L’air frais caressait ses joues alors qu’il respirait l’odeur de l’humus. Il marchait le long de la forêt entre l’ombre et la lumières, les rayons du soleil couchant teintait le sous bois de vert et d’or. Il admirait le spectacle en se demandant si la forme qu’il avait aperçus au loin existé vraiment cela faisait dix jour qu’il marchait en direction d’une citée dont il n’était même pas sur qu’elle se trouvait vraiment la. Le vent se fit plus fort apportant l’acre odeur de la fumée mêlé à celle du sang. Il se mit à courir se servant de ses capacités physiques angéliques la forêt défilé à toute vitesse simple succession de formes floues. La forêt s’arrêtait au bord d’une plaine devant les murailles gigantesque d’une citée. Les immenses murailles semblaient irréelles et une porte majestueuse qui portait les marques d’une attaque en force. Mais rien de cela n’intéressait Regan. Devant lui sur la plaine s’étendait les restes du carnage qui avait opposé les démons aux habitants de la citée. Il tomba à genoux à la limite entre la forêt teinté de vert et d’or pleine de vie et la pleine noircie brillant de l’éclat terni des armures et des armes. Les habitants de la citée était en train d’emporter leur mort mais le nombre de cadavre semblait infinis. Les corps des habitants comme des démons se mélangeaient et affronté la mort ensemble.
Il tomba à genoux les larmes coulant sur son visage, il pleurait pour les morts autant pour les habitants que pour les démons, il pleura pour les blessé, l pleura pour les familles des morts comme pour celle des blessé, il pleura pour les survivants, pour les témoins du carnage, pour la Terre qui portait les cicatrices de la bataille, il pleura sur la haine qui pousse les races à s’entretuer, il pleura pour le sang versé, il pleura jusqu’as se que c’est yeux soit sec. A ce moment la il se leva et se dirigea vers la porte passant au milieu des corps tel un fantôme, il avait la nausée a force de sentir l’odeur du sang et la terre collait a ses botes tellement elle avait absorbé de liquide vital. Il arrivât devant la porte qu’il trouvât endommagé, on s’était acharné dessus avec une violence rare et à un endroit quatre blessures prouvait que l’on avait arrachés quelque chose à la porte. Il se pencha pour examiner ses marques et sur l’une d’elle il distingua une flamme, sur une autre une tornade, sur une troisième une goutte d’eau, et sur la dernières un arbre. La voix lui parut claire et d’un geste plein de tendresse il caressa le symbole de l’arbre presque effacé comme s’il caressé son amante. La porte s’ouvrit en grinçant. Le spectacle de l’autre cotés été impressionnant, mais la bataille avait marqués la beauté du lieu comme une plaie béante partout on voyait les signes de la reconstruction. De nombreuse personne était en deuil et arborait la couleur noire signe de leur tristesse ou de leur goût vestimentaire. Il resta la admirant la citées et son architectures le bruit joyeux des marchands appellent la foule, des discussions animés. Regan été captivé par l’architecture de la citée avec ses tours, ses ruelles la forme de ses maison toute la citée était une œuvre dédié a la beauté. Il resta la comme figé tandis que les portes se refermait derrières lui.