____Armelle entra dans un vaisseau qui ressemblait à ceux des Vickings et qui s'appellait d'ailleurs le "Dragon". A l'intérieur, une grand pièce très classe qui lui rappelle le vaisseau de son père.
Il y a un grand lit, une belle armoire en ébène et un bureau assortit. Dans le fond de la pièce, il y a un petit cabinet de toilette avec une baignoire, un lavabo et des toilettes.

Armelle range le peu d'affaires qu'elle possède et décide d'aller jeter un coup d'oeil dans les salles de cours qui sont à deux pas du dortoir.

Cours d'histoire de la magie (Cours n°3)

Armelle revenait du Lac, durant tout le chemin, son esprit fut hanté par la culpabilité. C'était surtout qu'elle avait horreur de se tromper.
Elle s'allongea sur son lit en se laissant tomber comme une pierre. Les yeux rivés au plafond, elle poussa un long soupir. Cette journée l'avait épuisé...

Elle s'endormit. Durant son sommeil, elle rêva de Makario. Mais les souvenirs étaient flous quand l'aube se leva.

Elle se réveilla au petit matin, fraîche comme du thon... frais. Elle se leva, fit sa toilette, s'habilla et rangea quelques affaires dans son armoire. Elle déstestait le désordre.
Mais elle avait attrocement faim (c'est vrai, hier elle n'a mangé qu'un petit bout de pain à midi). Il était huit heure et elle partit à la cafétéria.

La cafet'

Armelle rentrait de sa longue journée de cours, terrassée par l'affort de concentration. Elle fuma du tabac de pirate qui sentait fort et s'endormit.
Au matin, elle se lava (rare pour les pirates) et partit en cours de divination.

Divination

Plusieurs journées de cours épuisantes se succédèrent. Armelle ne broncha pas et se plia sous l'effort demandé.

Elle relut la lettre envoyé par son père :

Citation :

Chère enfant,
Voyez comme je prend ma plume et mon parchemin pour vous écrire. Ce n'est pas si exceptionnel que ça, pourtant. Vous voilà partie à Elament depuis deux longs mois et croyez-le, vous manquez sérieusement à l'équipage. Qui nous défend maintenant ? Qui crie des jurons à nos ennemis ? Vous êtes si proche de nous, mon enfant, sans l'être vraiment. Non, mon enfant vous ne l'êtes pas. Vous êtes notre soeur, ma fille, c'est certain depuis dix-sept ans déjà... Dix-sept ans que je vous ait recueillie et que j'ai fait de vous une fille de pirate comme j'aurais aimé avoir eut de mon sang. Je suis si triste de vous l'apprendre ainsi, mais votre départ et ces deux longs mois d'abscence m'ont fait réfléchir et je crois que vous êtes en droit de savoir.
Vous êtes bien née à New Paris le 21 juin 1985, votre gourmette en témoigne. Mais vous n'êtes pas ma fille. Vous êtes fille de deux parents inconnus à qui je vous ait enlevée... Moi et l'équipage (la partie la plus ancienne) voulions de nouvelles recrues pour perpétuer notre nom. Ma femme étant morte (Joséphine Mergson, ce n'est donc pas le nom de votre mère) et mes compagnons célibataires avons décider de voler des vies. C'était égoïste. Je le sais. Je me rend compte de ce que vos parents ont perdu en vous. Je m'en mord les doigts chaque nuit.
Vos frères et soeurs ont été mis au courant hier. Jean-Baptiste le savait et c'est pourquoi il est devenu muet. Pour ne pas vous mentir. Les autres ne s'en souvenais pas. Ils sont tous partis avec Louise et pour la première fois depuis dix-sept ans, j'ai entendu la voix de celui qui a si longtemps été mon fils aîné. Ils ne veulent plus de moi. Je les comprend.
Je comprendrais que vous me haïssiez de même bien que cela me soit insupportable, car je vous aime tels que mes vrais enfants.
J'ai d'autres chose très urgentes à vous dire car je pense que vos parents n'étaient pas humains (ce qui m'oblige à le penser sont vos pouvoirs étranges).

Mais je prendrais ma plume plus tard. Je ne suis pas courageux.
Je ne vous dit pas que je vous aime.

Albert de Grandmondt.

Elle ravala sa rage : *Pourquoi maintenant ?*

Elle fuma beaucoup se soir-là et prit une douche froide pour se remmettre de ses émotions.

Elle ne fit pas ses devoirs et ne dormit pas beaucoup. Elle lisait et relisait en boucle la lettre mais sans pleurer cette fois-ci.
Vers trois heures du matin, elle la remit dans son enveloppe et la glissa dans sa malle.

Elle pensa fort aux remarques de Vilkia. *C'est pour ton bien !*
Elle s'amusa à lire dans les étoiles qui lui annonçait un changement radical du quotidien à long terme dû aux proches et à la parenté.

Elle réussit tout de même à dormir un peu.

Elle se réveilla le lendemain matin et pit la direction des cours.

Cours de géographie

Cours de défense

En rentrant dans sa chambre, les pieds mouillés par l'eau à franchir pour accéder à son navire, Armelle apperçu une lettre au sol.

*Oh !*

Elle saisit le bout de papier et s'enfuit en courant.

La forêt Darke

[T'es pas censé être rentrée?? Hum, je le poste où mon message? Bon, on va dire ici... ^^]

Vilkia était inquiète pour Armelle. Elle ne lui avait pas parlé de la deuxième lettre, et cela l'intriguait. Pourtant, elle était son amie, et Armelle pouvait tout lui dire.

En fin d'après-midi, elle se décida à aller la voir dans son dortoir... Mais lorsqu'elle arriva, une surprise de taille l'attendait: L'eau... Une immense étendue d'eau, à perte de vue....

"Flûte!! J'aurais dû m'en douter... C'est comme le feu ans le dortoir des Ignis... Bon, comment je fais moi... Croier? Non...Je vais rameuter tous les Aquas, et ça sera pas cool..... Hummm, et si je faisais, un pont en feu???"

Elle réfléchit, et finit par s'asseoir par terre, dépitée...

"Tu sais même pas dans quel vaisseau elle est!!"

Salle des fêtes

Armelle bouscula quelq'un à l'entrée.

"Viiiiiiiiiiiiiic !!! Mais qu'est-ce que tu fous-là bon sang ? Tu risques ta vie !"

Elle la tira en dehors du dortoir.

Le couloir des casiers

Armelle prend ses affaires et se dirige vers le dortoir des terras.


THE END.