Ce topic à pour but que chaqu'un présente le ou les films qui l'ont marqué. Cela permettra surement de découvrir d'exellent films.

Je commence avec mon 1er film coup de coeur :

Pulp Fiction



Il est des films qui sont des chefs-d'œuvre, qui vous restent gravés dans la mémoire, que vous revoyez avec grand plaisir et qui à chaque projection vous font découvrir des détails que vous n'aviez pas perçus. "Pulp Fiction" est un film de cette trempe.

D'abord, le casting...

Imaginez réunir sur un même film Bruce Willis, John Travolta, Rosana Arquette, Samuel L Jackson, Uma Thurman, etc... Il faut se souvenir que John Travolta sortait d'une longue période d'éclipse, que Uma Thurman n'était pas encore connue comme aujourd'hui et que Rosana Arquette venait du grand bleu et finissait de rechercher Suzanne désespérément.

Une alchimie forte que ce casting, avec des dialogues qui vous laissent en mémoire des phrases courtes un peu à la Audiard :"Royal Royal Cheese", "Monsieur Marcellus Wallace n'aime pas qu'on masse les pieds de sa femme", "Bon alors écoute Vincent, c'est pas compliqué, tu te branles une ou deux fois et tu te casses", "t'es tout rouge", "Butch, je crois que j'ai oubliée la montre sur le kangourou", " A la cinquième, tu te couches" "Quoi la fille avec tous les clous sur la gueule? Non, ça c'est ma femme".

Le film est découpé en plusieurs histoires parallèles. Certaines sont synchronisées, d'autres pas. Les personnages se rencontrent parfois brièvement (la rencontre Travolta - Willis dure quelques secondes) et Quentin Tarantino nous concocte un film au montage exceptionnel ou le spectateur doit faire l'effort de revenir aux scènes de départ pour comprendre les scènes finales. Un flash back imparable comme dans "Sixième sens" pour ceux qui l'on vu.

Classique me direz vous mais ce montage est d'une force incroyable.

La version originale vous permet d'appréhender l'ensemble des possibilités d'interprétation du mot fuck dans le vocabulaire anglo-saxon. On notera la scène de l'overdose avec une Rosana Arquette bien arrangée et sa double réplique "fuck you, fuck you too!" malheureusement apurée dans la version française.

Ce qui fait aussi un film, en plus de la force des histoires et des dialogues, c'est la bande son. Avec "Pulp Fiction" on n'a que l'embarras du choix. Que des tubes rock n 'roll et la scène d'anthologie du concours de danse (avec Travolta fallait s'y attendre).

Il n'y a pas de premier rôle qui fasse de l'ombre aux autres acteurs. Chacun est au premier plan. Néanmoins, on retrouve un Travolta au cheveux longs et un peu enrobé que l'on redécouvre avec attention et dont on retrouvera un peu le personnage dans "Opération Espadon". On découvre une Uma Thurman magnifiquement sensuelle avec des jambes sublimes que l'on retrouvera dans "Chapeau Melon et bottes de cuir" (souvenez vous de sa combinaison : un charme affolant sans une scène de nu et sans voir une épaule). Il y aussi Samuel L Jackson qui est remarquable dans son rôle et comme il faut aussi évoluer dans le glauque et le sordide, Butch (Bruce Wilis) sauvera sa peau, celle de Marcellus et tout finira bien avec sa petite amie qui adore faire la cuillère et aime sa brioche.

Ce "Pulp Fiction" respire le travail bien fait. On sent les mois d'écriture sur le synopsis, le choix du casting, les ratures, les réécritures des dialogues, le choix attentif des tubes qui deviendront la bande son (c'est la vie), les petits trucs de rien du tout en plan caméra qui change une histoire (la platine disque, le feutre rouge, le kangourou, la putain de montre du père du père de ton père, le royal cheese, etc...

Enfin bref ce film est un chef d'œuvre qui permet de suivre plusieurs histoires avec différents personnages de premier plan ayant chacun une vie, un caractère, une histoire à vivre, avec de la bonne musique, des choses rigolotes et d'autres plus glauques. C'est la vie quoi.

