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| Examen d'Ecriture : pour toutes les années | |
| | Compte Fondateur
Nombre de messages : 1383 Race : Aucune Poste : Aucun Magie Contrôlée : Aucun
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| Mar 24 Jan 2006 - 17:49 | |
| [Hors - jeu : Ceci est un examen trsè particulier. Il est plutôt destiné à évaluer le niveau de RPG des joueurs et leur capacité à écire... Les joueurs désirant passer en 2ème comme en 3ème année sont priés de le faire. Il comptera autant que les autres matières.] Examen d'Ecriture Sujet :Vous devez imaginer une divinité n'existant pas bien entendu, et inventer une légende ou un mythe autour d'elle. Faites preuve d'imagination et n'hésitez pas à ajouter de votre fantaisie pour rendre la votre rédaction des plus interessantes. Plan :Votre rédaction se divisera en deux parties. ¤ La présentation du dieu ou de la déesse que vous avez inventé : description physique, morale, symbole, famille, origine, etc... ¤ Le mythe qui tourne autour de votre divinité. Vous devez rédiger un minimum de 20 à 30 lignes. Au maximum contentez-vous d'un message. (ce qui est déjà énorme) Barème :¤ La qualité sera privilegiée à la quantité. ¤ L'orthographe et la grammaire seront comptabilisé à un assez haut niveau. ¤ Surveillez votre syntaxe et vos constructions de phrases. Eveillez les phrases trop longues justement et essayez d'avoir un style assez fluide et léger sans tournures trop lourdes... => Un texte illisble pour cause de fautes trop nombreuses devient vite insupportable et la note en baisse automatiquement. ¤ L'orignalité de votre rédaction sera très importante. ....................... [vous pouvez imaginer ce que vous voulez. A noter cependant : - toute divinité existant déjà ou un mythe ayant été repris gratifiera votre travail d'un 0. - vous pouvez inventer sans aucune limite. Vous n'êtes aucunement obligé de rester dans le contexte du forum, laissez vous aller!] |
| | | Invité | |
| Mer 25 Jan 2006 - 16:31 | |
| Princesse Camellia. C'est l'histoire d'une jeune princesse elfique. Ses cheveux, d'un bleu intense et d'une longueur appréciable suscitaient l'admiration de tous ses partisants. Elle vivait au sein d'une communauté qui n'admettait que les reines, les rois étaient relayés au second plan. Ses parents, très pris par leurs obligations, ne lui accordaient que peu de temps. Se fût sa tante, Astre, qui s'en occupa... Camellia l'aimait vraiment beaucoup... Une nuit tragique, l'enfant fût envoyé dans un village mortel, dépouillée de tous souvenirs alors que l'objet le plus important de sa communauté, une étoile protégeant les habitants et leur habitat, était dérobée. 80 ans plus tard, l'enfant ayant vieillit et mené une vie humaine, reçoit une missive étrange. Alors qu'elle l'ouvre, elle se retrouve en une forêt, accompagnée d'un elfe. Elle était physiquement d'une vingtaine d'année, avait récupéré ses cheveux bleus et elle était dans une forme olympique. Elle apprit son histoire de la bouche de l'elfe qui se nommait Celebrindal, il était le plus bel homme qu'elle eut jamais vu et dès le premier regard, ces deux jeunes personnes tombèrent amoureuses l'une de l'autre. Torturant un gnomme horrible, ils finirent par trouver le moyen de retrouver le voleur de l'étoile et s'y employèrent. Il suffisait en fait de passer une petite pierre de couleur verte devant le tronc des arbres et la direction suivante apparaiçait d'elle même. Ils suivirent ainsi ce parcourt jusqu'à une clairière imposante. Le voleur débarqua à dos de dragons et la stuppeur des deux jeunes gens se firent totale. Astre était la mystérieuse voleuse! Las d'avoir du rester dans l'ombre de sa soeur, elle avait volé l'étoile et envoyé sa nièce dans ce village moldu, où elle ne fut jamais heureuse... Un rude combat s'engagea entre les deux elfes et la bougrsse, un combat sanglant où Celebrindal fut blaissé et Astre... Transformée en Pierre par le pouvoir de l'étoile... Alors que Camellia tentait de sauver Celebrindal, leurs lèvres entrèrent en contact et elle fut renvoyée dans son village mortel. Elle revint à elle, allongée dans sa chambre, elle avait environ dix huit ans. Ses parents la somèrent de se presser, elle allait être en retard en cours! Toute perdue, Came alla effectivment au Lycée... Sa journée lui parut fade et sans intérêt. De retour chez elle, elle découvrit la même lettre sur son lit que celle qui l'avait projetée dans, elle en était certaine, son vrai monde. Elle l'ouvrit, frébile, et cette fois, l'enchantemant dura toujours. Elle retrouva Celebrindal, en habit princier, tellement heureux de la revoir qu'il l'embrassa sur le champs, lui avouant le même instant la nature de ses sentiments. Camellia, trop heureuse de les savoir partagés, les lui avoua à son tour et tous deux furent acclamés par leur peuple, revigorés. Camellia n'eut plus à craindre de retourner chez les mortels car l'étoile veillait sur elle, sur son couple, et sur sa descendance... Aujourd'hui encore, cette légende est la préférée des petits qui redemandent encore et encore à leur grands parents de leur la conter, et à Camellia, de leur décrire la vie humaine....
Dernière édition par le Sam 28 Jan 2006 - 23:32, édité 2 fois |
| | | Vannila | |
| Mer 25 Jan 2006 - 22:03 | |
| Examen d'écriture par Vannila Love La légende de la Camaria et de Hellen: Il y a longtemps de cela vivait une déesse sous le nom de Hellen.C'étais une vampire aux yeux rouges et aux cheveux noirs. Son teint est aussi pâle que la neige. Et il arriva qu'un jour, elle morde quelqu'un. Cette personne s'appelait Kain. Il mordit d'autres gens qui devenait vampire. Hellen étais très contente de cette situation. Mais un vampire diabolisa un de ses confrère en quête de pouvoir. Sa génération monta et il perdit de l'humanité. Alors Hellen descendit sur terre et alla chercher Kaïn. Ils décidèrent de tuer le diaboliseur. Ils le retrouvèrent mordu par un loup-garou. Affolé, les deux vampires luttèrent contre le loup. Hellen réussit à l'immobilisé avec son pouvoir de domination et Kaïn lui trancha les mains. Ils le croyèrent morts lorsque Kaïn se fit mordre. Il entra en total torpeur pour l'éternité. Et l'autre le suivit à la mort. Certains témoins vampires affirmèrent que la déesse murmurait un mot. Puis, elle dit à ses partisans de laisser Kaïn là et de conserver la Camaria.Elle expliqua que cela étais le peuple des bons vampires. Ainsi, elle put partir de la planète. Les deux hommes propagèrent le nouveau mot: Camaria. Et maintenant, on l'utilise toujours et à jamais. |
| | | Invité | |
| Jeu 26 Jan 2006 - 12:48 | |
| Examen de Selene Neewix Rafa l'oiseau des neiges Rafa est un homme gigantesque, il mesure plus de deux mètre. Il est de carrure assez fine même si ses muscles sont bien dévelloppé. Il a des yeux de chat couleur rubis. Rafa a de long cheveux bleu pâle au reflet d'argent qui lui descendent au dessous des genoux, il les attaches avec un diadème d'argent, formé de dizaines de petites licornes. Il est gentil et chaleureux, il est decidé a réussir a crée un monde meilleur. Il n'a qu'un seul idéal rendre les gens heureux. Le symbole de son pouvoir est gravé à trois endroit différent, sur le front, la main droite et dans son dos. Le symbole représente un pentacle bordé de lettre écrite dans un ancien dialecte oublier de tous. Le pentacle est orné d'ailes blanches Elles son ouverte de trois facon differente, sur le front elle son repliée et laisse à peine percevoir le pentacle. Sur la main les ailes sont un peu plus déployeés et enfin sur le dos elles sont completement ouverte. Il est né dans un continent oublié de tous de parents inconu.D'aprés les légendes et les récits transmit par les druides cette homme serais né de l'union entre un dieu et un ange mais que ces parents Horrifé de leur actes se serais donné la mort laissant ainsi le gracon et sa soeur jumelle seule au monde. Il est trés fort autant au niveau mental qu'au niveau physique, il lui suffit de prendre une arme de la main droite pour savoir la dirigé et l'utilisé parfaitement. Il dirige la glace. A présent je peux vous compter l'histoire de Rafa le dieux des neiges ou plus souvent appelé " l'oiseau des neiges". D'aprés les rumeur il est née, il y a si longtemps que lui même ne se rappelle plus sa naissance. Tous ce que l'on sait c'est qu'il avait une soeur jumelle aussi belle qu'un rayon de lune. Ces cheveux etais aussi pale que la neige et ces yeux aussi gris que les nuage d'orage. Elle s'appelais Feena. Rafa l'admirait et la protégait, elle étais tous pour lui, c'est grâce a elle que le jeune homme pouvais aidé les autres. Car Feena étais spéciale, elle pouvait voir l'avenir et un jour elle refusa de parler avec un homme qu'elle jugais mauvais, Rafa le mits dehors. L'homme jura de se vengé. Il revint l'enlevé pendant que Rafa étais partis chassé chassé. Quand celui si revint et vis la disparition de sa soeur, il sombra dans un colère noire qui ne lui ressemblait pas, il detruisit tous sur son passage, sa maison et la fôret au alentour ressemblait a un champ de batailles. Enfin il se calma et réfléchit Enfin il se décida a commencé les recherches de sa soeur. En son for intérieur il jura qu'il la trouverais avant de pouvoir mourire. Il la chercha pendant 100 ans, il affronta mainte danger plus grand les un que les autres. Il se batti contre des armées entieres et sauva des village des pillard. Trés vite on l'appela " Oiseau bleue" car a chaque fois qu'il utilisait ses pouvoirs, deux ailes lui poussait dans le dos. Il se battait avec la violence d'un démon et a chaque fois qu'il étais triste, il neigait. Les hommes qui n'avait aucunne mauvaise intention l'aimait et les enfants pouvais venir le voir sans aucune crainte. Pourtant il ne restait jamais longtemps au même endroit, malgré les suplications des villageois ou des rois qui voulais qu'il protègent leur vie. Aprés mainte recherche il retrouva sa soeur eprisonnée dans un cerceuile de glace eternelle. Il essaye en vain pendant des jours et des jours de briser l'enchantement. D'aprés la légende, le cris qu'il poussa en comprenant qu'il ne pourrrait sauvé sa soeur fut attroce, les animaux qui se trouvèrent à des killomètres à la ronde s'enfuirent. Il pleura des jours entiers et ces larmes se transformérent en une rivière de glace que l'on apelle "La rivière des sanglots". Au bout de plusieurs mois de sanglots et de rage. Il entendis un voix dans sa tête. " Rafa rejoins moi je suis le vent , vient, je t'attend" L'homme se leva et se métamorphosa en un oiseau bleu gigantesque munit de trois paire d'aile qui a chaque battement d'aile souffle le froid ou la neige. Depuis on dit la neige tombe lorsque rafa perd la trace de sa soeur et qu'elle cesse quand il se retrouve. C'est ces battement d'ailes furieux qui la font tomber la neige. |
| | | Cantatel | |
| Jeu 26 Jan 2006 - 12:51 | |
| Cantatelcor Moran, Examen d'Ecriture. Oh, toi, toi qui m'écoute et qui rêve, Toi, qui veux être immortel, Ecoute l'histoire que la vais te conter. C'est l'histoire d'un homme comme toi, Qui vivait et qui aimait, Mais à qui la vie ne suffisait pas. C'est l'histoire d'Eldrin l'Immortel, D'Eldrin le Malheureux.
