Vos premiers messages rp

Coralline suivait avec peine le vieille homme qui marchait devant elle.

Depuis que sa mère l'avait bannie de la maison, elle avait été obligée de le suivre et celui-ci semblait ne porter aucune attention à la peine qu'elle avait afin de ne pas le perdre de vue. Pour couronner le tout, une brume épaise était tombée. La jeune fille ne voyait plus rien à 5 mètres et, gênée par le poids de sa valise, elle se forçait tant bien que mal à suivre le mystérieux personnage qui guidait son chemin. Elle en pleurait de colère et d'épuisement, tant moral que physique...

Coralline ne pourrait pas dire par quel chemin ils étaient venus, mais ils se retrouvèrent soudain devant une porte gigantesque. Elle était faite dans un bois lourd et finement sculpté, avec d'énormes charnières et de gros heurtoirs ciselés. La jeune fille se retourna afin de questionner le vieil homme et découvri que ce dernier avait disparu.

"_ Ohé ?" appela t-elle d'une petite voix aussi intimidée qu'affolée. La brume opaque lui barrait la vue. Ses récents efforts avaient collés ses vêtements sur sa peau moite et elle sentit tout à coup un frisson lui parcourir la colone vertébrale...

*Mais où est-il partit...* pensa Coralline à présent très angoissée. Le profond silence qui l'entourrait n'avait rien de rassurant et elle commençait à avoir froid...

"_ IL Y A QUELQU'UN ??!" supplia t-elle soudain à voix haute, au bord des larmes.

Itarilé poussa uen porte, au hazard, dans ce dédale de couloir.
Elle arriva en plein cours. Arrivé en retard ne la gênée pas, quoi que..., mais elle avait perdu sa soeur en courant des les couloirs.

Elle considéra ces nouveaux visages, et rougis d'être à son tour considéré.

Elle aurait voulu se trouver à n'importe quel endroit à ce moment, ne pas avoir poussé cette porte (d'ailleur pourquoi était elle entrée?).
Elle ne pouvait pas se taire indéfiniment, alors elle lança, comme un murmure aquatique, un bref "Bonjour".

Mifloey était très fatiguée, pour se déplacer elle avait préféré marcher mais marcher l'epuise enormement.
Elle baissa la tête comme pour se faire pardonner, une sorte de révérence.

"Excuse moi de t'avoir fait peur." dit elle doucement.

Elle releva la tête et ragarda Kaede.

"Non je n'ai pas put m'envoler, je suis trop fatiguée. Je voulais seulement marcher mais la marche m'épuise beaucoup, je n'ai pas l'habitude."

Mifloey s'asseya, épuisée, elle n'avait qu'une envie c'était de rentrer dans sa chambre pour dormir. Mais elle continua de parler à Kaede et Mulch.

"Je m'appelle Mifloey Arjowi! Je suis une élève des Terra."

Koretoyo se réveilla subitement. Un flash violent venait de le réveiller.
Il s'assit et se frotta les yeux et, quand il les ouvrit, découvrit que son grand-père avait ouvert les rideaux.
"Hmmmmm..."

"Eh bien, mon garçon. Tu n'avais pas dit que tu voulait aller t'inscrire à l'académie de bonne heure?"

Koretoyo était encore à moitié endormit. Le réveil brutal l'avait, en plus, tiré d'un beau rêve. Il rêvait de son père. Mais cela ne l'irritait pourtant pas.

"Si et alors? Tu pouvais me laisser me réveiller normalement non?"
*Pourquoi il m'a réveillé comme ça?*

Son grand-père se mit a rire.
"Hahaha! Mais mon garçon, il est déjà 11h!"

Cette déclaration acheva de réveiller Koretoyo qui ouvrit de grands yeux. Ses pupilles se rétrécirent sous la lumière.

"Mais fallait le dire plus tôt, Ojîsan!"
"Ne t'inquiète pas mon garçon, ce n'est pas grave. Prend ton temps pour te préparer car mieux vaut faire bonne impression pour le premier coup."

