Eryllis ne réagit pas quand elle sentit une petite douleur sur sa joue. Elle se laissait aller à sa léthargie, elle était coupé du monde et ne se réveillerait que lorsque la température serait plus clémente.
Le froid entrait dans ses poumons, tout était étudié: les poumons réchauffaient l'air froid qui se dispersait ensuite dans l'organisme et allimentait le coeur en chaleur. Le rythme cardiaque de la jeune fille avait diminué de moitié et sa peau était devenue glacée.

Elle savait parfaitement se qui arriverait si elle se réveillait trop vite, si il faisait encore froid, ses poumons exploseraient et se serait l'amboli pulmonaire. Si il faisait trop chaud, se serait l'arrêt cardiaque. Dans son interêt il était préférable qu'elle reste ainsi.

Keerra écpota attentivement les coseil du professeur, désaprende ce qu'elle vait pappris. Aî cela risquait d"'être dure en effet on avait enseigner a la jene fille d'être maitresse de ces sentimnt depuis plu de 10 ans et cela ne se désaprenait pas du jour au lendemain.

Quand le froid tomba sur elle ell ebne bougea abosolument pas. Elle le laissa l'imprégnée come elle le faisait quand elle respirait sou l'eau. Soudain elle se torouva mal assise sur le siége de glace. La jeune fille se léva et s'assit au sol.

Le sol étais complétement geler mais cela ne gena pas beaucoup Keerra, elle s'assit en lotus et respira a fond et espira longement , elle laissa l'air froid pénétrer dans ses poumeon et parcourire son corp.

La jeune kerestia avait écouter ce que le professeur avait dit au autres fille. Elle essaye de ne pas penser au froid mais quand elle fit cela au contraire, elle le sentit encore plus fort, elle ouvrit les yeux et regard autour d'elle le professeur pieds nu avec sa robe fine ne paraissait pa avoir froid. B il fallaitr accepter le froid comme elle aceptait l'eau.

* acdepter le froid, comme on m'a appris a acepter le douleur et l'échec. Bon alors comment est ce que je me débrouille.*

Keerra sourit encore un foix et respira profondement peu a peu elle sentait le froid moi pressent. Elle faillir sourire en voyant la jeune fille mordre le professeur, elle étais vraiment comme un loup, enfin elle avait déjà griffer l'un de ses profeseurs au visage.

Eryllis n'en pouvait plus. L'air était plus frais et ses poumons avaient du mal à réchauffer l'air assez vite. Eryllis accéléra le processus à l'extrème, réduisant encore encore de moitié son rythme cardiaque au minimum, le stricte minimum.
Elle cessa de respirer, seulement par intermitence pour faire entrer de l'air dans ses poumons mais elle ne pouvait plus se permettre de rejeter autant de chaleur.

Et puis une vive douleur au coeur lui fit comprendre que les limites étaient atteintes. Les poumons se chargaient d'eau par condensation et le coeur ne suivait plus il ralentissait de seconde en seconde.
Soit Eryllis revenait à l'état de conscience et s'était l'arrêt cardiaque soit elle continuait et s'était l'ambolie pulmonaire. Elle sourit interrieurement.

*Au moins j'ai le choix.*

Elle décida de continuer, se concentrant deux fois plus. Mais elle sentait l'amboli progresser et déjà un fin filet de sang s'écoula de sa bouche.
Si on la réveillait à ce moment là avec la température aussi froide, elle était perdue, l'arrêt cardiaque finirait de l'achever.

Carry, silencieuse, dans son coin était présente depuis le début du cours, et avait sentit le brusque changement de température.

*On va tester notre résistance au froid...* (Songeuse)

L'ange s'assit par terre et laissa le froid l'envahir.
Si d'ordinaire elle était maladroite et qu'elle ne connaissait rien de son élément, et que personne ne lui avait jamais rien appris sur l'eau, la résistance était son point fort.

Elle l'avait aquis toute son endurance durant toute l'année qu'elle avait mise pour trouver cette fameuse cité d'Elament. Une résistance au chaud, au froid, par la pluie et le beau temps, bien qu'elle avait une peur bleue des orages... Même si Carry préférait de loin la chaleur, elle avait appris à s'accoutumer au froid...