Eldrin était joyeux paysan, Jouant et buvant, Chantant et dansant, Riant et Aimant. Ses jours étaient fêtes et désirs, Ses nuit bonheurs et plaisirs.
Mais malgré tous ces bonheurs, toutes ces fêtes, Eldrin n'éprouvait plus de plaisir, car son coeur n'était que désir. N'était que désir et crainte. Desir de vie et crainte de mort.
Un jour que l'ombre emplissait son coeur, Il sortit dans l'ombre de la nuit, Et, déplaçant sa sombre forme, Implora les dieux de toute sa voix.
Il fut entendu, mais peut-être pas par ceux qu'il espérait, Drappé dans son grand manteau d'ombre, Relnakor, Relnakor se trouvait là.
Relnakor, dieu de l'ombre, Relnakor, dieu des ténebres.
Relnakor, dieu de la Mort.
Il etait venu pour Eldrin, Mais pas pour l'emporter.
Ce n'etait pas sa vie qui l'interressait, Mais la mort qu'il voulait renier, La mort, qu'au fond de lui il fuyait.
Il lui parla alors en ces mots: Toi, homme mortel, petite poussière, Souhaites tu réelement devenir immortel Même si pour cela tu doit perdre l'humanité?
Je le souhaite ardement, maitre de la nuit, Car je ne peut accepter ce sentiment de vie qui s'enfuit. Et si, pour cela tu doit me changer, Alors fais-le, fais-le sans hésiter. Par dessus tout je veux vivre.
Accedant à la requète, Relnakor dechaina sa magie, Et changea Eldrin en un monstre maudit. Et, pour cela, il fut rejeté, Par ses amis, par ses ainés. De chagrin il voulu se tuer, Mais immortel, il etait damné pour l'éternité.
La vie ne vaut la peine que parce que la mort existe, Et la mort n'existe que parceque la vie est.
Toi qui m'écoute et qui rève, Si tu veux être immortel, Apparait, Puissant Mage, Combat, Fier Guerrier, Commande, Noble Roi, Chante, Humble barde.
Ecrit l'Histoire, Devient la légende, Car c'est entre nos mains, entre nos voix, C'est par nos chants, par nos déclamations, Que l'homme devient immortel.
Nous somme la mémoire des hommes, Et c'est entre nos mains, entre nos voix, C'est par nos chants, par nos déclamations, Que l'homme devient immortel.
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| | | Vilkia | |
| Jeu 26 Jan 2006 - 19:33 | |
| Deymeris, gardienne de la haine Depuis des temps immémoriaux, les hommes se battent. Que ce soit pour un bout de viande, de terres, de pays entiers, les hommes se battent. Le principal fléau de ces batailles est la haine. Bien sûr, la jalousie joue aussi un rôle important, mais la haine, elle, ronge, brûle, pousse à faire des choses insoupçonnées. Un jour les Dieux en eurent assez de ces querelles continuelles, et une déesse fut chargée d’enlever toute haine chez les Hommes. La déesse désignée fut Deymeris. Cette déesse à la chevelure soyeuse et bouclée, et aux yeux d’un bleu limpide, était pleine d’entrain et de bonne volonté. Elle commença donc sa mission sur-le-champ… C’était une jeune femme délicate, et elle aimait à manipuler les choses délicates. Son plus fidèle compagnon était un oiseau. Un magnifique oiseau de race inconnue. On murmurait pourtant que c’était un Phénix des Glaces (race éteinte depuis plusieurs milliers d’années). Ce compagnon donc, était le premier être à qui Deymeris confiait aussi bien ses peines que ses joies. C’est avec enthousiasme qu’elle lui parla de sa mission si importante. Alors qu’elle discutait gaiement avec Phérys, l’oiseau de glace, son regard fut attiré par un magnifique œuf, de très belle taille. Elle le prit dans ses deux mains, et fut étonnée de sa légèreté. L’œuf était complètement translucide, et légèrement brillant. Il ne contenait rien. C’est à partir de ce simple œuf vide, que Phérys ne pondait qu’une fois tous les millénaires, que Deymeris forma son plan pour capturer la haine. En effet elle comptait enfermer la haine dans ce magnifique récipient qu’était l’œuf. Encore fallait-il capturer la haine. Etrangement, ce ne fut pas le plus difficile. Deymeris était devenue une maîtresse en l’art de palsmodier des incantations, et il ne lui fallut pas plus d’une semaine pour trouver la formule adéquate… Un matin d’été, elle s’envola vers les Hommes, le cœur battant dans sa poitrine. Elle était si fière de pouvoir montrer de quoi elle était capable! Lorsqu’elle pensa être arrivée au point le plus haut de la Terre et qu’elle put dominer l’ensemble des terres habitées, elle inspira d’un grand coup l’air frais qui tournoyait autour d’elle, et ouvrit la bouche. Les sons qui en sortirent étaient féeriques. En fait, ce qu’elle récitait n’étaient pas des mots, et personne ne pouvait connaître la langue que Deymeris utilisait : ce n’était que des sons finement assemblés, et qui avaient plus de pouvoir que n’importe quel langage. Deymeris, sans se laisser déconcentrer, continua d’émettre les magnifiques sons cristallins, qui s’envolaient, portés par la forte brise. En peu de temps, toute la haine se retrouva rassemblée, flottant au-dessus de la main de la jeune déesse. Avec un sourire, elle introduit la haine, sorte de fumée épaisse et grise, dans l’œuf de Phérys… Puis, silencieuse, elle observa son œuvre. Lorsqu’elle ramena l’œuf aux Dieux, ceux-ci furent plus que satisfaits, ils étaient comblés. Enfin ils pourraient vivre plus en paix, sans subir les combats continuels des Hommes. Pendant de longues années, la paix régna, perturbée seulement par quelques bagarres sans grande importance. Cela contentait tout le monde, sauf une personne : le dieu de la guerre. Celui-ci s’ennuyait à en mourir, mais heureusement, les Dieux étaient immortels. Un jour il n’y tint plus, et pénétra dans la demeure de Deymeris pendant son absence… Malgré la lutte acharnée de Phérys pour protéger son œuf, le dieu s’empara de celui-ci, et le brisa contre le sol de marbre. Aussitôt, toute la haine se déversa hors des débris, telle un ouragan déchaîné. Il y eut de nouveau des combats, des guerres sanglantes, et les Dieux furent très mécontents. Deymeris tenta tant bien que mal de réparer le massacre de l’œuf, mais même si elle put recoller de nombreux morceaux grâce à la magie, de fines coquilles étaient perdues à jamais dans le néant. La haine parvenait donc toujours à s’échapper, bien que par quantités minuscules. C’est pour cela, que de nos jours, les Hommes connaissent encore la haine, même si elle n’est plus omniprésente comme elle l’était il y a des milliards d’années… |
| | | Allera | |
| Ven 27 Jan 2006 - 18:28 | |
| Rédaction d'Allera HarkerLicao Il y a environ 1500 ans, un jeune homme du nom de Licao, fils du roi d’Angleterre, vit le jour en 486. Après plusieurs années, il était devenu un jeune homme d’une beauté exceptionnel, il avait des cheveux d'un noir de jais, raides qui lui arrivait presque aux épaules. Sa peau était blanche comme la neige qui tombait à cette époque de l’année en Angleterre. Ses yeux étaient d’une couleur bleu turquoise, ce qui accentuait encore plus le fait qu’il ressemblait à sa mère. Il a toujours été très discret, il a refusé toutes les demandes de fiançailles des plus belles jeunes filles de la contrée, ce qui le rendait encore plus mystérieux. Il était vraiment gentil et attentionné avec ses proches, il n’avait quasiment aucun défaut. Sa mère la toujours protégé, car elle soupçonnait qu’il est hérité d’une malédiction qui pesait sur sa famille et qui se déclenchait tous les 200 ans. Le jour de ses 20 ans, s’il se regarde dans un miroir, il se transformera en une bête hideuse et destructrice. Le roi n’était, bien sûr, pas au courant de tout ceci. Lorsque Licao atteignit sa vingtième année, son père organisa un grand buffet en son honneur, sa mère donna alors l’ordre de retirer tous les miroirs de la salle principale. Pendant le repas, alors que tout se passait pour le mieux, Licao commença à s’amuser avec le verre d’eau qui se trouvait devant lui car il s’ennuyait à mourir pendant cette cérémonie. Soudain, il regarda son reflet dans le verre qu’il tenait dans sa main, il commença alors à se transformer en un gigantesque loup blanc, d’environ deux mètres de haut, il avait gardé ses yeux magnifiques et ce fut la dernière chose que vit tous les proches et le amis qui se trouvait dans la salle à ce moment là. Puis, on ne sut jamais ce qu’il advint de Licao, certains disent qu’il vit terrer dans une forêt, honteux de ses actes, d’autres disent qu’il se suicida en réalisant ce qu’il avait fait, mais depuis ce temps là tous les loups et les lycans vénèrent ce personnage car il fut le premier loup garou et le seul qui est gardé sa sensibilité humaine. |