Le vieil homme quitta la chambre et Koretoyo se leva.
Il prêta enfin attention à la chambre, la veille il avait été trop fatigué pour regarder.
Elle était grande mais avait une décoration simple. Les murs étaient d'un blanc tirant légèrement sur le bleu, ce qui donnait à la pièce une ambiance reposante et douce. Les rideaux était bleu nuit et le sol, composé de parquet sombre.

Les seuls meubles de la pièce étaient une armoire qui ne contenait pour le moment que les vêtements que Koretoyo avait amenés avec lui
Il y avait bien sur un lit, mais aussi une chaise et une petite table ronde.
Chaque meuble était fait du même bois, mais Koretoyo n'aurait su dire lequel.

S'étirant et baillant, Il alla jusqu'à l'armoire, prit ses vêtements et se changea. Puis il aperçu un objet sur la table et s'en approcha.
C'était une brosse à cheveux, exactement ce dont Koretoyo avait besoin.
Il l'a pris, s'essaya sur le bord du lit et commença à brosser ses cheveux de manière méthodique.

*Ojîsan a tout de suite compris ce dont j'avais besoin... Je sens que je vais me plaire ici.*

Après une bonne demi-heure, Koretoyo avait fini. Il se leva et sortit de la chambre. Il descendit l'escalier et prit la première porte à droite dans le couloir qui suivait.
Il avait fait ça comme si s'était naturel et était arrivé dans la cuisine où son grand-père préparait le petit-déjeuner : des nouilles.

*Hm... Ca sens bon...*
Son grand-père le servit puis ils récitèrent tout deux une prière. Koretoyo pria aussi pour ses parents adoptifs, pour qu'ils trouvent le repos.

*Impressionnant ce petit. Malgré que son père les ai tué il ne lui en veut pas et ne semble pas triste...*

Ils finirent de manger puis Koretoyo sortit. Son grand-père le rejoint.
"Eh attend! Tu ne sais même pas comment aller à l'académie."

Koretoyo rougit.
"Ah oui c'est vrai..."

Le vieil homme rit une fois de plus puis s'avança vers son petit fils en souriant.
*C'est bien qu'il soit là pour égayer mes vieux jours.*

Puis ils partirent ensemble en direction de l'académie de la Terre Dissimulée.

Quelque part, aux abords de San Fransisco.
Un homme fume une cigarette, le dos contre sa voiture. Il fait une pause avant de repartir. Il souffle et la fumée qu'il exhale monte et va se mélanger aux quelques nuages blancs qui parsèment le ciel bleu. Il ne voie rien quand une chose entre dans sa voiture. Il ne sent rien quand cette même chose passe au travers de lui. Il n'a conscience de rien. Sa cigarette finit par s'éteindre. Il la jette, grimpe dans sa voiture et repart.

San Fransisco, dans une ruelle.
Ils vont arriver d'un instant à l'autre. La jeune femme a peur. Elle est fatiguée. Elle a couru pour leur échapper. Elle vient de tourner dans la ruelle et là, elle découvre une impasse. Elle se recroqueville contre le mur et regarde avec appréhension l'entrée. Ils sont là. Ils avancent doucement dans la ruelle, et semblent la chercher. Elle est pourtant là, juste devant eux. Ils fouillent chaque endroit avant de repartir étonnés. Elle ne comprend pas. Elle était pourtant bien visible. Elle pose la main sur le sol pour se relever. Sa main passe au travers. Elle regarde le sol, les yeux agrandis pas la peur. Elle commence à crier. Une main se pose sur son épaule. "Calmez-vous. Tous ce passera bien." Une voix féminine. La main la tire vers l'arrière. Vers le mur. Elle traverse le mur sans le sentir. Elle arrive de l'autre côté. Elle sent le sol sous elle. Elle se lève et se retourne pour voir celle qui l'a aidée. Personne. La ruelle est vide. Elle ne comprend pas. Elle sait que personne ne la croira. Elle repart, faisant retourner ce moment dans sa tête.