Source : http://tobefred.zoy.org/fiche/film/pulp_fiction


Mon deuxième films coup de coeur :

Willow



Avant la trilogie du Seigneur des Anneaux de Peter Jackson, le sommet de l’Heroic Fantasy au cinéma était Willow, une production George Lucas filmé par Ron Howard, le réalisateur récompensé par les Oscars l’an passé pour Un Homme D’Exception. Willow comme L’Histoire sans fin de Wolfgang Petersen ou Legend de Ridley Scott a marqué son époque. Bien sûr visuellement, le film a beaucoup vieilli –on était alors au début du numérique et des effets de morphing- mais l’ensemble garde beaucoup de charme. Ressortir aujourd’hui le film en DVD, c'est donc un beau cadeau pour les amoureux d’histoires épiques, de forêts enchantées, de nains débonnaires et de valeureux guerriers séduisants.


L'histoire de Willow, écrite par George Lucas, est un pot-pourri des plus grands récits de l’humanité. Dans le destin de Willow Ufgood, David qui, pour l’amour d’un bébé, combat Goliath, la reine Bavmorda, on retrouve pêle-mêle des éléments de la légende de Romulus et Remus, du Seigneur des Anneaux et même bien sûr de la chrétienté. On est donc en terrain connu, l’universel combat entre le Bien et le Mal, le petit et le puissant. La force du film ne réside donc pas dans sa trame, beaucoup trop classique, mais dans ses personnages et son mélange savoureux d’humour et d’aventure.


Après une première demi-heure d’exposition naïve et kitsch, la description d’un monde, celui des Nelwyns hélas copié sur celui des Hobbits, l’arrivée à l’écran de Madmartigan, le grand guerrier gaffeur, incarné par le jeune et prometteur Val Kilmer, lance enfin le film sur la voie de l’aventure comique. Sa romance contrariée avec Sorsha (Joanne Whalley) rappelle les joutes verbales de Han Solo et la princesse Leia dans L’Empire contre-attaque. Leur duo fonctionne malgré le vieillissement du décorum. Ils procurent au film ses meilleures scènes: avec eux, le récit s’emballe et devient enfin incertain. Même si Ron Howard peine à insuffler un parfum épique au destin de Willow et ses amis, le film reste divertissant. Les effets visuels sont dépassés mais n'apparaisent jamais comme des gadgets inutiles. Ils servent le film et lui donnent un réjouissant cachet anachronique. Quinze ans après sa sortie, Willow reste donc un bon film d’aventure calibré pour le grand public, illuminé par le doux visage de Warwick Davis.

Source : http://www.filmdeculte.com/video/video.php?id=44

Bon en fait moi je ne vais pas faire un aussi grnad post que toi XD
Car en fiat, je vais faire qu'un tout chtit résumé de l'histoire

Bon, pour ma part, il s'agit de Duel Hip Hop

C'est l'histoire(au départ car y'a pas que ça) d'un groupe de danse hip hop qui crées des corégraphies et qui les danse contre d'autres personne en échage d'argents. Le gagnant de la battle se fit au sons des applaudissement pour chaque groupe et le groupe est imbattable. Mais Eljin et David, les deux meilleurs amis et personnages principaux travaille pour un homme malfaisant, et suite à ça, David plante un jour Eljin pour une nana, qui plus est, est la soeur de Eljin.
Eljin passe près d'y rester et brise l'amitié qu'il a entre David et interdit sa soeur de sortir avec lui...
Puis à la fin, il y a deux groupes, celui de Eljin et lui de David, et ils vont s'affronter dans un gros duel qui pourrait les réconcilier...


Bon voilà!
J'espère que vous voudrez le voir mais bon...Au prie les descriptions sur le net sont bien mieux XD

Un de mes grands coups de coeur a été "Sister Act".

Histoire:

Une jeune femme, témoin d'un meurtre, intègre contre son gré un couvent pour se protéger. Elle va alors donner un nouvel élan à l'établissement religieux, invitant notamment les bonnes soeurs à une réorchestration musicale de leurs chants.

Ca paraît être un film un peu classique mais il est absolument génial!
Même si le début traîne un peu, le film est plein de rebondissement. L'humour y est très présent.