| | | Opale It | |
| Ven 27 Jan 2006 - 19:59 | |
| Le culte dryden – l’Elément Hasard (et Mythe de sa Déchéance) La religion drydenne est surtout répandue chez les nymphes (soixante-six pour cent des nymphes sont drydennes, et cette religion concerne quinze pour cent de la population totale). Développée par les Dryades, d’où son nom, c’est un culte visant à attribuer à chacune des cinq Lunes de la planète un élément particulier et considéré comme sacré. De plus, les Dryades vénèrent aussi deux Gardiennes, représentant respectivement les Rêves (et aussi la Vie) et les Cauchemars (ainsi que la Mort). Les cinq éléments sont donc la Lumière, la Nature, la Chaleur, le Ciel et le Temps. Traditionnellement, on associe plutôt les trois premières à la Gardienne de la Vie, et les deux restants à celle de la Mort. On représente communément ces entités par de belles femmes, portant les symboles de leurs éléments respectifs, notamment des tatouages reconnaissables sur le visage. Des écrits anciens montrent cependant l’existence possible d’une cinquième Lune. Mais comme elle est entièrement noire, elle n’est pas visible dans le ciel comme les autres. La religion drydenne s’est alors ramifiée, car la majorité des pratiquants n’accordent que peu de crédit à cette théorie. Ceux qui appuyaient l’existence de cette sixième Lune se sont alors détachés peu à peu de la branche principale pour fonder leur propre groupuscule ; ils prirent le nom de Kelyos, dérivé d’un mot signifiant « noir » dans un ancien parlé. La Lune Noire a été attribuée au Hasard, qui contrairement aux autres est représenté par un homme, de grande taille avec des cheveux longs. Ses adeptes suivent globalement la même ligne de culte que les drydens classiques. Un temple lui est consacré, mais sans statue. On se contente d’aller y prier en y laissant un don symbolique, comme une pièce de monnaie de faible valeur ou un petit objet de la vie quotidienne. Ils suivent également une calendrier différent, en prenant compte le cycle de la Lune Noire. Les symboliques les plus classiques du Hasard sont un jeu de cartes, avec lequel il est censé pouvoir modifier les destins de chacun. On le représente souvent habillé de sombre, avec des vêtements amples. Comme tous les entités élémentaires, il possède des tatouages faciaux ; mais ceux-ci sont un peu particuliers. En effet, ses adeptes ont décidé qu’il n’était rattaché ni à la Vie, ni à la Mort, mais faisait partie des deux, et influençait aussi bien l’une que l’autre. C’est pourquoi sa joue gauche est ornée de la rune portée à la Gardienne de la Vie au même endroit, et l’autre joue est marquée par la croix renversée stylisée propre à la Gardienne de la Mort. Une théorie affirme que la couleur de la Lune Noir et le fait qu’elle ne soit pas visible est liée au fait que l’entité qu’elle représente aurait été déchue suite à une faute grave. Ainsi, Hasard aurait perdu une partie de son influence sur le monde, et aurait été chassé de la Forêt Onirique, lieu sacré où les entités sont censées siéger. Des nombreuses légendes ont été écrites pour expliquer sa déchéance ; en voici une version assez poétique, et notoirement considérée comme la plus vraie. ----------------------------- Le Maître du Hasard était assis dans sa chambre, sur un fauteuil moelleux en cuir sombre. Grand, beau, il avait l’apparence d’un jeune homme d’environ vingt-cinq ans, bien qu’il ait au moins mille fois cet âge. Sur son visage dépourvu d’imperfection étaient apposé les symboles qui marquaient son statut d’entité. De plus, ses yeux étaient entièrement mauves, tout comme ses cheveux. Longs, ils lui arrivaient en bas du dos, retenus par un élégant catogan d’où s’échappaient de nombreuses mèches qui retombaient devant son visage qui arborait pour le moment un air ennuyé.
La pièce était spacieuse, occupée de divers meubles dont un grand lit à baldaquins, avec des rideaux pourpres. Des tableaux représentant pour la plupart des femmes plutôt dévêtues étaient accrochés un peu partout. Les objets étaient installés un peu n’importe où, à des places inhabituelles et selon des ordres étranges et inhabituels. Et pourtant, l’ensemble dégageant un étrange sentiment d’organisation, comme si cet ensemble dépareillé suivait une logique qui lui était propre.
Le Maître du Hasard finit par se lever, et s’avança au centre de la pièce, où il s’arrêta avant de s’étirer.
« Quel ennui… »
Il bâilla, et resta un instant à admirer ses tableaux ; puis son visage s’éclaira, et il décrivit un bref arc de cercle avec son bras. Aussitôt, une lueur mauve apparut et un jeu de cartes s’étira devant lui en éventail, toutes présentant leur face cachée. L’entité fit ensuite apparaître d’un geste négligeant une sphère lumineuse d’environ un mètre de diamètre, qui se stabilisa un peu plus loin. Elle clignota faiblement pendant quelques secondes, avant de se brouiller et de laisser apparaître en son centre une vue sur la planète, au même moment. Hasard la scruta avec un air à la fois curieux et avide, comme un scientifique cherchant la bonne souris pour une expérience.
La sphère représentait pour le moment une belle femme, sûrement Dryade si on se basait sur la couleur verte pâle de ses cheveux. Assise sur un toit, elle fixait d’un air nostalgique le ciel, la Lune Rouge inondant son visage d’une lumière écarlate.
« Non, trop jolie… Je ne veux pas risquer de faire du mal aux belles demoiselles, » murmura Hasard avec un sourire.
Il claqua des doigts et l’image se brouilla à nouveau, montrant cette fois un homme vêtu de haillons qui mangeait un morceau de pain, assis dans une rue. L’entité grimaça et claqua de nouveau des doigts, faisant ainsi successivement défiler plusieurs personnes radicalement différentes. L’image finit par se figer cependant, alors que l’attention du Hasard se portait sur une femme Elfe assez jeune, qui était entrain de rédiger une lettre à la lumière d’une bougie, assise dans un bureau modeste. Un sourire enfantin fendit le visage de l’entité, qui sembla l’analyser un instant de ses yeux étranges. Puis il émit un petit gloussement et tira d’un geste vif une carte du jeu qui flottait toujours devant lui, avant de la retourner prestement.
« Deux de pique… Pas de chance, ma jolie. »
La carte se consuma en même temps que la sphère se volatilisait, scellant ainsi un Destin parmi tant d’autre. Satisfait, Hasard s’apprêta à faire disparaître ses cartes lorsque la porte s’ouvrit brusquement, laissant le passage à une autre entité. D’une beauté pouvant être qualifiée d’inhumaine, la créature avait l’apparence d’une fragile jeune fille, aux yeux uniformément dorés.
« Lumière ! Que me vaut donc cette visite ? » dit le Maître du Hasard avec un grand sourire.
La femme referma la porte derrière elle et s’approcha d’un pas gracile, semblant illuminer la pièce d’une lumière vive de par sa seule présence.
« Hasard, tu le fais exprès ? Je suis venue te donner le texte résumant les derniers évènements qui se sont déroulés sur notre planète. »
Comme preuve, elle agita un épais rouleau de parchemin d’un air courroucé. Hasard sourit ; il ne voyait presque jamais les autres entités. Seule la Lumière se donnait la peine de lui apporter de temps en temps, comme il se devait, un rapport précis résumant la vie des habitants de la planète dont ils étaient l’essence.
« Tu es trop consciencieuse tu sais ? Ca te tuera, un jour…
-Dépêche-toi de lire ça, il faut que je reprenne le parchemin après. Fais au moins semblant de t’y intéresser, » répliqua sèchement la femme.
Elle lâcha le parchemin et le fit léviter jusqu’à Hasard, qui s’en empara en râlant pour la forme. Pendant qu’il le lisait, elle alla s’asseoir sur le grand lit. Le matelas était plutôt moelleux, et elle s’y enfonça mollement. Son regard se posa sur le dos de l’autre entité, et elle ne put s’empêcher de frissonner. Il était trop beau, trop attirant. Ca n’était pas une bonne chose. Chaque visite était devenue une torture, chaque départ un cruel moment de doute. Cela aurait été tellement simple qu’il ait été sous une forme féminine, comme les autres et elle-même.
