périmètre premier de la cité… ses yeux gris chercha un signe de vie aux proches alentours. Le calme maintenant ambiant ne lui faisait pas.

D’un silement métallique, bougeant par la même occasion quelques poussiéreux tapis, il lui sembla avoir échoué dans sa mission première, et d’une certaine frustration, fit claquer sa longue langue sinueuse vers d’inconnu horizon. Sans trop approcher de ses ailes, comme si ces plumes renfermaient une redoutable vérité, elle tourna le dos à l’être dénudé, son arme de retour à un lieu plus sécurisé…

Il n’empêche que…

La paupière lourde de sens, elle manqua de calciner un tissu qui traînait là, à ses pieds. Le prenant d’un bout des doigts, elle le secoua fermement, y enlevant grasse et bout granuleux, d’origine suspecte et non pas moins terreux. Pas mauvaise de nature mais sûrement pas sympathique non plus, la demoiselle laissa tomber ce gentil bout de vêtement sur le corps de l’homme, pas vraiment gênée par ses secrets, toujours peu couvert, d’ailleurs.

Enfin dans un soupir, elle fini par tourner talon, croyant être enfin tranquille après cette baston.
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MessageMensonges d'une nuit d'été EmptyDim 28 Déc 2008 - 22:25

Chapitre 5 : Loup y-est-tu ?

Un froid soudain parcourut de spasme le corps dénudé de l’ange seul, qu’il se crispa dans son cercueil de pierre.
Ouvrant des yeux aveugles, la nuit avalait à elle les prémisses de l’Adam, claquant des dents, il palpait le sol à la recherche de ces vêtements, éparpillés en plusieurs endroits.
Et c’est alors qu’il était encore à moitié visible, qu’un hurlement glacé de se faire entendre, que surprise, une décharge délicieusement froide lui remontait du bas-dos, pour dans son aile unique doucement se glisser ; il ne se fit pas prier, et redoubla la cadence.


*Aucune envie de jouer au chaton rouge peur, ce soir… *

Lorsqu’aucune Eve ne pourrait s’émouvoir, il se dirigeât encore sonné vers la porte d’entrée de la cité vespérale qui se trouvait à plusieurs minutes de là.
Le « grand » morceau de tissus qui avait servit à Michelle de cacher le sexe des anges ; dans les mains, seul trace de l’hybride serpentaire, il frappa au seuil.


-Toc toc toc-

-« Qui est là ? »

*C’est le loup qui te mangeras*

-« Un voyageur las hélas, qui demande l’hospitalité »

On lui ouvrit, la petite sous-porte pleurant l’huile magique qui lui avait souvent manqué.

*Entrons dans la bergerie*

Disparaissant dans l’ouverture fatiguée et cyclopéenne de la cité d’Elament, Evanescent passait sous l’œil critique de celui qui venait de lui ouvrir.
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MessageMensonges d'une nuit d'été EmptyDim 28 Déc 2008 - 23:04

Et soudain une chaine.

Un bruit métallique, quelques secondes pour voir que les plumes étaient pincées douloureusement pas les maillons de l'arme souple. Une action et l'ange fut ramené en arrière. Les civiles hurlèrent, les sentinelles sonnèrent l'alerte mais les gardiens ne furent pas assez rapides. Labiatta avaient férré sa proie.
Attachée par les ailes et trainé sur le sol dur et froid l'ange entendut des pas lourd et pesant, peut-être se retournerat-il, il verrait alors une cavalière chevauché une monture peu commune : un squellette.

Labiatta le traînèrent plus loin, suffisament loin pour que les sentinelles, la vue non éclairée ne puissent plus les viser. Une fois à bonne distance Labiatta lâchèrent la chaîne, elle n'était qu'un simple instrument de capture, les drewoors n'y étaient pas attacher. Doucement elles se retournèrent pour regarder le visage du malheureux. Pas question de se séparer, la citée n'était pas loin et les gardiens suffisament fort et courageux pour risquer une sortie. Si elles étaient séparé... Elles mourraient. Aussi lorsque Labiatta approchèrent de l'innocent ce fut ensemble, l'humaine montée sur l'encolure de la lézarde. Elles se penchèrent doucement.
Un étrange gargouillement sortit de la gorge de l'humaine alors que le même, en plus sourd, sortit de la gorge, ou de ce qui en restait, de la lézarde.

Le trouvaient-elles mignon ? Le trouvaient-elles succulent ?
Après tout cela faisait plusieurs jours qu'elles n'avaient pas trouver d'humain à se mettre sous les crocs. Labiatta avaient faim mais ce garçon là risquait d'être laborrieux à plumer.
Les loups s'étaient tus, effrayés et repoussées par l'odeur de mort que Labiatta laissaient sur son chemin.
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MessageMensonges d'une nuit d'été EmptyLun 29 Déc 2008 - 15:37

Chapitre 6 : Enlèvement.

