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| [Vagabond] Deirdre - non élémentaire | |
| | Deirdre Nombre de messages : 54 Âge : 33 Race : Loup-Garou Poste : Esclave Magie Contrôlée : Ténèbres Feuille de personnagePuissance: (40/1000) | |
| Lun 11 Aoû 2008 - 11:17 | |
| Nom : ... ses parents ne lui en ont jamais parlé, dans la forêt, nul besoin de s'embarrasser avec un nom Prénom : Deirdre Age : environ 19 ans Race :Loup garou Poste dans la cité : Esclave Élément contrôlé ainsi que raison de ce choix : Suite à: Désolation et Questions&Demandes au Staff à propos de vos RP Deirdre a développer de la magie démoniaque, ténèbres. Néanmoins comme indiqué, elle ne les maitrise pas, ce serait plutôt l'inverse. Histoire : La douce chaleur des rayons de soleils naissants commence juste à réchauffer l'herbe et les arbres. Le ciel et la terre s'éveille avec douceur, la vie avec elle, chassant pour un temps les créatures des ténèbres. Un homme court parmi les arbres, les doigts crispés sur une épée et des gerbes de feu s'échappant de ses mains. Il s'élance dans la forêt avec la force du désespoir, fuyant Elament. Sans se retourner, il doit dire adieu à sa cité bien aimé qui l'a accueillit et lui à offert la maîtrise du feu. Des cris autours et derrière lui, la chasse au loup débute. Voila trop longtemps que des massacres on lieu, trop longtemps que les habitants on laissé vivre parmi eux "ces bêtes féroces"... Les Garous ne sont que trop peu les bienvenue en ces terres. Trop de meurtre sanguinaires qui leurs on été cruellement attribué, trop de morsures, propageant ainsi avec désespoir un sang entaché d'une trop lourde malédiction à porter. Cet homme court vers sa libération, il s'enfuit gardant au creux de son cœur l'espoir de revoir les siens. Car c'est vers le cœur de la forêt qu'il s'élance, vers sa douce compagne. Les chasseurs à ses trousses ne sont que trop dangereux, aussi, au cœur de la forêt si il doit protéger ce qui est siens, il les tuera sans aucune hésitation, loin de la juridiction de la cité, loin du jugement des "civilisés". Au fond de la forêt, il est chez lui, c'est son domaine, la ou il a été mordu et la ou seul sa cour et son jugement fait loi. Les pas ralentirent, il stoppa sa course craignant pour sa louve. Jetant un regard méprisant en arrière il entreprit de déformer son corps, laissant sa fureur s'exprimer dans sa transformation. Dans un cri et des craquements secs, une forme presque animal se dessina entre les arbres. Le loup garou s'était éveillé. Avec une rapidité et une agilité surprenante pour un être de plus de 3 mètres, il bondit en avant, reprenant à toute allure sa route vers les siens. Ce qui pourrait s'apparenter le plus à un sourire apparut sur ses babines, retroussées par l'effort. Enfin avec douceur, le pelage grisâtre cessa d'être agité par le vent, les pattes arrières stoppèrent tout mouvements, celle de devant se dressèrent, et le Lycan se leva. Une lueur d'amour et de tendresse apparut instantanément dans ses yeux fauves, sous les racines d'un arbre énorme, sa compagne était assise. Careb la regarda, le monstre de puissance détendit ses muscles et le prédateur laissa place à un amant comblé. Morwena, sa femme, était une jeune fille rousse au yeux pétillant. Avant qu'elle aussi ne fuie la cité, elle était élève à l'école, une aqua plus précisément. Ne supportant plus les regards, les accusations, elle avait trouvé refuge dans la forêt et Careb l'y avait rejoint. A présent ils étaient loin de tout danger. La force du lycan protégée sa famille aussi bien que la muraille de la cité croyait il. La jeune femme le regarda à son tour. Face au géant loup, elle était minuscule. Un mètre soixante de finesse et d'intelligence, face à trois mètres de force brute et de tendresse. C'est avec une extrême douceur qu'elle tendit les bras en avant et