Côté casting...:

Deloris Van Cartier: Whoopi Goldberg
Comme dans la lupart de ces films, c'est une actrice vraiment douée. On dirait qu'elle y met beaucoup de coeur. Coeur mis à côté, son personnage lui va comme un gant...^^

Mère Supérieure: Maggie Smith
Dans la plupart de ses films, elle interprète une dame sévère qui ne l'est pas autant que l'on ne le croyait. Mais elle le fait si bien!

Photos:





Un très bon moment...

je suis trop d'accord avec Ninra pour "Willow", j'ai adoré!!!

mais mon problème, c'est que j'aime beaucoup trop de film pour n'en citer qu'un!! c'est trop frustrant!!!

Dans les incontournables, je met de suite : Star wars!!!!! je suis une grand fan et c'est un bon classique avec la réplique cultissime "je suis ton père" de mon bon vieux Dark dans l'empire contre attaque!!! sans oublier le magnifique réplique philosophique de notre bon vieux chewbakka!!! je parle même pas de obiwan kenobi et de Yoda!!!!!!!! enfin bref....

Puis un autre grand classique : retour vers le futur!!!!! je kiffe comme c'est pas permis le génial McFly que notre bon Mickaël J.FOx a endossé pendant trois films!!! je regrette cette acteur parce qu'il me faisait beaucoup rire mais sa santé en a voulu autrement! Mais il y avait le bon professeur foldingue dit "Doc" incarné par Chritopher Llyod.... trop d'émotions quand j'y pense....

Après, sans trop tchapoter je peux vous en citer plein de coup de coeur : Edward aux mains d'argent, Independance day, seigneur des anneaux, l'île aux pirates, pirates des caraïbes, les dessins animés de Myasaki, moulin rouge (bien que je ne suis pas fan des comédie musicale!), robin des bois (avec kevin costner et morgan freeman) , harry Potter (et oui, j'aime les magiciens!! lol), Tigre et dragons, Héros et bien d'autres!!!!

Maintenant j'attend que d'autre film me fasse rêver!!!

Mon coup de coeur du moment.^^

FFac----Final fantasy advent children^^




Tous commence dans la ville de Mako, appelée Midgar. La Shinra commande toute la ville, même les politiciens, en employant une source d'énergie appelée le Mako. Les quartiers généraux se situent au coeur de Midgar là où se trouvent plusieurs générateurs appelés les "Réacteurs Mako". L'énergie de Mako que la Shinra exploite apportant des vies riches et abondantes à ses habitants, était en fait le flux qui gouverne la vie en ce monde. L'énergie même, la source de tout monde et de toute vie de la planète : la Rivière de Vie.

"Si les choses continuent telles qu'elles sont, la planète mourra sûrement."

L'exploitation de la Rivière de Vie a porté préjudice à la vie de la planète. Les quelques personnes qui apprirent que la planète mourait, organisèrent un groupe appelé AVALANCHE pour lutter contre la Shinra, et ont commencé à mener des campagnes de résistance terroriste. Ils se sont lancés dans une mission pour détruire les réacteurs de Mako. La Shinra tenta d'utiliser la force contre eux. Elle disposait d'un groupe militaire d'élite appelée le SOLDAT. Ils étaient ceux qui, il y a bien longtemps récupérèrent Jenova qui tomba du ciel pour détruire le monde. La Shinra récupa ses cellules, et les enterrèrent.

Parmi les membres d'AVALANCHE, il y avait Cloud, un ancien membre du SOLDAT. Cloud, était juste un SOLDAT, qui n'avait ni sentiment, ni idéologie ni compassion. Il a seulement participé à la mission en tant que mercenaire utilisé par AVALANCHE. Cette mission au réacteur a déclenché un long et dur voyage dans lequel il a dû se demander, "Qu'est donc devenu mon passé perdu ?" "Quelle est la signification de mon existence?"

Les SOLDAT, cette force d'élite qui été employé à mauvais escient par la Shinra… parmi eux il y en avait un qui s'appelait Sephiroth. C'était un excellent soldat, mais quand il eut découvert qu'il naquit d'une horrible expérience, il ne vécut que pour haïr la Shinra. Finalement... il se mit à haïr tout ce qui put exister en ce monde : la Shinra, et tous ceux qui se sont levés contre lui. La haine de Sephiroth était si forte qu'il essaya de détruire le monde et les gens, qui essayèrent de l'arrêter.