L’œil incompris de son hôte se dilatât de surprise, lorsque projeté en dehors de la cité dont il n’avait qu’à peine le seuil franchit, l’ange à l’aile unique et trainée comme la pire des catins, dans les chaines sombres de la nuit redevenue silence.
L’ange ne risqua pas un regard à l’inconscience, les délicates allitérations irrégulières de ce damné chemin, entrèrent en lui comme autant de chapelets dans sa chère peau.
Puis lorsque son chemin de croix se termina, il déplissa ces yeux qui écrasèrent une larme de douleur, coulant sur sa joue chrysanthème ; à contre-lune sa geôlière dégageant de son ombre aussi fer, disputait à la moiteur de l’appréhension du tendre prisonnier.
En des volutes ineffables de mouvement imperceptibles, le doute pour lui n’était plus permis face à la ressemblance flagrante.


-« Vous êtes la jolie Lina ? » dit l’ange.

Passant une main frêle dans sa chevelure secouée, et devant ce silence guttural, il se permit cette pseudo-illusion de son esprit voyageur.

-« Vous êtes sang doute, le femelle squelette de « Bras Dépité » et vous voulez m’invitez à une cérémonie commémorative afin que nous nous portions au souvenir de comment il était généraux de sa part de porter secours aux pauvres ver-démoniaques sans familles qui… non ? »

L’ange ouvrait des yeux d’une naïveté qui paraissait sans borne, comme un océan vert sombre dans la nuit des marées, dans ceux reptiles de la mariée déchainée ; pas de bruit de feu mais le roulis fidèle de l’innocence qui se fait une arme mortelle, prête à frapper.

*Frapper… mais c’est une femme ?*
*Tais toi et fais la cruche !*
*Mais il n’y a même pas de puits*


Puis, il expira une étrange arabesque, du froid gelé passant entre les interstices de ces vêtements abimés ; des motifs qui atteignirent le corps de l’hybride suprême, on ne pouvait dire qui du fer ou de la terre arriverait le premier à sa source.


Dernière édition par Evanescent le Mar 6 Jan 2009 - 9:39, édité 1 fois
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MessageMensonges d'une nuit d'été EmptyDim 4 Jan 2009 - 10:42

Le manger...

Non c'était trop plumeux, il leur faudrait plusieurs heures avant de pouvoir savourer la chait et Labiatta ne comptaient pas attendre aussi longtemps. Alors le laisser partir... Oui c'était la meilleur des solutions, la drewoor avaient juste mal visés, il leurs auraient fallu attraper celui qui se trouvait à coté de cet oiseau là.
Elles allaient ramasser la chaîne, l'humaoïde avait passée l'une de ses jambes au dessus de la tête ; pour descendre... Pour partir, elles n'avaient plus rien à faire ici, elles avaient faim.

Et un dessin à plat dans l'air. La lézarde se cambra pour éviter et recule de quelques pas, l'humanoïde tomba bien entendu. Interrompant la danse de son accolyte qui trébucha sur son petit corps et chuta sur cette dernière.
Le bruit sourd d'un corps fait d'os, sans chair retentit alors. Comme des bambous vides résonnant par milliers, s'entrechoquant. L'humanoïde sentit les vertèbres de son accolyte s'enfoncer dans son dos. Elles étaient habituées à la présence l'une de l'autre mais Labiatta détestaient souffrir. Difficilement la lézarde se redressa, évitant au mieux de nouvelle souffrances à l'humanoïde. La fille attendit que la lézarde soit face pour se relever à son tour.
Toute deux eurent alors le même regard face à l'ange : souffrances.

Labiatta chargèrent alors cet innocent, bon elles étaient éloignés, il avait le temps de fuir s'il le voulait. Labiatta n'étaient pas rapide, il était simple de les semer.
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MessageMensonges d'une nuit d'été EmptyMar 6 Jan 2009 - 9:39

Chapitre 7 : Evasion.

Apparemment charmée par sa beauté, la geôlière des infinis s’était éloignée semble t’il pour mieux le contempler.


*quoi d’autre ?*

Continuant à faire de la buée pour la promotion d’une machine fumée, l’ange se redressa pour donner son meilleur profil.

*comme genre, clown y est…*

Ce n’est pas que son égo était démesurément mal placé, mais la crainte des os craquelant sur le sol, eut tôt fait de le faire frémir plus que de raison.
Il entamât donc avec élégance, une dance traditionnelle de certains pays insulaire, qui remontait jusque dans la nuit des temps…
Le rythme paraissait endiablé et charmeur, dans la vitesse de ces pas effilés, les mains osmoses dysphasiques, étaient secouée par la grâce gravitée, aux appels indécents de la terre nourricière.
L’ange présentait nue son dos, où son aile appuyait au rendu du tableau, lent effets d’optiques qui le faisait paraitre à tort, de plus en plus petit, à mesure que son carcan vespéral, s’imbibait de la nuit maritale et que…


*En gros je fuis !*



-silence gênant dans la narration-



Ruisselant de l’effort qu’il venait d’accomplir sur lui-même ; il se retourna pour voir si la mort n’entachait pas à l’ombre de ces pas.
Les portes surgirent à nouveau pour la seconde fois au loin, comme les loups autours qui lui en barraient l’accès, avait repris leurs us, lorsque la mort s’en était allée.
Et pourtant il n’avait sur lui aucune graisse pour servir de petit pot de beurre, ni la gale pour leurs remplir l’assiette.