présenta à son protecteur le précieux trésor qu'elle avait caché en elle, durant neuf mois. Une petite créature se lovait contre son cœur, un petit être de chair rose, fripé par sa venue au monde. Morwena caressa le dessus de sa tête, déjà couronné de quelque cheveux d'un blond presque blanc. Le lycan trembla, un sourire paternel éclaira sa face, une patte d'une envergure impressionnante se posa avec la délicatesse d'un papillon sur la tête de la jeune femme rousse, il posa tendrement le bout de sa truffe sur le front de sa petite fille, heureux comme jamais, et satisfait. Le lycan reprit finalement sa forme humaine et raconta à sa louve la chasse lancé contre lui. Il la vit frémir pour leur enfant, et pour leur tranquillité. Les deux anciens habitants de la cité se sentirent trahis et abandonné par ceux qu'ils avaient toujours considérer comme leurs amis, leur famille. Le couple et le nouveau né s'installèrent dans la forêt, ils construisirent un campement de fortune, une tente faite de peaux tannées, un feu, et la vie serait belle pour eux. Careb chassait pour sa femme et sa fille pendant que Morwena surveillait l'enfant et remplissait avec perfection son rôle de mère. Pourtant la cité ne semblait pas les oublier, plusieurs fois en revenant de la chasse, Careb entendit les battus, les chasseurs. Jamais il ne leur fit le moindre mal, jamais ils ne lui avait parut dangereux. Ils vécurent ainsi, de façon simple certes, mais ils ne manquaient de rien de primordial. C'est avec émotions qu'ils virent la première métamorphose de leur petite à l'age de trois ans. Bien sur, enfants de deux Lycans, la petite ne pouvait être qu'une garou. Ils avaient pourtant espéré pendant trois ans qu'elle ne subirait pas le même sort qu'eux, mais ils savaient au fond d'eux même que cela n'était pas possible. Elle était juste un garou, elle était pure, et son père en était fière, bien qu'il eut préféré la voir grandir et s'épanouir comme tout les enfants. La petite se transforma pour la première fois sous le coup d'une grosse colère. Avec des pleurs de souffrances, ses parents la regardèrent impuissants passer dans leur monde. Leur petite fille de trois ans se retrouva métamorphosé en belle "louve" blanche. Elle écarquilla les yeux la douleur passée et regarda ses pattes. Elle avait déjà vu ses parents ainsi mais cela lui avait semblait normale, pourtant jamais il ne lui était venue à l'esprit qu'elle aussi pouvait être comme cela. La petite s'avéra aimer cet état, elle aimait partir accompagnée de ses deux lupins de parents dans les bois, sa mère lui racontait les légendes des lycans et son père l'emmenait chasser. Très vite, elle adopta la lune comme une seconde mère l'ayant vue naître. Les étoiles devinrent ses amies et elle grandit sous leurs pâles clartés. Elle aimait découvrir la vie sauvage, découvrir les joies et les bienfaits de sa grand mère la Terre. A sept ans, sa mère lui raconta plus en détail les légendes Lupines. Les étoiles jouaient dans le ciel depuis des temps infinies, quand fatiguées, certaines s'étendirent pour se reposer, se faisant vieilles. Deux amies, deux amantes se couchèrent l'une à côté de l'autre, La Terre et La Lune. Lorsque la Terre s'étendit, la vie commençât à apparaître. les végétaux, les minéraux, certaines créatures. Et enfin de l'union de la Terre et de la Lune naquirent les loups garous. Les hommes apparurent en même temps, et avec eux, la guerre, la souffrance... La petite Deidre raffolait de ses histoires, son père regardait Morwena avec désapprobation. En effet la jeune mère ne rajoutait pas que très vite les Lupins pures disparurent et laissèrent place à des malades. Les hommes se trouvèrent contaminés par la morsure et le calvaire de "loups" commença. Depuis des temps immémoriaux, les hommes se disent contaminé par les garous, mais eux, ne voient pas les