Laissant sa main suivre les contour des étoiles forment un chien.

-J'avais un oncle qui s'appellait comme ça. Quand j'étais petite deux mois avant la mort de mes parents, un soir alors que je ne pouvais pas dormir il est venue dans ma chambre et m'a enmener dehors. Me posent sur ses épaules il ma dit que s'il lui arrivait quelques choses ou si j'étais triste je n'avais qu'a regarder cette étoile. Je trouverais toujour le réconfort auprés d'elle car s'était une partie de nous.

Quand elle était enfant elle adorer ses histoires, bien qu'elle est dix-sept ans et qu'elle soit trop vieille pour ses histoires elle aime les racontrer encore.

-Je suis désoler je vois vous ennuiez avec ça.

Un sourire ce dessine sur ses lèvres il se met a parler un peu.

-Quand ont est enfant ont pense que les adultes se monque de nous, ont se monque d'eu en leur dissant qu'il commence a devenir gateux, mais au font de nous ont veux y croire de toute nos forces, dans nos peines quand ont est au bort du gouffre ont se racroche a ses histoires. Ses histoire sont d'autant plus précieuse quand elles sont raconté avec amour.

Ferment les yeux.

-Je me souviens qu'enfant ma mère chanté cette chanson quand j'étais triste et elle me remonter toujour le morale.

Doucement et sens sens rendre compte elle commence a chantonner la musique, puis les paroles.

Ces ombres qui dansent
Autour de moi
Je les vois, je ne dors pas,
Je sais ce que tu penses
Tu n'y crois pas,
Tu n'es pas la première comme ça

C'est la prière indienne de mes nuits,
De ces voix qui m'entraînent loin d'ici,
Où la raison, le temps ne comptent pas,
Je m'y sens chez moi
C'est la prière indienne de ma vie,
Au silence des plaines loin d'ici,
Si ce n'est plus qu'un rêve, tant pis pour moi
Je m'en vais là-bas
Ne m'en veux pas

Tant de vies sans légendes,
Sans cris de loups,
Et ce temps qui se bat contre nous
Je sens les yeux des villes
Braqués sur moi,
La lumière est inutile quand la lune suit mes pas

C'est la prière indienne de mes nuits,
De ces voix qui m'entraînent loin d'ici,
Où la raison, le temps ne comptent pas,
Je m'y sens chez moi
C'est la prière indienne de ma vie,
Au silence des plaines loin d'ici,
Si ce n'est plus qu'un rêve, tant pis pour moi
Je m'en vais là-bas
Ne m'en veux pas

Si ce n'est plus qu'un rêve, tant pis pour moi
Je m'en vais là-bas
Ne m'en veux pas

Je les vois, je les sens
Ces ombres sur moi...

Pendant qu'Angélique avait commencé à parler de la chanson, Tranlthanas, qui fouillait dans son sac, en sortait une mince flûte en bois. Et en plus ils se lisaient dans les pensées ? En tout cas, ils avaient la même réaction face à la mélancolie : la musique ça apaisait toujours un peu...

Il écouta le début de la chanson pour en mémoriser l'air, et, tout en écoutant les paroles, l'elfe se mit à jouer de sa flûte, improvisant une mélodie calquée sur celle du chant. Il jouait la tête levée vers le ciel, ne pouvait détacher son regard des étoiles, trop belles et nombreuses ce soir-là.

Quand la chanson prit fin, il rajouta quelques notes avant de lâcher lentement la dernière.

-Très belle chanson, assura-t-il, l'ayant parfaitement écoutée même en train de jouer de la flûte.

Sourie elle le regarda avec son beau regard violet.

-Je vous en remerci. Vous jouer aussi trés bien.

Trouve que finalement ils se resembles beaucoup ce qui le rend encore plus sympatique au yeux d'Angélique.

-Ma mère avait une trés belle voix. Quand elle chanté la pluie partait, le soleil brillait de nouveau et tout semblait possible.

Ce redressant elle regarda sa jumen.

-Je pense que je ne vais pas avoir le choix puisse que mon moyen de transport est profondement.

Aquoirelle dormait paisiblement, Blondin quand a lui ce tenait bien pelotoner contre sa maitresse en boule.