-« Mon dieu, qu’ils ont de grandes dents ! »

Le petit chaperon blême, sentait la faim arriver sur lui.
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MessageMensonges d'une nuit d'été EmptyJeu 15 Jan 2009 - 13:29

Chapitre 8 : Dance avec les loups.

Six crocs si acérés s’échappaient des babines retroussés des montres aux pelages gris-neige.
L’air froid et équilibré, transparaissait de leurs respirations carnaires, alors que des nuages en commotions fuyaient pleutres celle saccadée à force d’avoir trop courue, de l’ange essoufflé, par sa digestive promenade.
D’autres estomacs en ruts, grommelaient leurs aigreurs face au poulet qui n’en était pas un, songeur
, il semblait les… compter, comme si cela pouvait n’y rien changer.

-« 1, 2, 3… »

Sa larme-épée sortant de sa virginale couche, douce et sans mouvements trop brusques pour ne pas précipiter ce combat primal, à mesure qu’ils l’encerclaient de plus en plus d’un arc de dents affreuses, qui firent déglutir notre mathématicien, avant qu’il ne passe le point de non retour.
Deux bondirent sur l’oiseau nycthéméral, salive versatile bien en dehors, filante comme une mère louve devant une grille d’un poulailler lors de la saison des soldes.


-« … Nous sortirons des bois ! »

Il se baisa, décrivit rapidement un cercle avec son pied gauche, et de l’impulsion offerte par sa main directrice, il effectua une véritable pirouette glacée, le pelage de la mort froide en regard pour venir se briser contre sa dance élégante de simplicité aérienne.

-« 4, 5, 6… »

Déjà les corps ouverts par la spirale du patineur, glapissait avec pitié pour leurs frères sur le sol rare, que l’ostracisme meurtrier renforçait encore ces liens vers le danseur effréné.

-« Dance seconde : amor et des lys! »

Passe, courbure, arc, danser, lasse, cassure, marque, charnier.
Le dernier fuit le dictateur du massacre, hurlant la nuit comme d’autre réclament le biberon, la mère infanticide passant au travers des cadavres régurgitant os, sang, trachée fit briller sa larme une dernier fois avant d’aussi doucement la ranger.
Il réajustât une mèche folle par sa main libre et maculée, avec une grâce proche de la divinité des blondes, le corps à moitié incliné dans de folles courbures, il chuchota à la nuit, d’une voie métronome.


-« 7, 8, 9… »

Un silence éternel, avant de se remettre en route vers la cité en émoie.

-« Elament j’arrive, je sang qu’il va y avoir de la meuf ! »

D’un arbre tombe le narrateur, mort d’un arrêt cardiaque suite à cette envolée de lyrisme, nous tentons une réanimation avant de vous conter la suite… *clin d’œil*

[HRP : Chapitre 9 --> study ]
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MessageMensonges d'une nuit d'été EmptyDim 25 Jan 2009 - 20:01

Au loin...

Regarder le jeune puceau se frayer un chemin parmi les loups. Vigoureux le pourceau. Vif et agile, son vent balaya les chiens sauvages et les dissuada de l'attaquer davantage. Ces couards, ils avaient patienment attendut que ce poulet s'éloigne de Labiatta pour le courser. N'était pas gibier celui qui croyait...

Labiatta sourirent. Il était intéréssant, à revoir sans aucun doute. Le temps ne manquait pas au drewoor, le temps ne leur était guère important. Long fleuve tranquille qui coulait sur ses os. Qu'importe si le fragile corps de Labiatta viellite, ses os ne pourront que devenir plus solide avec le temps. Il suffisait de retirer l'humidité, les champignons et la mousse qui s'accrochait sur les os les plus exposé. Elles s'entendirent soupirer lorsque les portes s'ouvrirent, laissant contempler la lumière chaleureuse que diffusaient les lampes à huile de la citée.
Si seulement elles pouvaient rentrer...
Elles comprenaient pourquoi et comment les démons enviaient les élémentaires. En plus d'avoir de puissants pouvoirs ils avaient une magnifique citée... Labiatta se remémorèrent les grottes, les granges dans lesquelles elles vivaient autrefois. Toujours froides, toujours seules...

Doucement les portes se refermèrent, les loups survivants partaient chassés de nouvelles proies. Labiatta restèrent immobiles, découpées dans la lumière de la lune qui se levait. Et si elles se joingnaient au 'autres' pour entrer dans cette citée ? Elles sourirent, elles reverraient certainement les ténébreux cavaliers. Ils avaient laissé entendre à Labiatta qu'il pouvait y avoir d'autres représentant de sa race.

Elles ne demandaient qu'à les rencontrer.


[Topice terminé - à vérouiller]
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