Elle se rendit compte alors qu’il l’observait aussi, et elle sursauta légèrement, automatiquement, mal à l’air malgré son calme apparent. Elle ne devait pas céder, où elle allait courir à sa perte.
« Tu as fini de lire ? Très bien, je reviendrais plus tard comme prévu, de toute façon je sais que tu ne sors jamais d’ici alors je saurais où te trouver, » enchaîna-t-elle sans lui laisser l’occasion de répondre. « Et… Pourquoi tu me regardes comme ça ?
-Voyons, n’ais-je pas le droit de t’admirer ? Je te vois tellement peu souvent, et à peine arrivée tu veux déjà repartir, » répondit-il avec un air de chien battu.
Il lui fit un magnifique sourire et désigna les cartes derrière lui.
« Ne veux-tu pas que je t’oriente sur ton Destin ? »
Lumière sentit distinctement une goutte de sueur cascader le long de sa colonne vertébrale, et ne réussit pas à répondre. Il avait quelque chose d’inquiétant, et peut-être que c’était pour cela qu’il était si attirant. Sans cesser de sourire, Hasard prit une des cartes et se rapprocha de son homologue, attendant d’être très près d’elle avant de la retourner.
« Oh… La Dame de Cœur… Charmante ironie, tu ne trouves pas ? » susurra-t-il.
Lumière regarda sans réagir la carte se consumer dans une brève flamme mauve, alors qu’il glissait une main dans ses cheveux dorés. Elle avait l’habitude de subir de telles avances, mais cette fois précise, tout courage l’abandonna. Elle n’avait plus envie de résister, et peu importait les conséquences. Elle attrapa le visage de Hasard entre ses fines mains et apposa ses lèvres contre les siennes, avant de basculer en arrière sur le matelas moelleux en tenant fermement son amant contre elle.
Hasard attendait avec patience, installé dans le long couloir qui précédait la salle de conférences. Affalé sur un des fauteuils confortablement rembourrés, il attendait patiemment la suite des évènements. Bien entendu, le fait qu’il est passé un agréable moment avec Lumière avait été tout de suite su par les autres entités. Et bien entendu, il avait devoir subir un châtiment sévère pour avoir enfreint cet interdit considéré comme majeur. Cependant, ses lèvres dessinaient un sourire innocent ; il était persuadé que les autres éléments n’oseraient rien lui faire, comme à chaque fois. Il se jugeait trop important pour être pénalisé, donc la sentence ne serait selon son avis pas trop dure. Et il ne regrettait rien. Voilà longtemps qu’il essayait de faire tomber la fragile Lumière dans ses filets, et il n’allait certainement pas se ronger de remords pour ce qu’il considérait comme un exploit.
Pour le moment, les autres entités étaient entrain de délibérer sans lui dans la salle de conférences, juste à côté. Les Gardiennes avaient été convoquées pour l’évènement, et voilà une heure qu’elles étaient enfermées à palabrer. Hasard commençait à perdre patience ; certes cela mettait au moins un peu d’animation dans son éternelle et ennuyeuse existence, mais là il avait l’impression de perdre son temps.
Alors qu’il changeait de position, les lourdes portes tournèrent lentement sur leurs gonds, laissant apparaître la petite silhouette de la Maîtresse de la Chaleur, qui se tenait très droite, ses yeux uniformément rouges luisant de flammes.
« Hasard, nous allons délivrer la sentence, » annonça-t-elle d’une voix un peu plus grave que la moyenne des femmes.
« Déjà ? » s’étonna faussement le concerné d’un ton provocateur.
Chaleur ne releva pas l’arrogance de son homologue, et alla reprendre sa place à la grande table en demi-cercle où siégeaient les autres entités. Au milieu, était assise la Maîtresse du Temps, si impassible qu’elle semblait faite de porcelaine, tant sa peau était pâle. A sa droite, se trouvait la Gardienne des Cauchemars, toute de noir vêtue, et à sa gauche, celle des Rêves. Puis venaient les Maîtresses de la Nature et du Ciel, et enfin Chaleur et Lumière. Celle-ci gardait la tête baissée, si bien que ses longs cheveux bouclés masquaient une partie de son visage.
« Hasard, » commença la Maîtresse du Temps d’une voix mélodieuse. « Après avoir délibérer, nous allons rendre notre verdict. Ayant assisté à la première partie de notre séance, tu sais déjà à peu près de quoi il en retourne.
-Yep, » répondit l’homme d’un air peu concerné.
« Aussi, nous avons décidé d’un commun accord de retirer tes pouvoirs et de te confiner dans une prison loin d’ici. »
Hasard reçut la nouvelle comme un coup en plein estomac. Jamais, ô grand jamais, il n’aurait imaginé que les Maîtresses aillent si loin.
« Une minute ! » protesta-t-il en claquant violement ses mains sur la table de conférences. « Pensez-vous qu’un délit aussi mineur mérite une telle sentence ? Je…
-Hasard, tu as violé délibérément et sans une once de regret un de nos ordres le plus sacré, » déclara Nature sans lui laissé le temps de continuer. « Tu savais pourtant que cette limite ne devait pas être franchie, et ce dès ta création, quand il t’a été attribué la forme d’un homme. De plus, ce n’est pas la première fois que tu te moques de nous. Cette fois, tu es allé trop loin. Alors, assume à présent. »
Les yeux mauves de l’entité brillèrent de haine, et il se mit à sourire, d’un sourire à la fois ironique et carnassier.
« Vous êtes bien stupides mesdemoiselles… Quand bien même cette injuste sentence est exécutée, vous ne pouvez pas vous permettre de me la faire subir. Je suis un élément majeur, et la perte de mes pouvoirs entraînerait un déséquilibre non négligeable dans le monde.
-Oh, mais ne t’en fais pas, nous avons pu trouver une solution à cette épineux problème. Pas à ton avantage, bien entendu, » déclara la Maîtresse du Ciel d’un ton évasif. « Il est temps à présent, j’ai assez vu ton visage. Mesdames les Gardiennes ? »
Les concernées semblèrent hésiter une seconde avant de se lever. Joignant leurs mains, elles entamèrent une longue et lente litanie. Des chaînes d’énergie se formèrent, venant se refermer sur les poignets de Hasard qui avait commencé à s’avancer, et le tirèrent en arrière.
« Non, arrêtez ! Vous ne pouvez pas, vous n’avez pas le droit ! » ragea-t-il, en proie à une terreur justifiée.
Haletant, apeuré, il s’effondra à genoux, les chaînes lui brûlant la peau. Un cercle apparut en dessous de lui, alors que les deux Gardiennes continuaient de psalmodier leur incantation. Puis à l’intérieur des ramifications apparurent sous forme de runes lumineuses, se répandant sur le marbre. Hasard leva la tête, cherchant un quelconque soutient ; mais les visages des entités étaient impénétrables.
« Et Lumière ? Elle aussi est coupable, nous étions deux que je sache, » dit-il en reprenant son habituel ton narquois. « Vous allez oser lui faire subir le même sort ?
-Lumière a été acquittée, » répondit Chaleur qui observait ses ongles d’un air ennuyé. « Il a été considéré que tu l’avais manipulée.
-Quoi ?! » s’étrangla Hasard.
Il se mit debout et tira sur ses chaînes, tentant de se libérer. Mais à ce moment précis les deux Gardiennes complétèrent leur litanie, et le dernier mot de la malédiction lui fut jeté comme une pierre. Le cercle s’ouvrit brusquement, l’engloutissant dans des ténèbres sans fin.
« LUMIEEEEEEEERE !!! »
Dernière édition par le Ven 27 Jan 2006 - 20:01, édité 1 fois |
| | | Opale It | |
| Ven 27 Jan 2006 - 20:00 | |
| Noir.
Une obscurité dévorante, qui assaille, qui est partout, qui ne laisse aucun répit. Des ténèbres denses qui avalent tout ce qui s’y plonge. Un vide, une infinité.
Douleur.
Une souffrance qui ronge, qui s’agrippe et qui le laisse plus l’âme en paix, grignotant l’être, le torturant, le faisant hurler.
Des cris qui se perdent dans un gouffre sombre.
Seule la Maîtresse du Temps pouvait savoir pendant combien d’heures, de jours ou d’années Hasard resta prostré sur le sol, tenant son visage rongé par la souffrance entre ses mains, gémissant et suppliant, en vain. Ses plaintes ne pouvaient désormais plus être entendues. La douleur était partout, semblait déchiqueter chaque parcelle de son corps.
Lorsque enfin, peu à peu, il retrouva ses esprits et se redressa, il constata qu’il était simplement dans sa chambre. La même pièce, les mêmes objets disposés aléatoirement un peu partout. Et pourtant, Hasard savait qu’il avait quitté le château de la forêt Onirique. Cet endroit n’était qu’une illusion, une prison dorée, un cruel et éternel rappel de ce qu’il avait perdu.
Comme possédé, il se leva et se dirigea vers la porte en titubant, et s’agrippa à la poignée, appuyant dessus de toutes ses forces. Mais peine perdue, l’ensemble ne bougea pas d’un centimètre. Fou de rage, il voulut la faire voler en éclat avec ses pouvoirs ; mais ils ne lui obéissaient plus. Il n’arrivait même plus à former la moindre carte, objet avec lesquels il canalisait son pouvoir. Tremblant, il se recula en fixant la porte, murmurant ses paroles sans aucun sens, dans un état de choc proche de l’hystérie.