-Et vous?

Lui sourie.

-Ne vous inquietez pas je ne suis pas semsible au froid.

Regarde Blondin qui dort en boule prés d'elle.

-Et avec celui la je ne risque pas d'avoir froid.

Roule sa cape sous sa tête et comtemple les étoiles, depuis combien de temps n'avait elle pas fait cela, étrangement elle se rappelle le nom de toutes les constélations, elle arrive a reconnaitre l'étoiles des jumaux, la constelation du signe, celle d'Andromede.

Sourie.

-Je ne sais pas, mais j'aime a penser que ce sont des ames. Les ames des personnes qui nous ont quitter et qui continue a veiller sur nous. Quand je suis triste ou que je me sens seule je recherche l'étoile de sirius et je lui raconte ce qui me rend triste.

Soupire.

-J'aime a imaginer que ceux que j'aime et qui ne sont plus la continue a veiller et a penses a moi.

En ferment les yeux elle tente de se rappeller le visage de sa mère, mais il est un peu flou, une petite tristesse l'envahie, elle ne se rappelle pas la voix de son père, elle revoit ses long cheveux noir.

-Je l'espère aussi.

Un sourire ce dessine sur ses lèvres, elle revoir son oncle Sirius jouer d'un drole d'instrument, se tournant vers Tranlthanas Courseaube elle lui demanda.

-Comment avez vous apprit a jouer d'aussi belle médolie?

Ce tourant Blondin ouvrir les yeux et les plongea dans celui de sa maitresse, lui caressant doucement la tête il se repelota en boule et se rendormie.

Eclate de rire.

-S'est vraie que s'est un peux lourd sur le dos.

Regarda la bague de sa mère.

-J'ai appris avec ma mère, je jouer du lute, parmi les efles j'ai apprit a jouer de la flute et un peux de harpe.

-Vous avez tout a fait raison.

Place ses bras sous sa tête pour la surélever.

-La musique adoucie les peines de coeur, s'est comme un baume.

Se rappellent de sa blessure, regardent sa main elle enleva se mouchoire qui envelopper sa main, la blessure a completement dispau, sourie plus renge le mouchoir dans sa poche.

-Sur ces bonnes paroles... Je crois qu'il est temps de dormir, dit Tranlthanas en jetant un dernier coup d'oeil au feu.

Il s'était finalement éteint, replongeant les deux jeunes gens dans le noir de la nuit. Aucune idée de l'heure, il fallait attendre l'aube.

L'elfe se tourna vers Amandin, qui avait gigoté dans son sommeil. Il devait sûrement rêver à un gibier qu'il venait d'attraper... Il lui rajusta la couverture dessus. Puis il releva la tête vers Angélique.

-Je vous souhaite le bonsoir.

-Bonne nuit.

Se couvrent avec sa cape elle ferma les yeux, Blondin coucher prés d'elle, sentent que le feu s'éteignait Aquoirelle ouvrit un oeil et regarda une dernière fois sa maitresse pour s'assurer que tout ce passer bien puis elle se rendorimie.

Cette nuit la Angélique réva de ses parents, des costélation et de musique.

Entendent les chants de l'oiseau Blondin s'éveilla, baillent il s'étira et se redressa, le sentent bouger Angélique ouvrir les yeux ce levant et s'étira a son tour, voyant que Tranlthanas Courseaube était éveiller elle lui sourie et murmura.

-Bonjour.

Regardent Aquoirelle qui dormait profondément elle se leva et tenta de remettre un peu d'ordre dans ses long cheveux ce qui n'était pas facille a faire.

-Avez vous bien dormi?

-Oui assez, j'ai beaucoup rêver ce qui m'arrivait rarement.

Ce redressant elle tenta de coiffer ses cheveux mais a bout de patience elle poussa un soupir et ce contenta de les attaquer en queue de cheval. Blondin quand a lui ce dirigea vers Aquoirelle s'arrêter a lui sauté dessus quand il entendit le claquement de langue de sa maitresse. Ce tournant vers elle il la regarda avec des yeux d'ange.

-Non tu la laisse dormir! Elle est épuiser.

Regardent le ciel elle murmura.

-Je pense que nous allons avoir un temps superbre