Filigel, qui avait commencé à manger, regarda la jeune fille avec un sourire:
"Eh bien, tu aurais sans doute rencontré quelqu'un d'autre, qui t'aurais aidé sans hésitation, et qui t'aurait, comme moi, emmené à la cafétériat."
Elle trouvait comique la reconnaissance de la petite nouvelle, puisqu'elle savait très bien que, dans cette cité, il y avait toujours quelqu'un de prêt à aider les nouveaux. Il était rare que ceux-ci soient laissés à eux-même, vu la grande population de la cité.