Dans la salle, le froid devenait de plus en plus glacial, toujours plus intensément. Alors l'ange resta immobile, en laissant le temps glacial se répendre à travers son corps, les yeux fixés sur le sol, le regard lointain, attendant que la température remonte.

*... si on a déjà passé une nuit dehors, par un temps d'hiver?...* (Commence à frissonner légèrement.)

L'ange déploya très lentement ses ailes, (qui ont un retard de croissances malgré leur taille), et même si elle ne pouvait encore s'en servir, elle les ramena autour d'elle pour préserver un semblant de chaleur...

*...*

Le froid n'était pour le moment, pas à son apogée. Juste moins 50, c'était peu pour le moment. Ruby comptait le faire descendre au plus bas qu'elle pouvait et, en moins d'une journée, habituer ses élèves à leur chair nue contre la glace et la neige.
Mais la jeune fille au loup avait des difficultés - pour ne pas dire, aucunes réussite - face à l'exercice demandé.
La professeur devait-elle faire remonter la température lentement pour fournir encore un peu de chaleur au corps de la jeune fille? Non, sinon elle mettrait à l'eau tout ce qu'elle avait fait jusqu'à maintenant.

Et, comme elle l'avait dit, c'était une péreuve que l'on devait faire seule, affronter avec ses propres armes. Et son arme à elle, c'était ses pouvoirs, enfin, si l'on ne prenait pas en compte ses ongles et ses dents.
Ruby porta la jeune fille jusqu'à son bureau et l'allongea dessus. Déjà que la plupart se plaignait du froid, ils devaient lui être reconnaissant de ne pas savoir faire du vent!
Elle l'installa le plus confortablement possible sur le bois dur et mit ses mains en coupe inversée au dessus de son ventre.

La professeur inspira et créa un dôme de glace autour de la jeune fille. Le froid serait là, mais la chaleur de produirait son corps maintiendrai une température adéquate - pour le moment - jusqu'à ce qu'elle sorte de son coma.
Avant de clore l'abris mince de glace, elle essuya du revers de sa main le filet de sang qui maclait la joue infantile de son élève.

*Ses poumons sont touchés* prensa-t-elle.

Mais, étrangement, ce n'était pas pour cela qu'elle allait la faire sortir.
Puis, elle se retourna, laissant à la jeune fille le soin de se soigner seule. C'était une épreuve solitaire. Puis regarda les méthodes des autres élèves pour se tenir chaud.
"chaud". C'était un concepte qu'elle ne sentait même pas.

Amoureusement et songeuse, la professeur se passa la main sur son épaule nue tatouée et elle s'adressa à la classe.

"Comme je vous l'ai dit, vous devez désapprendre ce que vous avez appris. Vous avez froid? Dite vous que ce n'est rien à côté de ce que vous subirez à la fin de la journée. D'ailleurs, croyaez-vous vraiment qu'il fait froid."

Elle marqua une pause.

"Regardez moi! A côté de la plupart, je ne porte absolument rien! Et puis, je n'ai pas l'air plus résistante qu'un ange, qu'un elfe, qu'une nymphe des glaces! Je ne suis que moi, seulement vêtue d'une robe, les cheveux détachés et les pieds nus sur la glace. Pourtant, je n'ai, ni la chair de poule, ni des frissons."

Un étrange sourire apparut sur son visage qui, durant un moement, avait pris l'air inquiet.

"J'accepte ce que la nature offre. Le froid est plus qu'agréable sur la peau. La glace est douce sous mes pieds et, la neige dans laquelle je vous ferez cours à la fin de l'année sera aussi confortable qu'un matela de plumes! ^^"

Eryllis avait perdie toutes volontés de revenir à son état normal, elle ne sentait plus rien venant de l'extérieur.
Seuls ses poumons et la douleur qui en venait lui fit comprendre que l'ambolie commencait. Bizarrement elle sentait que la chaleur commencait à augmenter dans son corps, elle ne savait pas que sa professeur l'avait mise en sécurité dans une coque protectrice, elle réfléchissait à un moyen de freiner son ambolie pulmonaire.
Elle recracha de nouveau une gerbe de sang coagulé qui lui maculait le menton. Elle souffrait tellement, elle avait pensé se mordre la langue et en faire couler le sang dans sa gorge pour se rechauffer mais ca la dégoutait plus qu'autre chose.
Elle se concentra, une ambolie c'était avoir de l'eau dans les poumons et les poumons gelés, qu'est ce qu'elle pouvait faire?
Elle pouvait toujours absorner lk'eau pour s'hydrater. C'est ce qu'elle entreprit de faire à l'aide de son pouvoir, faire transvaser l'eau de ses poumons à son organisme.