Puis, lentement, il tourna la tête et son regard rencontra la psyché posée dans un coin de la pièce. Il resta quelques secondes immobile, puis courut jusqu’au grand miroir, qu’il saisit tout s’observant, les membres saisis de brèves convulsions.
Ses cheveux étaient à présent d’un noir d’encre, profond et sans reflet, au même titre que ses iris ; car ses yeux étaient maintenant ceux d’un simple humain, marque de sa déchéance. Doucement, il apposa ses doigts tremblants sur son visage, qui étaient à présent dépourvu des tatouages qui marquaient son statut d’entité.
Il s’effondra sur le sol et s’y recroquevilla, comprenant alors toute l’étendue de l’horreur dans laquelle l’avaient plongé les Maîtresses élémentaires. Elle ne pouvait pas le tuer, au risque de perturber l’équilibre de la planète, alors elles lui avaient ôté tout pouvoir et tout moyen de nuire. Un vide immense l’envahit, alors qu’il en prenait peu à peu conscience. Il saisit sa tête entre ses mains, et émit un long gémissement.
« Lumière… »
[HJ : aaaaaaaaaaah gomen nasaiiiiiiiii j'ai dépassé la longueur max T_______T J'espère que c'est pas trop grave... Au pire j'essayerais de réduire ^^''''''' désolée j'étais inspirée... J'ai adapté un style un peu spécial pour un mythe, dites-moi aussi si ça convient pas...] |
| | | Ming | |
| Ven 27 Jan 2006 - 23:08 | |
| La Déesse Louve... †Copyright interdit tout droits réservés à Givre† ^^
Famille: Tout les Dieux du peuple Cristalléen descendent de la Terre et doivent leur naissance à une sorte de Mer Nature Animal. Leurs parents sont le ciel et les nuages, les étoiles de la nuit et la lune, leurs nourisses... Malgré ce que l'on pourrait penser, ils ne sont pas ennemis entre eux, seulement, comme pour toute chose, il y a un cycle naturel qui exécute le même mouvement, et dans la nature celui-ci fait en sorte que les herbivores se font manger par les canivores qui se mangent entre eux et leurs restes par les charognards... Il faut bien se nourir. Ainsi, la famille ne grandit pas trop et ne dévaste pas le sein de sa mère...Enfin, si, leurs frères, les Hommes... Physique: C'est une louve tout ce qu'il y a de plus normale, mais en beaucoup plus belle. Son pelage est d'un gris acier du plus pur et brillant, ses crocs sont dans un ivoire immaculé et ses yeux sont 2 prunelles de la couleur de la forêt et marbrées d'écorce. En clair, elle a les yeux vert et marron. De plus, elle peut prendre forme humaine, alors, elle devient une femme muette (pour cacher les crocs qui lui restent, même après sa transformation) et très belle, aussi dangereuse qu'elle parait sage et fragile. La plupart du temps, celle-ci garde les mêmes couleurs que lorsqu'elle est une louve, c'est-à-dire les cheveux gris acier et les yeux vert-marron. Moral: Il est arrivé plusieurs fois que des combattants de la Louve voient leur Déesse adorée combattre sur les champs de batailles avec eux, à leurs côtés. Cela révèle-t-elle chez elle un amour du carnage? Non. La Déesse Louve aime ses enfants et la dévotion dont elle fait preuve est visible lorsqu'elle se bat. Elle ne se bat que pour aider sa "portée". Pas de carnage inutile. De plus, elle n'attaque pas, sauf pour se nourir, mais se défend contre ses agresseurs. Elle représente la fougue, l'impétuosité, la force morale et physique, mais bien plus que cela, comme dit précédement, la dévotion, une dévotion franche et sincère pour sa meute. Symbole: Sur une grande partie des représentations que l'on fait d'elle, on la voit les crocs légèrement ressortis pour bien montrer qu'elle n'est pas humaine, et aussi parfois, comme pour ses enfants, un tatouage en forme de loup(s) (probablement des louveteaux d'ailleurs) sur le dos et le ventre. De même, les adolescents, lorsqu'ils deviennent des adultes se font tatoués. Un sort est lié à ce tatouage, permettant à la personne de se munir de croc de loup lorsqu'il est en colère. La magie utilisée est inconnue de toutes les races. Un peu de sang de la Louve est-il mélangé aux colorants? Les poils du poitrail de la Déesse servent-ils de pointe (lorsqu'ils sont durs >_<) pour l'introduction des pigments dans la peau? Personne ne le sait. (Enfin, si moi ^^) Origine: On dit que c'est un elfe qui fonda la clan de la Louve. Egaré, ce qui est très rare pour un elfe, dans un bois, il rencontra une magnifique humaine, plus belle que la plus belle des elfes, que le plus beau des anges. Elle semblait si fragile, assise près d'une caverne, ses pieds nues caressant légèrement la mousse humide du matin, et si belle, éclairée par l'aube naissante! Il tomba amoureux d'elle sur l'instant. Et, comme un caillou entraine l'avalanche, ce qui devait se produire se produisit. Etrangement, jamais la femme ne parla, jamais ne montra le moindre signe d'affection pour cet être elfique et jamais ne vieillit. Un enfant naquit ce cette aventure. Mais, pour l'elfe, celui-ci avait une forme des plus horrible pour un nouveau né! Il avait la peau toute frippé, toute rose, d'étrange oreille et un museau au nez humide... On dit que, effrayé par l'engendrement qu'il avait donné, l'elfe, nommé Delïmendir, chercha partout le moyen de pouvoir se tuer, et il se jeta du haut d'une falaise. La seule chose à faire pour un être pur mais désespéré. L'enfant grandit avec sa mère, mais chez lui, la forme "humaine" prédomina jusqu'à ce que la transformation en loup ne puisse plus s'opérer. Il grandit et, comme ça mère, hérita de crocs pointu, quoi que plus petit. Mais il avait la voix. Et le charisme. Pour pouvoir mieux vivre, il s'installa dans un village où ses manières le firent être concidéré comme un sorcier. Il échappa au bûcher de justesse. Et partit s'installer dans un village d'elfe. Il apprit leurs coutumes, leurs apprirent les siennes. Après tout, il interessant les elfes, il n'était pas homme, ni elfe, ni ange... Il était à part! Et, à force de persuasion, il convaincu une partie des elfes à venir s'installer dans le caverne près du lieu où ses parents se rencontrèrent... A force d'adopter les traditions d'un autre peuple, les elfes perdirent l'immortalité... Ainsi nacquit la légende de la Déesse Louve qui, par son fils, donne le jour à toute sa meute. Mythe: On raconte parfois que, lorsque les Guerriers loups, armés de leurs ongles et leurs crocs, un tatouage à leur côté, parvenaient sur un champ de bataille et que celle-ci ne jouait pas en leur avantage, c'est à dire que la Louve se faisait dominer par le Lapin par exemple, la Déesse Louve apparaissait et, sous sa forme animal, redonnait de l'espoir à toute sa meute. Et, ceux qui, dans le fracas des ongles et des crocs, parvenaient à voir la Déesse Louve sous sa forme humaine combattre, comprirent alors que seule la dévotion de la Louve pour sa meute parviendrait à repaitre et perpétuer la meute. [j'ai fais le plus court possible pour pas embêter ^^]
Dernière édition par le Mar 21 Fév 2006 - 15:13, édité 1 fois |
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| Sam 28 Jan 2006 - 17:11 | |
| Lopilm le maudit. Lopilm est un être qui a une âme noire, il inspire la crainte. Il ressasse sans cesse son passé ce qui le rend mélancolique. Il est incapable d’éprouver un autre sentiment que la peine. Si ce n’est la haine. Il est solidement bâti. Il a les yeux noirs, reflétant toujours la haine. Il a un symbole sur le front, signe de sa malédiction. Ce signe est noir. Il s’agit d’un cercle parcourut de traits de part et d’autre. Il est né d’un arbre et d’un elfe sylvain. D’un amour qui a échoué. Il a le pouvoir de rendre chaque personne qui croise son regard aveugle, qui entend sa voix, muette ou sourde. Et qui croise à la fois son regard et entend sa voix, handicapée à vie. Lopilm est une divinité très peu connue mais un des dieux le plus important. Il est né dans une forêt de l’union d’un arbre et d’un elfe sylvain. Ce dernier était très attaché à cet arbre et lui lança un sort. Ce sort devait faire en sorte que l’elfe Fremo et l’arbre, nommé Niale soient à jamais unis. Une fois le sort lançait, Fremo périt, il avait en effet utilisé trop d’énergie. Son sort avait cependant fonctionné. Niale sentit la douleur puis la mort de son bien aimé et périt de tristesse. Elle devint flamme et de ses cendres, naquit Lopilm. Celui-ci fut recueilli par des lutins qui passaient par là. Ils l’élevèrent avec tout l’amour qu’ils possédaient mais un jour, reçurent la visite d’une créature plus ou moins étrange. Celle-ci se nommait Iduil. Elle se présenta comme la tutrice du jeune Lopilm. Cependant, une onde maléfique s’échappait de cette chose. Les lutins refusèrent donc de lui confier Lopilm. Iduil partit, les menaçant de revenir un jour, se vanger. Lopilm grandit encore parmi les lutins pendant cinq heureuses années. Un jour, alors qu’il était partit rejoindre l’élue de son cœur, la