choses de cette façon. Il s'agit en effet des Lupins qui voient leur race s'affaiblirent, la morsure d'un des leur ramenant dans le clan une nouvelle bouche à nourrir, un nouvel être à plier aux lois de la meute. Les Lupins pures commencèrent à disparaître, pour finalement laisser place à des créatures transformées en Loups Garous. Les anciens virent leur sang taché, les clans éclater, et la meute se désorganiser. Dans ces histoires, Deirdre ne comprenait pas une chose. Qu'étais donc les autres créatures? Ses parents lui en avaient parlé, mais qu'avaient ils de différents? Peu à peu la petite fille devint curieuse, elle commença à se balader seule à l'age de 13 ans, puis à s'approcher de plus en plus de la cité, des villages alentours et des lieux habités. Un frisson parcourut les hameaux, les loups étaient de retours, une bête sauvage et sanguinaire avaient été aperçus dans la forêt, il fallait reprendre la chasse. Mécontent, Careb du se rendre dans un village en humain, chassant un tout autre gibier que d'habitude. Il venait cette fois ci chercher des informations. Pourtant, les heures passèrent, les jours. Morwena, folle d'inquiétude décida de se rendre elle aussi au village. Ne pouvant se résoudre à laisser sa petite seule, elle l'emmena avec pour consigne de ne pas laisser le loup prendre le dessus, sous aucun prétexte. Un bonheur infinie traversa la petite fille, elle allait voir ce qu'était ces autres créatures. Elle ne pourrait plus jamais oublier leur existences... Arrivé aux alentour du village, une odeur de chairs brûlées envahit les narines des deux louves. Avec stupeur, la petite fille regarda pendouiller lamentablement au cœur du village une peau sanguinolente. Curieuse, elle détailla la forme qu'avait eut cet animal, deux pattes avant deux pattes arrière, une grande queue touffue, des oreilles pointues, et surtout, le même pelage que son père. Elle leva les yeux vers sa mère et ne remarqua rien, le vissage impassible, Morwena fixait la peau, elle serra la main de sa petite, regarda les paysans méfiants et se dirigea vers la sortie... Lentement, très lentement. Deirdre ne comprit que bien plus tard que sa mère avait fait ça pour la protéger. Si les paysans avaient réussi à avoir Careb, ils réussiraient à avoir Morwena et elle ne pouvait se résoudre à abandonner ainsi sa fille. La louve rousse ne parla plus jamais de son amant, elle se mura dans une haine sans borgne envers la cité et ses alentours. Elle continua à raconter certaines légende à sa fille, chassa et fit tout son possible afin d'être oublié. Elle lui narra que son prénom Deirdre, lui avait été donné en hommage à la plus belle louve connut des légendes. Deirdre, était une lupine "pure" qui avait pour parents deux lupins, purs eux aussi. On raconte qu'elle était l'incarnation même la lune. Un pelage d'une immaculée blancheur, un chant à faire pâlirent les étoiles. La terre semblait fleurir sous ses pieds comme si elle retrouvait son amante. La lupine semblait être la Lune descendu sur Terre. Les anciens acclamèrent Deirdre, la vénérant et la respectant au même titre que Lune et Terre. Pourtant, la lupine tomba amoureuse d'un homme, un simple humain ne connaissant en rien l'existence des lycans, et on raconte que son sang était si pure qu'elle donna naissance... à un louveteau. Morwena offrit cette légende à sa fille qui ne comprit pas. Arrogante, la jeune fille de 16 ans interrogea sa mère, en quoi donner naissance à un simple loup pouvait être honorifique? Morwena sourit et caressa la chevelure doré de sa fille. Chaque lycan possède en lui une force sauvage, un côté animal, le côté loup. Pour les lupins et les lycans qui acceptent avec joie ce côté, les loups sont ce que nous rêvons d'être. Nous sommes des êtres sauvages, entravés par les chaînes de l'humanité. Ni loups, ni hommes, ni autres choses