San Francisco, dans un batiement.
Le sorcier soupire. Cette réunion l'ennuie. Comme beaucoup de ces camarades, il vit au milieu des autres humains et travaille comme eux. Il tente de se concentrer sur ce que dit son collègue, sur l'estrade, mais ses pensée s'égarent. Comme tout le temps, il y a quatres de déblatérations sans importances et dix minutes intéressantes. Il soupire une nouvelle fois. Soudain, il apperçoit un fantôme qui traverse l'amphitéatre. Une femme. Elle passe devant l'orateur et continue sans se troubler. Que fait-elle içi ? Elle passe au travers du mur de gauche. C'est sans doute une nouvelle élève du lycée, puisqu'elle a l'air jeune. C'est dommage, il manque surtout de professeurs. Il sent un coup de coude. C'est son voisin de droite. Il se retourne et lui murmure:"excuse moi, je pensais à autre chose." Il refait passer son attention sur l'estrade, et à nouveau, ses pensées s'égarent.

San Franscisco, Dans une avenue.
Le jeune homme rentre calmement chez lui, le sac sur le dos. Il avance, tout dans ses pensées, comme d'habitude. Il regarde devant lui. Tout d'un coup, en limite de son champs de vision, Il croit voire une femme courir sur la route, à travers une voiture. Il cligne des yeux et se retourne pour verifier. Rien. Il a du rêver. Il se passe la main devant les yeux, avant de repartir. Non loin de là, un homme le regarde s'en aller, avant de sortir un téléphone: "J'en ai trouvé un qui possède des capacités latentes. Je vous ramènes des infos sur lui.

Entrée de la propriété.
Une femme arrive en courant et traverse le muret qui délimite la propriété. Elle s'arrête enfin.
"Et bien! Voilà longtemps que je ne m'était autant déplacée. La course m'a fait du bien."
Elle se tait, laissait un souvenir refaire surface.
"Mais pourquoi cours tu? cela ne sert à rien comme tu est fantôme. Il te suffit de voler.
- Parce que j'aime ça, idiot."
Elle secoue la tête
"C'est vrai qu'en fait, je ne cours pas, puisque mes pieds ne touchent pas le sol, mais bon, Je fais les choses comme je le veux."
Elle regarde la propriété calmement avant d'acquiesser pour elle même.
"Parfais. Je vais pouvoir reprendre les cours. Mais avant, il va faloir que j'achette quelques objets dont je vais avoir besoin pour mes cours."
Elle ferma les yeux un instant, elle l'on ne pus plus voir le mur à travers elle. Ses pieds touchèrent le sol et elle se retourna vers San Fransisco pour aller achetter ce dont elle aurait besoin.

Sen jeta un dernier regard à Clhive qui s'en allait puis partit vers la tour.

Haeru arriva dans la salle quelques secondes après que Kiashi eu finit de parler.

"Coucouuu tout le mooonnde"
Haeru lança ça d'une manière assez tonitruante et balaya ensuite la salle du regard.

"Et ben, vous avez l'air joyeux vous !!"

* On dirait qu'ils ont passés trop de temps au congélateur... J'me demande ce que Kiashi leur à dit pour qu'ils soient comme ça... ou alors c'est pt'être naturel chez eux... *

Haeru passa rapidement à l'avant de la salle, rejoignant Kiashi.

"Même si vous n’êtes que deux, je vais commencer à me présenter. Je m'appelle Haeru Mikomi, et je m'occuperais de votre enseignement avec mon collègue Kiashi.
Je vais devoir vous demander de vous présenter. C'est assez embêtant de se sentir "fiché", mais Kiashi et moi allons devoir vous répartir en deux groupe, alors, si vous savez déjà à peu près vers où vous voulez vous spécialiser... ben ça nous ferais gagner du temps avant que les autres arrivent , histoire de vous mettre par motivation. Si vous ne savez pas encore, c’est pas grave, parlez quand même de vous :p. "

En disant ça, Haeru sorti un bloc de papier et un stylo.

" N’hésitez pas à parler, faut même en profiter avant que les autres soient là :p "

* J'espère qu'ils parleront surtout pour passer le temps... au pire on tirera les groupes au sort...