Mophus se souvins encore. Ce jour ou il arriva à Elament. C'était un jour commun bordé de nuage et de quelques éclairs. Un paysage déplaisant pour le commencement de sa vie d'aventures. Bien que le temps, lui, ne le gênais pas vraiment. Il continuas donc d'avancer sur les chemins menant à la citée, quand soudain, au loin, il aperçu ce qui semblait être des remparts. Sûrement ceux environnants Elament. Il accelera légerement le pas pour arriver plus vite à destination.
Après quelques minutes de marche, il arriva devant les murs de la citée que je recherchais. Caché sous sa cape,Mophus avança vers les grandes portes de la citée. Mais, au moment ou
il allais franchir les limites de la ville, deux gardes l'aretterent. Ils portaient tout deux les armures de la gardes de Elament et avaient des lances. Une chacun. Son allure démoniaque avait dût les déranger. Le premier posa sa main libre sur le torse de Mophus et l'autre lui pointa sa lance sous la gorge. Celui qui le mennaçait de son arme me dit :

"Halte Sâle Convertis ! Que viens tu faire ici créature du mal !?"

Son regard ne cessait d'observer le visage bouffis du garde. Une simple boule de chair sur patte. Je répondis en montrant l'intérieur de ma cape :

"Rien de mauvais ... Je viens juste me reposer à l'auberge de la ville pour repartir en pleine forme demain . Voyez je ne suis même pas armé ... Et un convertis désarmé ne peut pas faire grand chose ..."

Son regard se détourna vers le garde qui avait sa main sur mon torse puis revint sur celui qui le menaçais . Les deux hommes se regardèrent, interloqués. Ils se demandaient sûrement le pourquoi je n'avais pas d'armes ... Il est vrai que les convertis portent de préférence une arme. Question de survie. Après mûre reflexion, le second garde baissa son arme tandis que l'autre, lui, enleva sa main. Ils s'écartèrent et lui dirent :

"Les démons ne sont pas acceptés à Elament !Rebrousse ton chemin ou nous te tranchons !"

Les deux gardes se remirent sur leurs offenssivent en braquant leurs armes sur Mophus .Il les regardas .Il attrapas une lance puis la tiras vers lui .Au même moment il sortis l'épée de son fourreau puis transperças le garde au moment ou il fut a bonne distance .L'autre garde pouvait voire l'arme de Mophus dans le dos de son compagnon .Mophus sortis son épée puis l'homme tombas sur son épaule avant de toucher le sol .Il arrachat la cap du garde puis essuyat son épée avec .Ilrangeas son arme dans son etui puis parti en sens inverse ...

Amélie resta cachée derrière son buisson le souffle court. Elle avait tout entendu et tout vu. Mais pourquoi n'avait-elle plus de pellicule sur son appareil ? Pourquoi ? Un converti venait de pénétrer allégrement à Elament, mettant en danger Layna (quoiqu'elle s'en fichait un peu d'elle), les élèves (ça devenait intéressant) et les habitants (attendez ! Elle en faisait parti !). Mentalement, elle imprima les traits de l'inconnu...
Là au moins, elle aurait un artcile choc pour une fois ! Aaaah, enfin le quotidien d'Elament, brisé, bousculé, boulversé... La danger, l'aventure, la passion... ?!? Non mais qu'est-ce qui lui prenait de penser ça ?

Elle rejete sa chevelure neige en arrière, se redresse et opte, par pur plaisir du danger de le pister. Elle a une astuce, un petit écureuil dressé. Elle le fait galoper devant elle et fait mine de le suivre, de le promener.
Innocement, elle marche sur les traces de l'inconnu...

Mophus continuas vers la ville mais il vit une jeune femme qui courait après un écureil .Il la regarder d'un air étrange .Il continuas vers la ville toute en regardant quand même la jeune fille qu'il trouver suspecte .
Mophus partis dans une ruelle d'un coup de cap en attendant la réaction de la jeune fille .

A partir d'un moment Mophus en eut marre et se retournas puis dit :

"Pourquoi me suivez-vous ?!"

Il regardais la fille d'un air colérique en attendant sa reponse ...

(Tu n'as en tout cas pas le droit de décider de mes actions, et de celles de mes animaux...)

(Désolé mais j'anticiper tes actions !^^ Bon j'Edit )

(Pas grave tkt ^^)

La jeune femme, excellente actrice, sursauta... Elle le fixa dans les yeux en pointant du doigt l'écureuil avec innocence :

"Vous devez avoir une odeur qui lui plaît... Il vous suit... Aller, Jorkan ! Viens !" dit-elle d'une voix tremblotante.

L'animal s'execute, la jeune fille se redresse...

"Pardonnez-le !"