Facile à dire mais a faire c'est une autre histoire, elle se concentra de toutes ses forces, se focalisant sur l'eau de ses poumons.
Le premier essais fut un echec navrant qui lui fit recracher une grande quantité de sang. Elle allait mourir noyée dans son sang si ca continuait, mais tant que le sang n'entrait pas dans ses poumons elle avait encore une chance.
Elle réessaya de nouveau, elle n'eu pas plus de succés que la première et cracha de nouveau. Ca devenait critique.
Elle avait maculé son visage de sang qui lui coulait sur le menton et les joues avant de coaguler sous l'effet du froid.

Il fallait faire vite, pas de mystère, l'eau remplissait ses poumons de secondes en secondes et son pouvoir ne se matérialisait pas.
Comment c'était -t-il matérialisé la première fois?
Elle trouva la réponse, elle était en train de mourir a ce moment, elle était peut être même morte où moment où son pouvoir la projeta hors de l'eau et lui fit recracher l'eau qu'elle avait ingurgité.
L'histoire se répétait.
Il fallait donc qu'elle meurt, qu'elle se laisse mourir pour que son pouvoir réagisse. Et s'il ne se manifestait pas? Alors dans ce cas tant pis. Elle pensa à Tynus et une larme roula sur ses joues avant de devenir une perle de glace.

*J'y arriverait petit frère!*

Elle lacha prise, arrèta le processus, ralenti encore son rythme cardiaque, elle mourrait, elle le sentait. Elle sentait le froid devenir de moin en moins intense et envahir son corps. La chaleur enmagasinée s'échappa par ses lèvres entreouverte en un épais nuage de vapeur.
Elle pria pour que son pouvoir se matérialise mais pour le moment elle mourrait.

Elle mourrait doucement.
Surement.
Lacher prise, avoir confiance en soi.
Mourrir. La seul solution pour survivre.

Carry, enveloppée de ses propres ailes, se tenait immobile. Elle entendait non loin de là, la voix du professeur, qui lui paraissait lointaine, puis la vit vaguement transporter une jeune fille à son bureau.

La température allait donc baisser...

*... jusqu'à quand?....* (silencieuse)

Cet exercice avec ce changement de climat brusque, lui demanda davantage de concentration.

La seule méthode qu'elle connaissait jusqu'ici, et qui, d'ailleur, était celle qui lui avait permise de résister au froid hivernal dans les hautes montagnes; une méthode qui ressemblait fort à celui de l'hibernation des animaux. Sauf que l'ange ne tombait pas dans un profond sommeil, mais dans une grande torpeur, jusqu'au retour d'une température plus supportable...

*...Désapprendre ce qu'on a appris...* *... enfin... ce qu'on a plus ou moins appris...*

Or, elle savait pertimment qu'elle était en train de laisser son corps s'engourdir. Elle s'efforça alors de rester pleinement consciente, chose qu'elle n'avait jamais essayé dans sa vie.

Ne supportant pas le moindre poids sur ses ailes, Carry les secoua pour faire tomber la glace qui s'était formée autour de ses plumes.

*... après ça on pourra plus se plaindre qu'il fait froid dehors...* (finit par en être amusée)

L'ange leva enfin les yeux du sol, pour balayer du regard, la classe.
Son regard survola les élèves, le professeur, et les structures de la salle, dégageant une luminosité claire. Une salle complètement vide, mais qui dégageait un aura agréable.