Il y eu tellement de batailles, tant de tristesse de ces batailles infinies... Celle que nous aimions devint une partie de la Rivière de Vie. Ce jour-ci, la puissance du monde lui même arrêta toutes les batailles, en utilisant la Rivière de Vie comme une arme. La Rivière de Vie, jaillissant du monde entier prenant batailles, ambitions, tristesse... Prenant tout et s'en nourrissant. En échange de cette tristesse, tout a été arrêté.
Ces choses se sont toutes produites il y a deux ans maintenant... mais le monde semble avoir été beaucoup plus touché que n'importe qui aurait pu l'imaginer. Le syndrome de Geostigma s'est répandu sur la planète...


Voila sinon j'ai bien aimer pirates des caraibes^^

Aaaaaaaaaa!!!!!!!!!!!! FINAL FANTASY ADVENT CHILDREN!!!!!!!!!!!!!!! un film qui me met dans tous mes états! rien de prononcé le titre j'en ai des frissons!!! et la musique remasterisée par Ubuo Uematsu!!!!!!!! la version rock du theme de Jenova et et de Sephiroth!!!!!!!!! que d'émotions.....

Breïna Elatha, c'est simple tout les films que tu as sité je les ai, sauf les harry potter ( je peux pas les voirs xd) et les dessins animé de de Myasaki ( connais pas ^^)
EN plus je pense pas qu'il y ai besoin de fiche. (celui qui les connais pas qu'il me parle pas. ^^ )

NE culte il y a aussi Hook et breavheart. Je ferais une fiche quand j'aurais le temps. ^^

moi je suis d'accord avec toi breina, star wars ... un culte ...
depuis toute petite je regardait ces film, avec dark vador, et notre chubacca nationnale, toujours très philosophe, malgré la barrière de la langue ...

Star Wars( les 6 )
Team america, world police
A very long engagement
Blade( toute la trilogie )
Tout ce qui vient de Marvel comics, excepté le film de Hulk....

Bien d'autres mais ils ne me viennent simplement pas à l'esprit....

le parrain
le seigneur des anneaux
la matrice
monde infernale

Pulp Fiction (mentionné en haut )
le Seigneur des Anneaux (qui ne connait pas?)
Star wars (Qui ne connait pas bis)
Fight Club.(TRES compliqué à expliquer, je repasserais plus tard^^)
Le cercle des poetes disparus (Magnifique aussi)
Et au milieu coule une riviere (un des meilleus de Brad Pitt, magnifique film à vous faire chialer)
Il était une fois en amérique (Un peu hard mais tres beau)

Mon film préféré: SEX INTENTION!!!!!
Petite fiche:

"Sexe Intention" est une adaptation moderne du roman "Les liaisons dangereuses". Ce n'est pas exactement la même histoire, en raison du changement d'époque, mais c'est quand même assez fidèle. c'est mon film préféré, et je vous le conseille fortement, mais évitez de le regarder en famille, ou si vous êtes un peu jeune...

Histoire: Katerine de Merteuil et son demi-frère (par alliance), le vicomte de Valmont (Sébastien), vivent tous deux dans le vice. Sébastien aime coucher avec des jeunes filles de bonnes famille pour les déshonorer ensuite (ex: en mettant des photos d'elles nues sur le net, ou simplement en racontant à tout le onde qu'elle ne sont plus vierges...), et a une assez mauvaise réputation, alors que Katerine a une très bonne réputation, bien qu'elle prenne de la drogue et un malin plaisir à voir les autres filles déshonorées par son frère. D'aileurs, i arrive régulièrement qu'ils collaborent, bien que personne ne soit au courant.
Alors que Katerine s'est faite repoussée par un homme, qui s'est ensuite mis avec une autre fille un peu simple d'esprit, Valmont se met en tête de séduire puis de dépuceller une jeune fille de bonne famille, pronant la chastetée jusqu'au mariage. Katerine et Sébastien décident d'ouvrir un pari: Si Sébastien arrive à dépuceller le jeune vertueuse (Anette) avant la rentrée scolaire, Katerine s'offrira à lui, mais s'il échoue, il devra lui céder son cabriolet flambant neuf. Parallèlement, Sébastien travaille à l'éducation sexuelle de la petite amie de l'homme qui avait repoussé Katerine (Cécile Vollange), à la demande de cette dernière, qui fait semblant de se lier d'amitié avec Cécile pour faciliter la tache de Sébastien.
Mais problème: Sébastien se laisse prendre à son propre piège, et se laisse peut à peut séduire par la belle Anette...