d'ailleurs. Mettre au monde un louveteau, cela symbolise la pureté du sang absolu, cela signifie arriver à un idéal que tout les lupins veulent atteindre. Tant qu'un autre sang que celui des loups couleront en nous, nous ne serons qu'une moitié, rêvant sous la lune de se que nous pourrions être... La petite Deirdre resta la bouche ouverte, regardant avec admiration se mère. Dans son esprit, la jeune fille décida qu'elle serait sauvage. Aussi forte que son père, aussi maligne que sa mère et aussi sauvage qu'une louve. Elle fit part de ses vœux à sa mère et Morwena sourit. Aussi sauvage qu'elle était, la louve rousse s'était laissé séduire et domestiqué, elle avait vécue par amour pour un homme au sein d'une ville. Son visage se décomposa, la tristesse envahit de nouveau ses traits, le silence s'installa entre les deux louves. Deirdre continuait à rêver de grands espaces, elle se promettait qu'un jour elle parcourrait librement les forêt, sans craindre ni les démons, ni les hommes ni aucune autres créatures. Puis, lentement, la louve rousse commença à pâlirent, sa fourrure commença à blanchir et ses yeux verts perdirent leur éclat. Le souvenir d'un amour passé et volé par les hommes l'éteignit lentement, très lentement. La cité était agité, une odeur de sang et de bataille commença à régner sur la foret, les démons devinrent de plus en plus actifs, sans pourtant déranger les deux femmes. Morwena passa ses journée au campement, ressassant les même choses à longueur de nuits et de journées, pendant que Deirdre partait chasser et nourrissait sa mère. Avec une certaine curiosité elle regarda la cité perdre des vies ainsi que les démons, puis enfin, les deux camps se reconstruire. Elle ne cherchait pas à comprendre, loin de la logique des "civilisés", elle vivait bien, pourquoi chercherait elle à trouver une raison à tout cela? Sa mère ne lui avait jamais parlé des pouvoirs et autres dons des éléments, puisqu'elle n'en avait jamais éprouvé le besoin. Enfin le soleil se leva sur les derniers instants de Morwena. La louve rousse plaça entre les mains de sa fille ses deux derniers trésors. Un vieux livres relié de cuir tout d'abord, héritage du vieux lupin qui l'avait mordue voila à présent plus de 25 ans. Les larmes aux yeux, elle révélât à sa fille la noblesse et grandeur d'âme de cet homme, mort à présent. Toute son existence, il avait cru en la puissance de leur sang, toujours il avait recherché la même liberté que les loups sans jamais l'atteindre. Morwena sourit avec tendresse et dit à sa fille qu'elle avait trouvé cette liberté en lui donnant la vie et en l'élevant loin de toute civilisation. Enfin elle la serra dans ses bras et lui offrit une dernière chose, son amour pour Careb. "Ne l'oublie jamais, n'oublie jamais ce lycan qui était ton père." Elle n'en avait jamais reparlé et à présent elle le regrettait. Elle raconta sa vie, comment il avait été mordu et comment il avait si bien conjugué sa vie de loup garou avec sa vie à Elament. Avec tendresse, elle se rappela à voix haute comment il avait toujours rit des légendes lupines. Une larme de tristesse perla dans ses yeux à présent vide. Les deux émeraudes avaient quitté la louve rousse, mais les yeux de Deirdre étaient la pour étinceler de la même façon. Elle indiqua à son enfant comment se vêtir, ou boire, trouver de la nourriture... La jeune louve regarda avec amusement sa mère se répéter. Sa mère se transforma une dernière fois, désirant mourir sous cette forme... Deirdre se blottie contre sa fourrure couleur de feu et de neige. Elle entendit douloureusement son cœur ralentirent, faiblir puis s'arrêter. Elle contempla longtemps la beauté à présent immortelle de sa mère. Dans la tente, elle récupéra la fourrure de son père que sa mère avait réussie à récupérer et elle mêla les deux toisons dans une dernière étreinte, éternelle.