Carry sentit soudain un changement de tention dans la pièce.
Elle n'était peut être pas un ange de la Vertu, qui étaient des anges capables de ressentir la douleur et la souffrance des autres, et dont la moindre peine les touchait au plus profond de leur être.
Mais elle ressentait faiblement, quelque part en elle-même, une sorte de vide, comme une flamme de bougie qui va bientôt s'éteindre. Une vie qui s'éssoufle, là tout près d'elle...
Ce n'était pourtant pas de sa vie qu'il s'agissait...

*...Qu'est ce que c'est?...* (Inquiète)

C'était là, quelque chose qu'elle n'avait jamais ressenti avant.
Quelque chose de poignant, alors qu'elle semblait pourtant s'effacer peu à peu...Quelque chose disparaissait.

L'ange ignorait d'où provenait cette sensation alors qu'elle se faisait sentir tout près. A ce moment, Carry se rendit compte que des larmes avaient coulé, pour se glacer le long de ses joues, sans qu'elle s'en apperçut.

Tout ce qu'elle savait c'est que ces larmes n'étaient pas dues au froid...

Eryllis avait entendu le cri déchirant de son jeune loup. Tynus sentait l'esprit de sa grande soeur s'éloigner sans qu'il puisse la suivre. Le lien ne se brisait pas même au seuil de la mort.

*Tout ira bien Tynus, le pouvoir, il va venir, ait confiance!*

Mais le hurlement ne cessa pas. Eryllis était aux portes de la mort à présent et le pouvoir ne s'était toujours pas manifesté.

Elle ressentit de la joie et la peine, tant de sentiments mêmlé ensemble, des souvenirs. Elle courait avec la meute, le premier lapin qu'elle avait chassé, la naissance de Tynus, la mort d'un petit pendant l'hiver, la vision du champ de bataille de Bélénos, le goût du sang, les coups de langue de sa mère. Mais aussi sa première morsure, la douleur de sa cheville cassée, la vague dans la grotte, la mort de l'ancien et de tout les autres, les cadavres qui flottent et elle qui nage au millieu, frôlant les corps inertes de sa meute, tous noyé, et elle qui....

Une chaleur, venue du plus profond de ses entrailles, elle se souvenait. La même qu'elle avait ressentit quand les eaux l'ont rejeté, la même qui lui a retirée l'eau dans ses poumons. Ca recommencait, lentement, le pouvoir arrivait doucement, incertain.
Elle, elle mourrait toujours.

La question était: est-ce que le pouvoir se manifesterait à temps pour la sauver?

La réponse arrivait, mais elle était confiante.
Elle cracha une autre gerbe de sang.

*Courage!*

Encore un effort! Le pouvoir elle le sentait.
Elle transfusa l'eau de ces poumons jusqu'a ses muscles pour les réhydrater.
Nouvelle gerbe de sang.
Sans poult revins, faible mais là tout de même. Elle le bloqua, pas question de seréveiller, elle m'intiendrait son état de léthargie.

L'eau était partit mais pas question d'arrèter. Elle reprit l'exercice là où elle l'avait laissé, et reprit sa fonction première, réchauffer son sang et l'oxygène qui lui venait de l'extérrieur.

Le loup ne hurlait plus, elle sourit.

*Ca y est*

Son pouvoir s'évanoui comme la dernière fois, elle reprit son exercice et cracha une ultime gerbe de sang rouge avant de retomber en état de léthargie totale.

Cela ne marchait pas. Ruby transpira et tout cela pour quoi? Pour que sa protégée crache à nouveau du sang.
Mais cela devait marcher qcar c'était la seule chance de survie pour la jeune fille. Non, Ruby ne faiblirait pas, elle ne remontrerait pas la température, quitte à avoir une jeune fille dans le coma. Les autres devaient au moins réussir. Etait-ce une pensée égoïste de privilégiée le nombre à l'unité?

Ruby essuya son front, s'étalant par la même occasion le sang qui, auparavent, maculait la joue de la jeune fille et qu'elle avait essayé de nettoyer.

"Eryllis" chuchota-t-elle à l'oreille de la jeune fille.

Le nom d'une personne avait un pouvoir que rares étaient les personnes à connaitre.