résidence des lutins prit feu. Apercevant la fummée, son amante et lui coururent aussi vite qu’ils le purent jusqu’à la résidence. Tout était détruit. Il ne restait plus rien. Une voix retentit alors et une ombre apparut : Idiul. "Viens avec moi, et tous ce qui te reste restera en vie. Sinon…" Lopilm regarda sa bien aimée et l’embrassa une toute dernière fois. L’ondine vit ps’éloigner son amant, les larmes aux yeux. "Je ne veux pas qu’il t’arrive quoi que ce soit…Je t’aime" C’est ainsi que Lopilm rejoignit Idiul qui le forma à contrôler ses pouvoirs cachés. Il avait de nombreuses facultés magiques et physiques. Il allait, deux fois tous les deux ans retrouver la jeune ondine. Il l’aimait toujours. Cependant, un jour arriva, et elle n’était plus au rendez-vous. Il la chercha partout mais rien… Il revint sur le lieu du rendez-vous puis sentit une odeur qui lui était familière : Idiul. Il s’avança vers l’origine de l’odeur et vit étendue sur le sol, sa bien aimée, à moitié brûlée. Il se pencha vers elle. "Mon amour, qui t’a fait ça ?" Elle lui adressa u petit sourire et lui dit : "Je suis désolée, j’aurais du te le dire…Idiul ne voulait pas que je te revoie. Elle m’avait averti mais je n’ai pas pu…Je t’aime trop…" Puis elle cessa de respirer. Lopilm hurla de peine et de colère. Il ignorait tout de cette histoire entre Idiul et Niale. Il se leva, ses yeux étaient révulsés. Son visage, méconnaissable. Il prit la direction de l’antre d’Idiul, entra et tua son institutrice. Celle qui lui avait tout appris. C’est ainsi qu’un sot apparut sur son front, ses yeux toujours révulsés par une haine profonde. Il avait été maudit par Idiul. Chaque personne qui l’apercevait à présent, perdrait la vue. C’est ainsi, que chaque fois qu’il sort et retrace le parcours qu’il a fait en cherchant sa dulciné, si une personne le croise, elle perd la vue, la voix, l’ouïe ou devient handicapée. C’est ainsi, que chaque personne ayant un de ces symptômes, a un jour croisé le chemin de Lopilm le maudit. |
| | | Invité | |
| Mer 1 Fév 2006 - 1:38 | |
| Mercredi 1 Février ------------------------------------------------------------------------------------ Asakura Kaomi IGNI 2ème année------------------------------------------------------------------------------------ Examen de passage : écriture ¤ Oegi le Damné ¤ Il y a de cela nombreuses lunes, vivait un petit village confiné au milieu d'une forêt aux charmes et enchantements multiples, la forêt des Lumiris. Ce petit village, communément appelé Lumiri ou Merfio en d'autre language poursuivait paisiblement et séparé du reste du monde son histoire banale. Ses habitants étaient des elfes de glace, à la peau recouverte d'un film bleuté, aux yeux bleux foncés et aux cheveux argentés. Hommes, femmes et enfants s'entendaient en parfaite harmonie et chacun tenait son rôle. Personne ne se souciait de savoir ce qu'il existait en dehors du village. Les alentours de Lumiri seuls étaient connus de ses habitants. Aucune créature ne vivait à moins de plusieurs distances de cet endroit, ils étaient la seule forme de vie intelligente. Les habitants de Lumiri se nourrissait des matières forestières comme les feuilles des arbres aux neiges éternelles, les racines gelés qui ne meurent cependant pas, le fleurs de glace, bleues et magnifiques mais mortelles à l'état sauvage. Les hommes et les femmes se reproduisaient selon le cicle naturel de la vie, et c'est ainsi qu'un jour, Lumiri vit naître un jeune garçon à la peau pâle et chaude, aux cheveux noirs et aux yeux gris ternes. Ses parents, pourtant habitants considérés comme 'normaux' au sein de Lumiri jusqu'à ce jour furent exilés sans scrupule tandis que leur fils devait être exorcisé et brûlé, pour sauver le village. Les habitants avaient peur de ce changement si soudain dans la ligné. Ils ne comprenaient pas ce qu'il se passait avec cette petite vie innocente. Ils ne savaient rien du monde extérieur pas plus du monde qui les survolaient. C'est ainsi qu'ils firent brûler l'enfant d'un diable et d'une femme de Lumiri. Dès lors un fléaut de Néant s'abattit. La forêt fut la première à dépérir, entraînant avec elle les habitants de Lumiri. Oegi ainsi nommé avait été tué alors qu'il était venu au monde pour extérioriser le village. On apprit par la suite que son 'père', ou bien le mari de sa mère, était stéril, et le nouvé né tué fut appelé "Oegi, fils d'un diable". C'est un diable en effet qui avait octroyé un enfant à une femme du village. Cet enfant si différent devait s'intéresser au monde, devait devenir chef et faire découvrir à son peuple la superficie et la diversité de la sphère. Mais ainsi malheureusement assassiné, il ne put remplir son rôle et le diable ne fit qu'accélérer le sort qui était destiné au village sans la précieuse aide de Oegi, fils d'un diable. Ainsi s'achève le mythe du fils d'un diable, mais continue à présent l'autre facette de cette histoire. Les parents exilés furent épargnés de l'éradication du village. Ils s'installèrent dans un endroit inadaptés à leur condition, mais à gré de souffrance et de persévérance, ils vécurent. Le diable les retrouva et tendit 4 pièges pour les faire tuer : ~ L' Orifice de la terre ~> sous leur pied, la terre pouvait s'ouvrir et les engloutir à chaque fois qu'ils posaient le pied gauche au sol. ~ L' Etincelle du désir ~> Le désir l'un pour l'autre est parfois si fort qu'ils pourraient s'entretuer pour l'obtention de ce qu'ils veulent. ~ Le Gage de la douleur ~> Une erreur de leur part dans les faits quotidiens peuvent leur coûter souffrance et perte de leur sang incommensurable, mais qui n'entraîne pas la mort, juste la douleur. ~ L' Infinie ~> Ces jeunes gens sont condamnés à vivre cette situation indéfiniment ... Il ne leur fut pas compliqué de trouver l'origine de ses supplices. Et la succession des initiales de ces quatres maux donnent le terme : O E G I C'est ainsi que cet enfant prit le nom de Oegi, le Damné. Détesté de tous même de ses parents, et pourtant ... Innoncent ! (message edité par Layna : desolée mais ta couleur était illisible) |
| | | Gaara Su | |
| Mer 1 Fév 2006 - 15:13 | |
| UN’ Dans les temps passés, révolue, oublié ; vivait un peuple étrange : les Fitans. Ils étaient heureux et dirigeaient la planète, comme les humains d’aujourd’hui. Cette planète se nommé Kailash, et comme notre planète elle abritait plusieurs espèces, reparties en races et en ethnies. Bien que toute différentes elles étaient unies par leur croyance. En effet toutes les espèces dites intelligentes avait la conscience et la foie d’un Dieu, unique. Ce dieu se nommé UN’, il était le dieu omniscient, omniprésent et omnipotent : le maître créateur. Les résident de se monde avait coutumes de dire qu’il se montrait sous la forme du deuxième des soleils qui se levaient chaque matins. Mais dans les temples et autres bâtiments à son effigies, on le représentait souvent à l’image d’un Fitan. C'est-à-dire mesurant seulement quelques centimètres de haut, de corpulence faible et fébrile, le visage fin et bien dessiné sur lequel descendaient de petites bouclettes blondes. Mais contrairement à tout les Fantin, il était habillé ; habillé de long drap d’un blanc presque surnaturel. Et dans son dos on pouvait distinguer clairement quatre petites ailes, semblable à celle des libellules, fine magnifique et pourtant si fragile. Mais bien qu’aussi loin que ce souvienne les ancêtres des ancêtres des ancien Fitans, UN’ avait toujours existait, mais il ne se manifestait jamais. Certain continuaient à dire qu’il était le deuxième soleil et qu’il veillé sur tous ainsi, d’autre était persuadé qu’il avait disparut. Parmi ces dernier, il y en avait un plus audacieux que les autres, il se nommait Tebi. Il était tellement audacieux qu’un beaux jours il grimpa sur la plus hautes tour de la capital Fitan, et qu’il à déclarer haut et fort que UN’ les avait oublié et qu’il ne reviendrait jamais. Et il se désigna comme le prophète d’un nouveau mouvement : le Tebisme. Ce mouvement se différencié car il se disait athée, sans maîtres. Mais l’histoire démontrera plus tard qu’en réalité Tebi avait prévue de montée au pouvoir et de se sacrée roi d’un nouveau peuple. La colère du maître créateur fut terrible, et son châtiment pire encore. Si bien que la capital fut entièrement rasé et s’effondra écrasé par ses propres pierres. Tebi fut châtié dans l’infinie à errer dans l’éternité, jusqu'à que sa faute lui soit pardonné. A partir de cette tragédie, la planète avait trois soleils… La vérité était établit, UN’ était un dieu certes. Mais cela ne l’empêcher d’être incroyablement jaloux et rancunier. Et surtout incroyablement cruel, puisque qu’après des millénaire Tebi l’indésirable n’avait toujours pas était pardonner, et le peuple Fitan qui respecté et protéger la nature s’est vu réduire en esclavage par une races beaucoup moins sage, et réfléchis : les humains. Ces dernière n’on réussi qu’a éradiquer entièrement ce peuple et quand le dernier Fitan perdit le souffle de la vie le troisième soleil explosa provoquant la mort de tout être vivants… Ainsi s’achève l’histoire de UN’ puisqu’on n’a plus jamais entendu parler de lui, mais une vielle légendes raconte qu’il serait le maître créateur de bien plus de monde, peut être même de tous… peut être même, celui-ci. Alors prenez garde au second soleil de chacun d’entre nous, car il est gouverné par les pires choses, comme la cruauté la jalousie la rancune se qui le rend bien plus dangereux… |