Dernière édition par Deirdre le Mar 15 Mar 2011 - 9:14, édité 4 fois |
| | | Deirdre Nombre de messages : 54 Âge : 33 Race : Loup-Garou Poste : Esclave Magie Contrôlée : Ténèbres Feuille de personnagePuissance: (40/1000) | |
| Lun 11 Aoû 2008 - 11:17 | |
| Caractère :
Le fait que Deirdre ai toujours vécue avec ses parents se répercute énormément sur son caractère. Elle ne connait personne d'autre, n'a jamais eut d'amis d'enfance. C'est une jeune fille incroyablement curieuse, tout lui parait nouveau et la surprend. Elle est aussi « naïve » ou plutôt inconsciente, les démons pour elle ne sont rien d'autre que des civilisés, tout comme les personnes habitant Elament. La notion de bien et de mal est absente de son esprit. Sa seule préoccupation est de bien vivre, sous la lune et les étoiles, librement. Elle se laissera assez facilement approcher et peut être même abuser qui sait, pourtant elle peut aussi se montrer dangereuse. Elle ne sait pas du tout comment agir en compagnie de quelqu'un, elle ne sait pas vraiment comment se tenir face à des gens, et il ne faut pas oublier que les Lupins (ou Lycans) peuvent se montrer parfois lunatique (héhé). Elle tient à sa fierté et à la fierté de sa race. Pourtant, les histoires de sa mère lui sont légèrement montées à la tête et elle aurait tendance à mépriser les loups garous contaminés par morsure et à éviter au maximum de répandre ces « abominations » . Elle est très solitaire, mais en même temps elle n'a pas eut le choix, je ne sais donc pas comment elle pourra se montrer dans une possible vie relationnel. Elle est assez possessive et tient énormément au livre que sa mère lui a donné, elle est aussi territorial (oui bah c'est un lycan quoi). Sa forme humaine ne la dérange pas spécialement, mais elle apprécie réellement sa forme garou, même si cette dernière est... imposante.
En bref c'est un personnage qui est vraiment en construction, elle n'a jamais eu aucun contact avec quelqu'un d'autre, elle serra donc extrêmement maladroite, voir mal à l'aise mais je n'en sais pas beaucoup plus.
A présent: Deirdre est beaucoup plus méfiante qu'elle n'a pu l'être. Sa rencontre avec Iblis l'a petit à petit rendu plus sauvage, plus meurtrière. Elle se laisse petit à petit gagner par la fureur et la rage, les ténèbres prenant petit à petit (très lentement) possession d'elle. Elle possède toujours cette curiosité, cet air de chiot curieux et ce trait de caractère lui joue souvent des tours. Elle est un peu moins naïve mais ça reste une enfant élevée loin de toute civilisation...
Physique :
Humaine: C'est une femme d'assez petite taille, 1 mètre 55. Elle n'est dont pas bien impressionnante sous cette forme, elle à une petite carrure, les cheveux longs (bas des fesses) et d'un blond très clair, expliquant sa fourrure blanche sans doute. Elle à hérité des yeux de sa mère, deux beaux yeux verts, aussi brillants et passionnés que ceux de Morwena. Son visage est fin, elle à de petite lèvre rose, et un teint pâle. Ses vêtements sont ceux que sa mère à laissé pour elle, pantalon de cuir tanné, et chemise en tissus, elle est vêtue simplement, pas forcement très élégante... Elle porte des bottes montantes jusqu'au dessous du genoux, une ceinture avec un petit poignard accroché, et parfois une sacoche sur le coté, lui servant à mettre des herbes, ou des proies etc etc... Son corps est fin, sous cette forme elle parait fragile.