"Vas-tu laisser ton loup seul? Le rôle de la louve n'est-il pas de veiller - en dépit de la maladie, en dépit de la fatigue et de sa propre volonté - sur sa progéniture et sur sa meute? Ne fais-tu pas partie d'une meute qui compte sur toi?"

Ruby remit alors une des mèches de la jeune fille en place. Les mots, les mots possédaient le pouvoir. Puis, elle poursuivit ce qu'elle faisait, faisait s'évaporer l'eau du sang de la jeune fille qui se trouvait dans ses poumons, tandis que tout ce qui se passait à l'extérieur lui était indifférent.

Eryllis avait entendu les mots, des mots simples et lointains qui lui parvenait dans son état de léthargie.

*Laisser ton loup seul?.......rôle d'une louve......protéger........la meute*

T'en de mots mais qui prenaient leurs sens, Eryllis repenssa à sa meute, ses amis, ses parents, les histoires de l'Ancien qui avaient bercés ses rèves durant des années.

Son poult était redevenu normal bien que très faible en vue de son état de léthargie. Elle se laissa envahir par le froid, totalement, pour que progressivement, lentement eson organisme le réchauffe et le diffuse.
Tout reprennait son court, lentement, elle resta sur ses positions, elle finirait l'exercice. Coute que coute!

Ses poumons étaient de nouveaux dégagés grace à l'intervention de son pouvoir mes également d'une forca exterieure qui l'avait soutenue. Elle sourit de nouveau.

*Tout va bien*

La jeune kerestia ne sentait pas le froid pourtant elle n'étais pas beaucoup vétue comme a son habitude un pantalon en jean déchirer jusq'au genou et un t-shirt trés court . En fait elle ne pensait ps au froid, elle écoutait les parole du professeur. Elle porta des soulier plats et agréable a porter pour couire ou grimper au arbre.

La glace douce sous ces pieds pourquoi pas essayer. Elle enleva ses soulier et plissa les yeux elle sentit un frisson lui rmonter l'échine et elle sourit.

*vous vous n'aimer pas la glace j'ai l'impression. Héhé et bione vous aller y rester et puis je n'ai pas froid si si c'est vrai. Vous aller voir c'est plus doux que la pierre ou la rocaille.
Heuu je crois que je déraille la je parle a mes pieds.*

La jeune file redressa la tête et regarda Eryllis, la jeune fille avait du mal beaucoup de mal avec l'exercices, elle semblait a l'agonie même quand le loup hurla sa douleur a l'extérieur de la piéces la jeune fille ferma les yeux un instant. Elle avait sentit comme un impression fugace mais quyi lui broya le coeur un instant. La jeune fille murmura un seul et unique mots pour elle même.

" Rôwänn"

Elle secoua la tête et reposa ces yeux de chat sur la jeune fille que le professeur, elle resentait comme un force en elle la force de vivre malgré tous. Elle toucha un instant sa bloucle d'oreille en forme de chat. sans savoir pourquoi la jeune fille lui plaisait bien. Eryllis étais un Kerestia, un personne de son camps, d'ailleur keerra s'étais déjà demandée pourquoi la jeune file avait été élevée par les loup t non par un personne de la tribut.

Keerra étais une Félistia mais dans la citée de la jeune fille, tous les clan étais égaux.

Elle regarda le professeur faire tous son possible elle s'approcha légérement ne se souciant plus que da la jeune fille. Par un étrange mimétiste elle avait associer le combat de la jeune fille a la sentation de danger qu'elel avait ressentit peu avant elle se disait que si elle survivait se pincement s'arrétais.

Keerra étais inquiéte mais rien n'apparaisait sur son village. Quand le lui cria la jeune félista se détandis un peu la seule rencontre avec la jeune fille lui avait permis de dire que le loup et elle étais comme conectée.

Quand elle vit Eryllis sourient elle poussa un soupire de soulagement. Ouf sauvée. Les mots du professeur lui avait parut étrange mais le profeseur ne s'étais pas trompée, la jeune fille avait une ouïe trés fine et elle avait entendus le murmure du professeur.. Pourtant Keerra ressentait toujours se malaise.

Elle sourit encore un fois crispée puis elle fis le vide dans son esprit et enfuis tous ce qui aurais pu l'enpécher de vivre corectement ce cours. Elle laissa le froid faire partie d'elle

[Ouf changer 4 fois le message avant de poster.]