| | | Invité | |
| Mer 1 Fév 2006 - 18:09 | |
| Examen d'écriture, par Marween KLARTYAKEL En l’an 298, un ange Islandais, Séphros, avait donné un bébé à une humaine, la fille d’un riche empereur. Celle-ci avait enfanté huit mois et demi plus tard dans la souffrance et la maladie. Elle mourut lorsque son unique fils vit le jour. Enfin, ce ne fut qu’une expression car le bébé avait peut-être de beaux yeux mais ceux-ci ne lui servaient point car seule l’obscurité était présente pour lui. Oui, chez les islandais, l’union d’un ange et d’un humain, donnait à l’héritier une malformation. Ainsi Akel vécut dans le noir complet. Il apprit à se battre au milieu des anges et il devint un beau jeune homme malgré son problème. Ses cheveux blonds cendrés tiraient énormément sur le gris, lui donnant un air sage et réfléchit. Ses yeux qui ne pouvaient rien lui faire voir possédaient une couleur impressionnante et pour le moins étrange, une couleur tirant entre le mauve et le bleu. Les femmes tombaient amoureuse de ce regard bien qu’il ne puisse les voir. Grand et musclé, Akel était un jeune dieu doté d’un pouvoir lui permettant de diriger le monde de la peur. Dès son plus jeune âge, les anges découvrirent une intelligence inespérée chez ce garçon aveugle. Son statut d’ange de la peur faisait douté son père bien que son fils ne soit jamais devenu un homme donnant la peur à chaque personne croisant son passage il était trop sage pour cela. Sage était un bien petit mot. Sa sagesse n’était telle qu’Akel résonnait comme un homme ayant trop vu d’horreur et d’infamies dans sa vie. Modeste, loyal et curieux, Akel avait apprit à ressentir toutes les émotions qui l’entouraient. Chez les humains, Akel était toujours représenté avec un aigle. Pourquoi ? Parce que les humains trouvaient que cette image lui donnait encore plus l’air d’un sage. Bizarrement, Akel n’avait rien redit à cette image pourtant étrange. C’est comme cela qu’il décida de posséder un aigle. Un aigle royal, grand, majestueux et aux plumes noires et blanches. Le jeune dieu fut vite intégré dans le conseil des dieux grâce à son intelligence fort développé pour son âge. Mais à l’âge de 25 ans, Akel fut envoyé pour une mission en Australie pour aidé un peuple effrayé par une créature imaginaire. Jamais personne n’avait sut d’où venait cette crainte. Tout le monde accusait Akel d’en être l’origine. En tant qu’ange de la peur, cela ne pouvait être que lui. Arrivé là-bas, Akel sentit un peuple en détresse, affamé et dévasté bien qu’il ne pouvait rien voir. Il marchait dans les rues du village sur de lui, essayant de capter des ondes négatives. Cette recherche dura quelques jours. Personne ne se doutait que la divinité aveugle se trouvait dans ce village. Bien entendu, Akel avait pris soin de se cacher derrière son pouvoir d’invisibilité. Au bout du dixième jour, Akel capta une onde. Une onde maléfique qu’il suivit pendant encore deux jours avant que celle-ci ne se dévoile comme étant une envoyée de Lucyfair. Belle, elle l’était bien qu’il ne puisse point le voir. Elle était grande et brune. Ses cheveux bouclés étaient d’un brun cuivré aux reflets argentés. Ses yeux rouges possédaient des éclats orangés. Elle était belle, très belle, trop belle pour être vraie mais cela, Akel ne le savait pas. Ce qu’il savait en revanche, c’est qu’il fallait qu’il combatte cette créature du mal. -« Eh bien, mon cher Akel, serais-tu prêt à te battre contre une femme sans défense pour sauver ce peuple ? -Oui. -Tsss, quelle idiotie vraiment ! Tu sais que tu pourrais nous rejoindre en nous indiquant le chemin vers votre cachette à vous, les anges. » Depuis la dispute qu’il y avait eu entre l’ange des anges et son frère, l’ange des enfers, ce dernier avait été expulsé du conseil et devait passer ses journées en enfer en compagnie de Lucyfair. Seulement, en se faisant expulsé, l’ange des enfers ne savait plus le chemin menant vers le conseil. Il passait ses journées à cherché une idée pour se venger et il essayait de se rappeler le chemin. Mais rien à faire. Ce fut à cet instant qu’Akel comprit. -« Eh oui, mon cher. Cette mise en scène était un piège et tu es tombé entre les mails de mon filet. Alors dit-moi où est-ce chemin ? -jamais. » Sans qu’elle n’est put faire un geste, il dénoua le filet de son corps et lui sauta dessus, pouvoirs et force mis ensemble. La femme fit de même et un combat acharné commença. Qui gagnerait ? Qui vaincrait, Qui dominerait l’autre ? Qui perdrait ? Pas moi, pensa Akel. Même s’il ne pouvait pas la voir. Il ressentait sa présence. Il ressentait le moindre de ses gestes. Par contre, à un instant il ne la sentit plus bouger comme si elle restait immobile. Qu’attendait-elle pour attaquer ? Soudain, il sentait une douleur au niveau du ventre. Sans qu’il ne le ressente, la brune s’était attaquée à lui par derrière. Il sentait petit à petit les forces le quitter. Elle lui avait enfoncé le sceptre de Lucyfair dans le bas de la cage thoracique. L’objet inspirait forces, pouvoirs et il sentait petit à petit la vie le quitter. Pourtant, en tant qu’ange, il ne devait pas mourir. Ce ne fut que lorsqu’elle lui expliqua qu’il prit conscience de l’ampleur des dommages causés par le sceptre. -« Ce sceptre permet de te faire devenir humain. Il te tuera dans quelques minutes. La douleur est trop forte pour qu’un humain comme toi puisse résister. Ce sceptre a été forgé dans le feu et le sang de Lucyfair. Tes pouvoirs sont là-dedans. Ne t’en fais pas ils seront précieusement gardés comme l’histoire d’Akel, l’ange aveugle qui n’a point sut résister à la meilleure servante de Lucyfair. » Akel ne pouvait parler, chaque mouvement lui arrachait des cris de douleur atroces. Ce ne fut que lorsqu’il ouvrit les yeux, s’attendant à voir du noir, il l’aperçut. La vue lui était venue pour ses derniers instants sur la terre. Elle était belle. Trop belle pour être avec Lucyfair. Une rose. Telle elle était. Aussi belle mais aussi dangereuse. Elle disparut alors qu’il fermait les yeux, sa vie s’envolant, son âme montant dans le ciel. |
| | | Sophie K | |
| Jeu 2 Fév 2006 - 16:33 | |
| ....................... Examen d'écriture Sophie kessler...
Kirou... Physique: Kirou est une déesse, qui n'a pas de physique propre. Elle peut changer d'apparence a volonté. Elle est cependant trés souvent représenté comme un aigle: Libre, solitaire, fier et puissante. Morale: Déesse du mal, Kirou adore tout ce qui est précieux.Elle est assé prentencieuse et a su au cour des siécles, s'approprié 130 ames, qu'elle a reconvertie en esclaves. Assé garce, elle aime les hommes et l'alcool. Assé sadique, elle aime tuer le monde qui l'entoure. Symbole: C'est donc sous forme d'oiseau qu'elle est représentée. Elle a aussi de temp en temp était comparée a un chat. Famille: Inconnue. Origine: Egyptienne. Mythe.[center/]
On dis qu'un enfant se trouva abandonné dans le désert du sahara. Il fut récupéré par un marajah qui fesait une visite de courtoisie a son voisin du sud.
" Nous ferons sacrifice de cette enfant a Anubis!!! Il nous en sera reconaissant et arrétera les maladies qui déférlent sur nos terres!!"
Ainsi en était il réglé le sort de l'enfant. Uns fois rentré au palais. Le marajah envoya chercher un couteau, plusieurs tapis de priére et sa cape brodé d'or. Lorsque tout fut prés, il fit porter l'enfant au dessus d'un drap blanc et commenca sa priére.
" Annubis, dieu tout puissant. En échange de cette vie, offre nous la tranquilité et l'aisance!Plus de famine, plus de maladie pendant au moin 1ans!!"
Le marajah leva le couteau et!!!
Une lumiére aveuglante apparut alors, aveuglant le marajah et ces serviteurs.Lorsque la lumiére s'arréta, l'enfant avait disparue.
Quelques années plus tard, une déesse que l'on nomme Kirou, lance des maléfices sur les terres du marajah. Certains disent que Kirou était l'enfant sauvé par le marajah et que quand le vent souffle dans le désert, on peut entendre une chanson aux dousses mélodies. |
| | | Aëlita N | |
| Dim 5 Fév 2006 - 14:07 | |
| [c'est pas génial, mais bon...je voulais prendre le temps de bien corrigée les fautes mais pas trop le temps...]