Acteurs: Sarah Michelle Gellar (Katerine de Merteuil), Ryan Phillippe (le Vicomte de Valmont, Sébastien), Reese Witherspoon (Annette)

Affiche française:

Au milieu, Sébastien, à sa droite Katerine de Merteuil et sa gauche Anette.

Mes films coup de coeur :

- les Stars Wars bien entendu !
- Forest Gump
- et Pirates des Caraïbes ! (vivement le prochain !!!!)

J'a ibien aimé Fight club
Le seigneur des annaux
Star Wars
Et j'ai adoré....Charlie et la chocolaterie!

J'ai adoré Charlie et la chocolaterie.

Un film qui déglinde et qui montre la personalité des gens face à une situation de survie : Battle royal !!!!

Matt Tenbatsu a écrit:

Un film qui déglinde et qui montre la personalité des gens face à une situation de survie : Battle royal !!!!

Un film sympathique mais, je te conseille de lire le manga qui retranscrit beaucoup mieux cette personnalité dont tu fais mention. Quand à l'oeuvre original, bien que ne l'ayant pas lue, je peux te dire que les personnages sont moins bien exploités que dans le manga. Donc, je pense que le mieux reste malgré tout le manga (celui en quinze tome, pas le navet en deux tomes appelé blitz royal).

pour répondre à la fan de sex intentions, c'est le père d'une de mes amies qui a co écrit le scénario

L’Écosse nous évoque aujourd’hui une image de carte postale : des châteaux hantés, des lacs magiques, des paysages embrumés. Mais on oublie qu'elle est aussi un pays à l’histoire cruelle. Constamment menacée dans son indépendance par sa grande sœur l’Angleterre, elle a lutté durant de nombreux siècle. C’est justement le point culminant de cette lutte que Mel Gibson a entrepris de nous raconter.

L’histoire se déroule à la fin du XIIIe siècle, dans les années 1280. William Wallace est un petit paysan qui garde un souvenir traumatisé de sa jeunesse : il a vu des paquets de nobles et d’enfants écossais pendus dans une grange et son père est parti à la guerre et n’en a pas réchappé. Bien décidé à vivre sa vie tranquillement, à l’écart des troubles qui agitent les Écossais, Wallace sera brutalement ramené à la réalité. L’Angleterre est alors gouvernée par Édouard le Cruel (tout est dit) qui veut mettre l’Écosse en coupe réglée et la vider de ses habitants. La femme de Wallace subira un sort atroce par l’un des sbires que Édouard a lâchés. Ecœuré par ce meurtre, par tous ceux qui ont précédé, Wallace devient le fer de lance de la lutte des Écossais contre l’oppresseur anglais.

Pour ce film, Mel Gibson s’est retrouvé devant et derrière la caméra, ce qui une performance qu’il faut saluer car cela représente une masse de travail énorme. Il a bénéficié de moyens conséquents pour mettre en scène les batailles qui émaillent le film. Celles ci sont d’une ampleur rarement vue. Elles sont surtout d’une âpreté jamais vue : Mel Gibson a réellement voulu montrer les batailles à l’arme blanche telles qu’elles pouvaient se dérouler à l’époque et le spectacle est particulièrement sanglant. C’est ce parti pris de réalisme qui, s’il a le mérite de plonger et de faire ressentir au spectateur la dureté de la lutte, nuit au sens de l’épique.

Un petit mot sur les acteurs : Patrick Mc Goohan (rappelez vous "le Prisonnier") qu’on a trop rarement vu au cinéma, apporte sa silhouette inquiétante au personnage du roi Édouard. Sophie Marceau incarne par son charme et sa beauté la princesse française épouse de son fils.