Tout était revenu à la normale, Eryllis se sentait mieux.
Qui l'avait aidé? Cette question lui trottait dans la tête, elle verrait une fois réveillée, pour l'instant elle tenait.

Contre toute attente, Tynus avait passé la porte et s'élanca vers sa grande soeur, allongée sur le bureau.
Il s'arrèta et posa ses deux pattes avant sur le bureau pour lécher le visage de Eryllis qui était encore maculé de sang.

Il se tourna vers la professeur, celle qui étaoit responsable de son état, sa faute, sa faute à elle! Ainsi pensait le loup.
Il grogna férocement, ne voulant plus que l'on touche à la seule personne qui lui restait, la seule survivante qui l' avait élevé comme une soeur, comme une mère.

Il était là tel un enfant qui protège sa mère, qui protège ce qui lui reste de plus cher.

Il était là et sa force s'était l'amour, celui qu'il portait à Eryllis. Qui lui faisait oublier le froid!

Il était là!

Eldarwen sursauta à l'entrée du loup, et encore plus quand il montra les crocs à Ruby. Elle comprit alors qu'il la tenait pour responsable, ça se comprennait, de son point de vue.
Mais un loup enragé était dangereux, très dangereux.
Eldarwen chercha son regard, chercha son contact, mais il ne la regardait pas, ses yeux était fixés sur Ruby, semblant attendre le moindre geste de sa part pour bondir.

*Tynus!*

C'était plus qu'une pensée, un appel, un ordre.
Eldarwen se posait mille questions, devait-elle faire ça? Elle n'avait aucun droit sur ce loup, elle le connaissait à peine, mais elle devait essayer.

Eldarwen pouvait mêler son esprit à ceux des animaux, c'est son père quilui avait appris cela, pour ne faire qu'un avec eux, paratger leurs pensées et leurs envies.
Elle voulait entrer en communion avec Tynus, afin de lui faire comprendre la vérité : Ruby n'avait pas mis en danger sa maîtresse, mais l'avait au contraire aidé.
Sachant que les paroles n'auraient aucun impact sur lui et qu'il serait trop simple de faire la sourde oreille, elle employa la méthode "radical" en imposant sa volonté à l'esprit du loup.

*TYNUS!*

Elle força le ton devant le manque de réactiondu la part du jeune loup.
Au deuxième appel, il tourna une oreille vers elle, il l'avait entendu, mais il refusait toujours de la regarder.
Savait-il à quoi il s'attendait? Surement, ils avaient déjà été en contact par deux fois.
Mais il devait la regarder!

S'il ne venait pas à elle, elle irait le chercher.
De quelques pas sur sa gauche, elle se retrouva en face du jeune loup qui ne la regardait toujours pas, l'ignorant superbement.

*Tynus...ce n'est pas le moment de jouer.*

Sa voix était douce, mais avec un goût acide de reproche.

Piqé au vif, le loup la fixa dans les yeux pour bien lui faire comprendre qu'il ne jouait pas!
Trop tard, il s'était fait avoir comme un novice, leurs regards croisés, Eldarwen ressentit la fusion formidable qui se produisait dans ces moments là, et elle penetra dans l'esprit du loup. Elle ressu en cascade des fragments de scènes passées, mais toujours aussi présentes dans l'esprit du loup, sa première chasse, les batailles avec ses frères et soeurs, l'arrivée d'Eryllis aus ein de la troupe, le bruit d'une cascade. Tout cela ne dura que quelques secondes, et pourtant, resterait à jamais gravé dans la mémoire de la fée.
Evidemment, le loup partageait également Son esprit à Elle, et bien que se livrer était totalement contre sa nature, elle n'avait pas le choix, il ne fallait pas que Tynus fasse de bêtises qu'il aurait pu regretter.