Aëlita Noïc 1ère année
Yuzuki était une jeune demoiselle qui n’était pas plus haute que trois pommes. Elle n’avait que 12 ans mais elle était aussi ravissante qu’une jeune femme, elle en avait même déjà les manières, ce qui était assez drôle. Elle avait de longs cheveux bruns qui étaient légèrement bouclés, et qui retombaient doucement sur ses fines épaules presque toujours dénudées. Elle avait deux jolies yeux de couleur violet, dans lesquels on pouvaient y voir des milliers de petites étoiles y brillait, comme ci elles étaient toutes descendu du ciel, pour venir ce perdre dans son infinie regard toujours joyeux, plein de tendresse et de gentillesse. Sa bouche était presque invisible, elle était d’une grande finesse impressionnante, d’une légère couleur rosée. Quand à son nez, lui, était tout aussi fin que sa bouche, il était ni trop grand, ni trop petit, un nez parfait pour une fille…presque parfaite. Pour aller le mieux possible avec sa jolie couleur de cheveux brun clair, sa peau était d’une grande pâleur. La jeune enfant ressemblait assez fortement à une jolie poupée de porcelaine qui menaçait de se briser à chaque instant, dés qu’on la touchait, ou même lorsque l’on oser poser son regard sur elle. En tant général celle-ci portait une magnifique robe blanche entourée de dentelle marron, qui allait bien avec ses cheveux ainsi qu’avec le petit foulard qu’elle portait dans ses cheveux, étant raccrocher par une petite pince représentant une tête de mort, à la fois effrayante, mais aussi attendrissante. La jeune fille du nom de Yuzuki semblait vraiment dés plus sympathiques, elle souriait sans cesse, ressemblant à un bel ange descendu du ciel. Elle respirée la joie de vivre et ne supporter pas le fait de voir des gens triste, elle faisait toujours son maximum pour leur rendre leur beau sourire qui s’était perdu si tristement. Elle ne se mettait que rarement en colère, seulement lorsque c’était pour protéger les personnes innocente qui se faisait embêter par des personnes qu’elle qualifié souvent de sombre imbécile. Elle n’était jamais de mauvaise humeur non plus, rien ne pouvait lui enlever sa grande joie de vivre, son grand sourire toujours présent sur le bord de ses fines lèvres rose pâle.
La jeune enfant avait une étrange passion, celle des horloges. Elle n’en possédait pas un grand nombre, n’étant pas issus d’une riche famille, mais elle en avait tout de même trois dans sa petite chambre qui lui servait de sanctuaire, là où personne n’avait le droit d’entrée sans son autorisation. Toutes les horloges qu’elle possédait étaient réglées à la même heure. Elle n’avait pas une seule minute d’écart, pas une seule seconde d’écart. Elles sonnaient toutes en cœur lorsque minuit arrivait enfin. Un jour alors que la jeune fille s’amusait paisiblement dans sa chambre, son père entra en trombe dans celle-ci, il semblait saoul. Il prit sa fille par les épaules et la plaqua contre un mur, commençant à déposer d’innombrable baiser sur son frêle corps. Elle était incapable de ce défendre et elle n’osait pas crier… Finalement il déposa son propre enfant sur son propre lit, commençant à la déshabillait sans aucune honte, un simplement petit sourire aux lèvres, un sourire d’envie. Lorsqu’il la pénétra les trois horloges sonnèrent encore, il était tout juste 6 heures, ce qui donnait un total de 666. Après l’avoir lamentablement violer, celui-ci décida de la faire taire, pour qu’il n’ait jamais de problème, sa seul idée fut de la tuée et de faire disparaître son corps. Depuis ce jour, lorsque trois horloges sonnent 6 heures dans une même maison, la jeune Yuzuki vient hanter celle-ci, tuant le père de famille. C’est le seul moyen que celle-ci a trouvait pour se venger. La seule vengeance qu’elle n’a jamais faites dans toute vie. Depuis que de nombreuses personnes on été tuer, tout les humains s’arrangent pour que leur trois horloges ne sonnent pas 6 heures en même temps. Ces meurtres ne cesseront jamais, tout du moins pas avant que l’on retrouve son corps lâchement enterré et qu’on ne sache enfin la vérité sur sa mort étrange. |
| | | --kamui- | |
| Mer 8 Fév 2006 - 17:12 | |
| Kamui Shirô, AQUA, second année _____________________________________________________________ Ketsurui, la déesse de la pluieAu temps des grands Dieux de l’Olympe, une union secrète entre Apollon, Dieux du soleil et des arts et Artémis, déesse de la nature et de la chasse donna vie à une petite fille aux cheveux aussi brillants que le soleil et aux yeux de la couleur des violettes au printemps.
C’était une enfant chérie par ses parents mais pourtant cachée aux autres dieux. Artémis la confia un temps à un chasseur très bon, qui s‘en occupa quinze années, au bout de ces quinze années, Apollon vint la récupérer pour enfin avouer aux autres dieux mais surtout à Zeus son existence, mais le chasseur, s’en étant occupé comme de sa propre fille ne put se résigner à la rendre au Dieu. Apollon fit donc un pacte avec lui, chaque été et automne il pourra la voir, l’aimer et la loger comme sa propre fille.
Elle n’avait pas encore de nom, ses parents l’appelaient soit Fleur soit Etincelles, des surnoms comme en donne des parents, et le chasseur l’appelait Belle Déesse. Elle grandit donc entre ces deux familles, une humaine, l’autre divine et ne se sentait pas du tout malheureuse.
A l’âge de dix neuf ans, elle rencontra sur la terre des mortels, un beau jeune homme, un étudiant en médecine et en philosophie. Il était brun aux yeux bleu, grand et assez musclé, assez pour être admiré par beaucoup de jeunes filles. Il aimait la jeune déesse depuis déjà quatre années sans qu’elle ne l’ait rencontré auparavant. Il la suivait suivant jusqu’à la maison du chasseur et s’en allait ensuite, n’étant jamais vus par cette dernière. Ils se rencontrèrent et elle tomba amoureuse de lui aussitôt mais savait qu’elle ne pourrait vivre avec lui en étant une déesse voyageant entre l’Olympe et le monde des mortels. Ils s’aimaient donc en cachette, pendant plus de cinq ans.
La veille de ses vingt cinq ans, Artémis découvrit cet amour clandestin mais ne fit rien. Apollon de même. Mais le chasseur, jaloux et possessif, fit tout pour les séparer. Il alla en effet voir Hera dans un temple, cette dernière aussi jalouse de la beauté de cette jeune déesse que l’homme pour le jeune garçon, elle fit en sorte qu’Apollon soit furieux contre sa fille et raccourcisse le pacte au point qu’elle ne descendait voir les mortels que en été. Elle ne voyait donc presque plus sont amant.
Comme elle pleurait régulièrement quand elle revenait à l’Olympe, les dieux l’appelèrent Ketsurui : « Larmes »
Depuis, chaque automne et chaque début de printemps il pleut, et si on prend le temps de regarder ces gouttes d’eau, on peut y voir un reflet de soleil et un ombrage de violettes… |
| | | Michaël | |
| Dim 12 Fév 2006 - 23:42 | |
| Oelios Avant tout Oelios était un humain, il n'est devenu dieux qu'a la suite d'événement qui a chamboulé sa vie de mortel. Il vivait autrefois dans une contrée nommé Memoratia, les habitant de cette contrée le trouvait différent des autres hommes, il avait un talent inné pour le combat, il était d'une grande gentillesse et il aidait toujours ceux dont il avait besoin, il n'avait pas de famille. Il trouva néanmoins une compagne, dont le nom était Godaïme, ils vécurent heureux ensemble, bien que pour une raison inconnue ils n'eurent pas d'enfant. Leur bonheur continua jusqu'a ce qu'une maladie mystérieuse emporte Godaïme.... Oelios, dont la seul raison de vivre était Godaïme, fit un pacte avec un dieu démon, il ferait ce qu'il voulait et en échange celui ci ramènerai Godaïme a la vie, le démon accepta et il chargea Oelios d'une lourde tache: Tuer toute les personnes vivant dans la contré de Memoratia (environ 2000 habitants). Oelios resta froid et partit pour la contrée ou il massacra tout le monde en une nuit, un véritable démon cria les gens.... Oelios retourna voir le démon couvert du sang des habitants, le démon tint parole et ressuscita Godaïme. Oelios fut heureux mais quelque chose n'allait pas chez sa femme: Elle était enceinte. Plusieurs semaine plus tard elle accoucha,chose encore plus inhabituelle, celle ci mourra de nouveau pendant que l'enfant naissais, Oelios prit son enfant dans la main et vit que c'était l'enfant du démon,fou de rage ,il étrangla le bébé et retourna voir le démon. Celui ci éclata de rire en voyant Oelios, et l'humain savait qu'il n'avait pas beaucoup de chance de terrasser un dieu démon, il tenta quand même et échoua, le démon le tua d'un coup d'épée.... Oelios se réveilla dans un drôle d'endroit, une grande plaine, plein de fleurs et de gens qui souriait, une femme s'approcha de lui, sa femme, elle lui sourit et lui dit en souriant paisiblement: "Tu ne dois pas venir nous rejoindre maintenant, tu dois te venger de ce que le démon a fait, même si tu les as tuer les gens de la contrée ne t'en veux pas, va....venge nous de ce démon qui a déjà fait trop de mal..." Oelios se réveilla alors dans son corps, sa blessure se referma et il sentit quelque chose de différent en lui, comme si son pouvoir intérieur s'était réveiller, il défia de nouveaux la démon et parvint a le terrasser au prix de sa propre vie,qu'il sacrifia pour que le démon soit scelle dans l'épée avec laquelle il l'a tuer....Oelios devint ensuite une divinité,respecté des plus grand combattant. Oelios représente le courage et la détermination, bien qu'il est fait de nombreuse victime par amour il n'en reste pas moins un dieu respecté par son acte de vengeance face au dieu démon qu'il scella dans son épée au prix de sa vie, il a ainsi put se racheter en sauvant plus de vie qu'il en a tuer. Dans son temple se trouve l'épée ou le démon est scellé, on raconte que si l'épée se brisait le démon en sortirait. |
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