Enfin signalons la belle partition musicale de James Horner.

Pour l’anecdote, les Écossais gagneront leur liberté par la victoire de Bannockburn en 1314.

source : http://tobefred.zoy.org/fiche/film/braveheart

[a]Résumé :
San Francisco, de nos jours. Louis, un vampire, raconte à Malloy, un journaliste incrédule, le récit de sa vie, de sa mort, de sa résurrection. Son pacte avec le vampire Lestat, son initiation, l'ivresse du sang, sa soif d'amour et de pouvoir, ses combats, il décrit tout à un interviewer subjugue qui sombre à son tour dans cet enfer...

[b]Résumé :
A San Francisco Malloy, un journaliste incrédule, recueille les confidences d’un homme mystérieux, Louis, qui affirme être un vampire. Plusieurs heures durant, il va écouter le récit incroyable de sa vie : son pacte avec le vampire Lestat, son initiation, ses premières extases, l’ivresse du sang puis ses doutes, ses déchirements, sa quête illusoire de la fraternité, ses affrontements avec la secte du Théâtre des Vampires et l’incurable solitude qui l’accompagne depuis des siècle.

Casting :

Tom Cruise [Mission Impossible I, II, et III] : Lestat
Brad Pitt [Troie, Ocean's Eleven, Ocean's Twelve, Mr & Mrs Smith ] : Louis
Antonio Banderas [Le Masque de Zorro, Le Mexicain, Spy Kids ] : Armand
Stephen Rea [...] : Santiago
Christian Slater [...] : Daniel Malloy
Kristen Dunst [Spiderman I et II ]: Claudia

Bande-Annonce (VO sans Sous-Titres) :

http://videodetective.com/home.asp?PublishedID=5472
Cliquez sur ~> Preview INTERVIEW WITH THE VAMPIRE (1994)
Pour accedez au lecteur et à la bande-annonce.

Y en a d'autres que je risque d'ajouter, mais là il est un peu tard et j'ai pas envie de commencer sur un autre film..

Entretien avec un vampire est un exellent film ( c'est un adaptation d'un des livres de anne rice. )

Sinon voila encore une fiche sur un film : ).

Equilibrium :



LE FILM
Libria, cité futuriste, monochrome et austère, abrite les survivants de la troisième guerre mondiale, désormais gouvernés par un "Père" à l'omnisciente sagesse et dont les enseignements prônent l'annihilation de toute émotion, source de chaos et de destruction. Grâce à la découverte du sérum Prozium, annihilateur de sentiments, une paix relative semble régner sur le monde alors que ses habitants, machines obéissantes, vaquent à leurs travaux quotidiens avant de s'en retourner à leur domicile attitré, appartement dépouillé et impersonnel, en tout point identique à celui de leurs voisins. Ce nouvel ordre du monde, bien qu'infaillible en apparence, repose toutefois sur un piédestal relativement fragile, à savoir la nature humaine, tantôt conciliante, tantôt insubordonnée, à l'image de ces rebelles "transgresseurs", accusés de ressentir et donc, condamnés à la peine capitale.


LA LOI, C'EST MOI

D'entrée de jeu, cet avenir plausible apparaît impitoyable, tandis que les Ecclésiastes, une élite de combattants anti-transgresseurs formée au gun-kata, redoutable technique de combat à main armée, exécute les sanctions sans merci avant d'incinérer les pièces à conviction tels qu'objets d'art et autres reliques musicales ou littéraires, susceptibles de susciter une quelconque émotion. Parmi ces chevaliers aux tuniques noires et au regard froid, John Preston (Christian Bale), impitoyable défendeur de la Loi à la foi inébranlable, que le sourire de la Joconde ne saura charmer. Persuadé du bien-fondé de sa mission, il s'acquitte pieusement de ses tâches meurtrières avec une mortelle précision, et le cadre de ces exécutions sommaires ressemble bientôt à un sanctuaire feutré aux odeurs de catacombes et aux vitraux de fortune, petits orifices de lumière poussiéreuse témoignant d'une hérésie enfin tue. Le parallèle avec la religion, une constante du film, est accentué de façon visuelle mais aussi sonore, grâce à des chants aux intonations sacrées qui se mêlent aux coups de feu et aux cris des martyrs de la liberté.