A présent: Son physique n'a pas vraiment changé en soit. Elle est toujours aussi petite et fluette, ses cheveux sont toujours aussi blond et aussi longs. Néanmoins, elle arbore à présent sur le corps plusieurs marques noires, ancrées dans sa peau, dues aux ténèbres que Iblis lui a permis d'ingurgiter.
Garou: Lorsqu’elle est transformé, Deirdre mesure de 2 m 60. Elle à la carrure d’un loups garou, elle possède de grosses pattes s’écrasant volontiers sur le visage d’une personne, des griffes coupantes, des crocs dont elle ne se sert presque pas de peur de transmettre le « virus ». Elle peut aussi bien se tenir debout qu’à quatre pattes. Son pelage est presque entièrement blanc, le dessus de son dos est légèrement coloré de poils gris, apparaissant avec « l’age ». Ses yeux sont toujours aussi verts, bien qu’ils soient plus perçants, mieux entraînés. Elle possède bien évidement un visage canin, une truffe noire au bout d’un long museau, deux oreilles pointues… L’apparence normal d’un loup garou.
A présent: De même que pour sa forme humaine, sa peau est parcourut de marques noires, cachés en partie par ses poils. Quelques touffes de poils commencent à se colorer de noirs, elle a donc des taches sombres dans le pelage.
Peur(s) : Comme tout les lycans, elle à peur des incendies. Le feu en lui-même ne la dérange pas spécialement, mais seulement lorsqu’elle se sent capable de le contrôler. Elle ne veut pas quitter sa forêt, elle est effrayé par ce qui se trouve en dehors. Elle tient énormément à laisser « propre » la race des lycans, elle est donc relativement inquiète, elle ne souhaite pas créer de nouveau loups garous par la morsure. Enfin, elle tient encore énormément à sa liberté, peut être que cela changera… A voir.
Niveau de maîtrise du pouvoir : Nul... Elle ne maitrise absolument rien. Les ténèbres sont en elle et se manifestent selon leur bon vouloir, au gré des humeurs de la Louve
Particularité(s) : hum… Le seul objet qu’elle arrive à garder en passant d’une forme à l’autre est un sac en cuir. En forme humaine, se sac se placera en bandoulière, et en lycan, il pourra se nouer comme une ceinture autours de sa taille. La seule chose précieuse qu’elle possède se trouve toujours dans se sac, le livre que sa mère lui as donné. Depuis peu, ce sac est cachée quelque part dans la forêt, trop précieux pour qu'elle se permette de le perdre.
Exemple de Message : .
Deirdre ouvrit les yeux. La nuit approchait, elle sentait avec douceur l'approche de la lune. Elle sentit sous ses doigts la douceur de la fourrure de sa mère, fourrure abritant une chaire à présent froide et morte. Elle soupira et décolla son corps du cadavre. Elle n'avait pas envie de pleurer, sa mère ne regrettait rien, elle avait eu une vie remplie et sereine. Deirdre se leva, frotta sa chemise pour se débarrasser des poils accrochés au tissus, elle leva tête vers le ciel et ferma les yeux, humant l'air.
L'air était lourd, des nuages noirs d'orages s'amassait dans le ciel, Deirdre pria pour que la Lune soit visible cette nuit. Elle commença à amasser du bois pour le bucher, elle revint au campement en trainant derrière elle des bouts de bois. Souriante, elle les entassa et forma un autel. Elle ôta sa chemise, ses bottes, son pantalon et se retrouva nue devant le corps de sa mère. Elle ferma les yeux et commença à transformer son corps. Une épaisse fourrure blanche commença à recouvrir son corps, ses os craquèrent, s'allongèrent et se déformèrent. Son visage s'allongea, ses yeux s'ouvrirent, elle dévoila ses crocs et poussa un long hurlement qui déchira le ciel.