*Regarde, Tynus, vois la vérité.*

Elle laissa les images défiler entre eux, dans un espace commun à leurs esprits, et le loup vit tout ce qui s'était passé à partir de la seconde où il était derrière la porte. Le refroidissement, les réactions des élèves, mais surtout de sa maîtresse, qui avait adopté une forme de léthargie qu'il reconnu surement, devant user de la même en cas de "froid". Puis il vit l'état d'Eryllis se dégradé et la non-réactions des autres, ce qui lui fit lever les babines, révélant ses crocs, puis les efforts de Ruby pour la ramener.
Bien que toujours en colère, le regard du loup s'était adouci et exprimait même un reflet de gratitude.
Estimant suffisant ce dialogue muet, Eldarwen ferma les yeux et brisa le contact.
Le loup descen,dit de la table et se dirigea vers Ruby, le regard mauvais.

"Ne bougez pas, il ne vous fera rien, il a compris." chuchota t-elle à sa professeure.

Elle ne suggéra pas un instant qu'elle fut stupide et eut tenté quoi que ce soit, mais un être averti en vaut deux...

Tynus était à un pouce de Ruby, sa tête à hauteur de la main de la professeure. Il ouvrit la gueule et mordit "gentiment" un doigt, avant de lécher la main de Ruby.
Puis il baissa la tête en signe de salut et ressortit de la salle, la tête haute et la queue fièrement levée.

Eryllis avait sentit la présence de Tynus à ses côtés, elle l'avait sentit tout près d'elle, ses poils soyeux, sa langue rugueuse mais aussi son souffle argneux, le même que quand il avait loupé une proie.

*Tynus c'est pas le moment*

Le loup l'ignora, bien qu'il sente sa présence, il avait décidé d'en faire qu'a sa tête.

*Stupide loup!*

Eryllis ne pouvait rien faire, son état étant trop faible, si elle se déconcentrait c'était la rechute assuré. Hors il fallait qu'elle tienne par n'importe quels moyens.
Elle oublia donc Tynus.
Sa présence disparu peu de temps après.
Que c'était -il passé? Qu'avait -il fait? Elle n'en avait pas la moidre idée et ne voulait pas le savoir.

La concentration, c'était ca, la concentration et rien d'autre.

*Attend moi, je vais bien!*

"Petit .... frère!"

Juste un murmure à peine audible qui ne parvint jamais aux oreilles du loup.

Un murmure qui en disait tant, pourtant.

Coralline fut très surprise de voir la salle de classe se transformer en une véritable chambre froide. Jamais encore elle n'avait vu ça ! Mais comme depuis qu'elle avait atterri à Elament, elle se fit très vite à ces nouvelles... conditions.

*Supporter le froid ?* se répéta t-elle tandis que la température baissait considérablement. C'était un cours plutôt étrange... Elle sentit l'air glacé lui bruler la peau rapidement puis s'infiltrer dans ses poumons. Son coeur se mit à battre plus vite. Que se passait-il ? Elle s'accroupi son son siège de glace et joignit ses mains autour de ses genoux afin de se réchauffer. Elle commençait à grelotter et finissait par être victime d'horribles tremblements. L'air était si froid qu'elle avait l'impression de sentir le goût du sang à chaque respiration tant sa gorge et ses voies respiratoires lui brûlaient. De gros nuages s'échappaient de sa bouche à chaque souffle et ses doigts devenus violets s'enfonçaient dans ses tibias. Elle se détestait de s'être habillée si légèrement.

Bientôt, elle entendit les conseils que son professeur faisait à Eldarwen et se raisonna : *Il faut que je me calme...* Coralline fixait les élèves uns par uns afin de voir comment chacun d'eux réagissait. Il y avait une jeune fille qui semblait avoir choisi d'hiberner, un garçon qui s'était recouvert de glace, la jeune fille au yeux de chats parraissait très calme. Seule Eldarwen avait l'air autant paniquée que Coralline ! *Il faut vraiment que je me calme... ça a l'air de se passer très bien pour les autres...* tentait-elle de se convaincre. Mais le brusque écart de température l'avait prise au dépourvu.

