Bastet qui avait enfin trouvé des arbres, était montée au sommet de l'un deux, enfin quand je dis au sommet, c'est plutôt le plus haut qu'elle pouvait par rapport à son poids... Elle regarda autour d'elle la forêt était très sombre voire lugubre, mais bon, tant qu'il y a des arbres... En redescendant du chêne (car s'en était un) sa robe noire s'accrocha à une branche :
*Je savais bien que je n'aurais pas dû encore jouer les coquettes !*
Finalement, n'arrivant pas à enlever sa robe de la branche, sans la déchirer, elle tira fort dessus, créant un trou béant sur son genou... Qu'à cela ne tienne, elle continua sa marche méticuleuse, les arbres se ressairaient de plus en plus... Et de temps en temps, l'envie lui prenait de monter sur un arbre, ce qu'elle faisait, biensur mais en y laissant des fragments de sa robe... Soudain elle arriva face à un arbre, un méléze apparemment où, à son pied, se trouvait une ombre :
*Quoi ! Encore une ombre féminine ! Ras le bol !*
Mais elle s'en approcha quand même, et là, elle vit Lunae, adossé assez confortablement, pleurant à chaudes larmes et tenant fermement un petit poignard dans sa main et Bastet décida de lui adresser doucement la parole :
-Bonjour ou peut-être bonsoir, il fait tellement noir ici qu'on ne suit plus le court du temps, qu'as-tu donc Lunae ? Pourquoi pleures tu ?