La lune se dévoilait dans le ciel, laissa les nuages recouvrir par moment sa face, pudiquement. Une étoile apparut, puis deux... Deirdre banda ses muscles, souleva le corps mort du sol et l'allongea sur l'autel. A présent il lui fallait faire ce que tout loup-garou rechignait à faire... Allumer le bucher funéraire. Armé de deux silex, elle mis le feu à une torche, puis la main tremblante, elle avança la flamme vers la base de l'autel. Le petit bois et les herbes prirent feu, crachant ainsi une épaisse fumée. Le feu gagna rapidement le reste de l'autel, puis la fourrure se consuma rapidement, une odeur de chair brulée s'installa dans l'air.
Deirdre retroussa les babines et grogna. Elle regarda la peau entre ses mains et jeta au feu tout ce qui restait de son père.
*Qu'il brule et vive à jamais dans le cœur de la Terre avec ma mère*
Les yeux verts pétillaient en regardant le feu, elle se tenait à bonne distance, priant la Lune et la Terre d'accueillir en leur sein leur fille louve, Morwena. Un sourire apparut sur sa face, elle ferma les yeux et dit enfin adieu à sa mère....
Dernière édition par Deirdre le Mar 15 Mar 2011 - 9:05, édité 3 fois |
| | | Ruby
Nombre de messages : 4776 Âge : 44 Race : Peuple de Cristal Poste : Errante - Prophétesse Magie Contrôlée : Arcanes de l'Eau Feuille de personnagePuissance: (990/1000) | |
| Lun 11 Aoû 2008 - 21:40 | |
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| | | Deirdre Nombre de messages : 54 Âge : 33 Race : Loup-Garou Poste : Esclave Magie Contrôlée : Ténèbres Feuille de personnagePuissance: (40/1000) | |
| Lun 21 Mar 2011 - 21:57 | |
| Suite de l'histoire: Feu de joie?Deirdre rencontre un démon étrange, découvre peu à peu que sa forêt est totalement pervertie, elle échappe de peu à un cerbère L'âme de Mère la TerreElle est sauvé par un de ses confrères Loup garou, un élémentaliste. Ils parlent un peu de Elament et de leur condition Pure curiositéLa Louve s'approche pour la première de la civilisation et découvre le temple... Elle ressent une aura étrange dans ce lieu et bizarrement, s'y sente bien. DésolationDeirdre est confronté pour la première fois aux pouvoir démoniaques et élémentaire. Iblis et Roland se battent à mort, l'ange est tué par le démon. Deirdre se prend à désirer posséder autant de pouvoir pour défendre sa mère. Iblis lui propose de boire le mélange de son « sang » et de celui d'un Worg, la Louve accepte. Une fois le mélange bu, Deirdre est retournée à sa vie sauvage, passant le plus clair de son temps sous sa forme de louve. Petit à petit, elle a sentit une force nouvelle grandir en elle et elle l'utilisant pour tenter de détruire petit à petit tout ce qui dénaturait la Terre... Ses colères devenaient de plus en plus terribles et il lui arrivait parfois, lors des rixes les plus farouches de voir des filaments de ténèbres flotter autours d'elle, venant parfois taillader légèrement la peau de ses ennemis. La louve devint de plus en plus cruelle petit à petit, peinant à discerner le juste de l'injuste, toujours plus froide et menaçante à l'égard de ceux qui marchaient sur deux pattes... Petit à petit sa peau se teinta de marquages noirs, les ténèbres se répandant dans son corps, prenant lentement possession de son être. Elle n'y résistait pas, se laissant gagner par la rage et le désespoir, usant de cette force pour faire ce qui lui semblait le plus important, se moquant de se perdre dans ce combat... Finalement, c'est bêtement en s'attaquant à un groupe de démons plus puissants qu'elle que la Louve se fit capturer... Battue jusqu'à ce qu'elle redevienne humaine, affaiblie par le combat, elle fut attrapée et enchainée, un collier de métal dardé de pointes au cou, empêchant toute transformation... Pour la première fois de sa vie elle pénétra dans Elament et ce qu'elle vit, ce qu'elle ressentit ne lui plaisait pas du tout... Elle avait perdu la seule chose qui avait vraiment de l'importance pour elle... Sa liberté. |
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