*Bon sang, qu'est-ce que je fiches ici !* se maudissait-elle en serrant les dents le plus possible pour ne pas qu'elles claquent... *Calme toi, calme toi...!*

Elle ne perdait pas une miette des conseils de Ruby, pendue à ses lèvres comme si s'était la seule chose qui pourrait la sauver de ce froid qui la glaçait totalement. *Je DOIS me calmer !* Coralline décida de s'asseoir normalement en se répétant sans cesse qu'elle n'avait pas froid : *Avoir froid ne veut rien dire... ce n'est qu'une idée reçue... comme tout ce que j'ai appri chez les humains...*

Mentalement, elle imagina que son corps décendait à la température de l'air. Ainsi, elle n'aurait pas cette sensation de froid mais elle se sentirait bien... Elle écoutait tous les conseils que Ruby donnait en les attrappant au vol, tout en continuant d'observer les réactions et les méthodes des autres élèves.

*Désapprendre ce que j'ai appris... je ne fais que ça depuis que je suis arrivée dans cette drôle de Cité ! Si on m'avait dit que les Ogres ou les Anges existaient VRAIMENT... Si j'avais su que ce pouvoir était un don et non un maléfice... Je n'ai pas froid, le froid n'existe pas... rien ne peut être aussi froid que mon coeur en ce moment...*

Coralline cherchait de quoi occuper son esprit à autre chose qu'à ses certitudes apprises depuis toute petite. Elle ferma les yeux et eu l'impression qu'elle avait beaucoup moins froid, en effet. Lorsqu'elle rouvrit les yeux, elle vit Eldarwen debout, un ange qui pleurait et la jeune fille au loup allongée sur une table, du sang partout autour des lèvres. Ruby était penchée sur elle et semblait plus que soucieuse... La jeune Nymphe paniqua, son coeur se mit à battre à vive allure et à lui faire mal. Elle avait tout à coup une grosse boule au fond de la gorge. Son émotion venait avant qu'elle ai même le temps de comprendre la situation... Une jeune fille était morte de froid ? Coralline se retourna pour observer les réactions et les sentiments des autres, lisant sur chaque visage, déchiffrant dans chaque regard... Lorsqu'elle tourna la tête à nouveau, la jeune fille au loup respirait, un loup sortait de la pièce (qu'elle n'avait même pas vu entrer) et l'ambiance semblait beaucop plus détendue.

*Que se passe t-il ? Il me manque... il me manque des morceaux de temps ?* Coralline ne ressentait absolument pas le froid, mais son cerveau semblait pris de gros moments de 'blancs'. Elle regarda le professeur, incrédule...

La professeur regarda l'être canin adopté une attitude agressive envers elle. Ses crocs luisants de bave, sa respiration qui provoquait également des volutes de vapeur dans l'air, son poil hérissé, le sang qui maculait son menton.
Pourtant, comme chez tout les animaux sauvages, elle ne fixa pas son regard. C'était un tabou que seul les hommes enfreignaient. Mais, cela ne l'empêcha pas de faire de même, de prendre une attitude agressive envers le loup.

Tout d'abord, comme dans la plupart des cas où la professeur se mettait en colère, deux crocs apparurent sous ses lèvres...
Elle n'avait qu'une envie, sauter à la gorge de l'animal et lui montrer qui était le chef de la meute.
Et saurait été probablement ce que la Cristalléenne aurait fait si la fée mystérieuse ne s'était pas interposée entre elle et le loup.

*Il ne me fera rien* La pensée incrédule de la professeur destabilisa un temps sa colère avant que celle ci de disparaisse.

Comme si Ruby avait peur d'un loup sauvage, les crocs dénudés, près à la mordre. A ce jeu, c'était elle qui mordait plus fort. Avec où sans pouvoir.
Puis la transforma s'arrêta et ses crocs disparurent. Cela provoqua chez la femme un léger étourdissement qui passa aussi vite qu'il était arrivé.

Ruby se rapprocha de la jeune fille, observant le loup qui, dans une démarche nonchalante mais tendue, retournait dehord, probablement en quête d'un peu de chaleur.
La professeur se tourna vers la fée et lui parla un peu plus séchement qu'elle ne le voulait:

"Le jour où j'aurais peur de moi même, la lune arrêtera son cycle."

Puis, plus douce, à son adresse et à celle de la jeune fille au loup, comme pour toute la classe:

"Êtes vous pret à une baisse de température où, voulez-vous encore du temps pour supporter celle-ci?"