Suivant cette brusque - mais efficace - entrée en matière, on n'est donc pas surpris de retrouver la croix des croisés comme symbole de l'ordre de Tetragrammaton, dont l'influence sur la population ressemble étrangement à une forme de christianisme moyenâgeuse en son totalitarisme hypertrophié et son implacabilité. Les Ecclésiastes ne sont autres que des moines guerriers, investis de pouvoirs conférés par le "Père" (allusion évidente au Saint Père), en chasse aux transgresseurs (à défaut de sorcières). La vie monacale des Ecclésiastes est également illustrée dans tout son ascétisme, sans que leur soit accordé aucun plaisir ni dans le sommeil, ni dans la nutrition (à aucun moment ne voit-on quiconque s'alimenter). Seuls les entraînements physiques aux arts martiaux sont conduits selon les règles d'un art venu d'Asie, où l'on retrouve la souplesse du Tai Chi Chuan, le bruit sec du Jo (sabre de bois utilisé en Aïkido) et la magnificence du costume des Samouraïs.


Au delà de l'action, dont les scènes aux chorégraphies impressionnantes préservent le divertissement, le film reste avant tout un voyage intérieur, une quête initiatique, celle d'un homme à la recherche d'un air qu'il n'a jamais respiré et qui le fera vivre enfin. Pour Preston, la progression vers la découverte de ses cinq sens se fait progressivement, en commençant par le toucher, lorsqu'il ôte ses gants de cuir, qu'il effleure le mur et qu'il "sent" la lumière. Peu après, lorsque les premières mesures d'une symphonie de Beethoven résonnent pour la première fois au creux de ses oreilles, l'émotion de cette nouveauté auditive le submerge. Puis vient le tour de ses yeux, de voir enfin une aube se lever, vision qui, jusqu'à présent, lui avait été cachée. Enfin se fait la découverte de l'odorat, suite à la subtilisation d'une bouteille de parfum et d'un ruban rouge. Et on imagine que ses larmes ont réveillé en lui le goût atrophié.

source : http://www.filmdeculte.com/video/video.php?id=117


Avis personnel

Ce film ma mit un claque, tout comme Fahrenheit 451, il montre à quel point l'art et les sentiments sont important, que sans eux tout le monde serait identique. Je ne sais comment décrire ce que fait resentire le film, surtout que nous sommes pas passé loin d'un monde comme celui d'écrit dans le film avec le nazisime. Je conseil vivement ce film.

Voici mon coup de coeur. Et aussi la raison du nom de mon chat (Akasha)



Résumé: En quête de popularité, le vampire Lestat s'initie à la musique rock et devient le chanteur d'un groupe underground. La raison de son succès : son allure et ses manières de vampire. Nuit après nuit, des groupies se pressent dans sa somptueuse demeure, lui fournissant en abondance le sang frais nécessaire à sa survie.
Au cours de sa fulgurante ascension, Lestat fait la rencontre de Jesse Reeves, une étudiante anglaise, nièce de la vampire Maharet. Fragile, désorientée, la jeune fille s'offre à Lestat et demande à être initiée par lui. Mais pour la première fois, celui-ci se refuse à profiter d'une innocente.
En rompant avec la traditionnelle discrétion des vampires, Lestat s'attire la haine de Marius, son ancien maître, et réveille la soif de pouvoir de la reine Akasha, qui décide d'en faire son compagnon.

Date de sortie : 19 Juin 2002
Réalisé par Michael Rymer
Avec Stuart Townsend, Aaliyah, Marguerite Moreau
Film américain.
Genre : Fantastique, Epouvante-horreur
Durée : 1h 41min.
Année de production : 2000
Interdit aux moins de 12 ans
Titre original : Queen of the Damned

Merci a Allociné, pour les infos

Les adaptation d'anne rice on l'air d'avoir du succé, vu que la reine des damnés est aussi une adaptation d'un de ses livres. Par contre ça doit fiare bisare de voir entretien avec un vampire puis la reine des damnés vu que c'est apparement pas le même acteur qui incarne lestat dans les deux.