Ecailles et ailes troqués contre une apparence humaine.

La pleine lune éclairait généreusement la terre légérement humide. Les ailes gonflées par un courant d'air chaud, la dragonne volait paisiblement, profitant de ces derniers instants sous cette forme. Ces écailles noires la camouflaient à merveille dans l'heure la plus sombre de la nuit, celle qui précède l'aube. Quelques battements plus loin, une ville s'étendait à ces pieds, enfin façon de parler, vu qu'elle avaient des pattes munis de charmantes griffes argentés. Elle se posa un peu à l'écart, caché dans un sous-bois.

*La fin du voyage... je vais regretter de ne pas pouvoir voler*

A son attérissage, elle avait déraciné un ou deux arbres, et délogé une famille d'écureuils. Elle tourna sur elle-même, creusa un peu la terre, et se coucha en boule, un baleau entre les pattes. Elle s'endormit rapidement.

La nuit passa lentement mais bientôt c'est un soleil rayonnant qui réveilla la dragonne. Euh? La dragonne avait disparu mais à sa place se leva une jeune fille complétement nue. Elle déballa le baleau et en sortit une tunique noire aux brodures argentées. Elle l'enfila rapidement avant de se mettre en marche vers la cité.

Une fois arrivée devant la porte, elle s'arrêta et la contempla un long moment. Quatre symboles luisaient à la lumière du matin. Elle posa sa min sur celui qui représentait une goutte d'eau. La porte s'effaça pour dévoiler la ville à la jeune fille. Elle entra d'un pas tranquille. Elle ne s'émerveilla pas devant la beauté de la cité, les trucs des bipèdes étaient bizarres, mais se demanda comment elle allait faire pour s'y retrouver avec toues ces ruelles.

Elle resta plantée là et ne remaque qu'à moitié que la porte se refermait

Il avait marché pendant des jours sur les conseil du conteur pour en arriver la. Il observait l'immense porte dans la fraicheur matinale. Il apreciait les jeux de la lumiere matinale sur les symbole. Tout a ca contemplation il faillit ne pas remarquer une jeune fille qui approchait de la porte. Il observa ses gestes et se decica a entrer dans la cité.
Aprés avoir posé sa main sur le symbole de l'arbre la porte s'ouvrit et il reconnu la jeune fillle qu'il avait vu tout a l'heure mais il vit surtout la foule. Il sentit une peur insidieuse se faufiler en lui. Il lui fallait de l'action. Il marcha vers la jeune fille et l'aborda poliment.

"Bonjour jeune fille je cherche l'école d'£lament car je suis un peu perdu. Si vous pouviez m'y conduire en évitant la foule j'en serais ravi. Au fait je m'apelle Erïn."

Le jeune elfe de la lune essayait de rester calme en respirant profondement.

La jeune fille se retourna quand le jeune homme l'interpella. Son regard un brin curieux examina attentivement cet être comme elle examinerai une espèce nouvelle. Un sourire carnassier s'arrêta quelques instants sur ses lèvres. Le bipède n'avait pas l'air d'être très à l'aise. Elle sentait la peur émanée de lui. Il était toujours bon qu'une proie ait peur, cela facilite la chasse. Elle se rendit compte à quoi elle pensait, et se sermonna mentalement.

*Tu n'es plus une dragonne, tu ne dois pas te comporter en dragonne! Comporte-toi comme... un bipède.*

Alors, pour montrer sa bonne foie, son sourire s'élargit et devint plus chaleureux.

- Bonjour monsieur. Je viens moi-même d'arriver dans cette ville et ignore tout de ces ruelles. Mais si vous voulez emprunter le chemin le plus court, en évitant la foule, le meilleur moyen serait de v...vous...aider à escalder les façades et rejoindre le collège par les toits.

Ha, la gaffe. Par reflexe, elle avait failli lui conseiller de voler par-dessus la foule. Coeur, tu n'es plus une dragonne!

- Mais cela est risqué. Il vaudrait mieux que nous empruntions tout deux ces ruelles à l'allure charmante.

Elle parlait lentement. Normale, puisqu'elle réfléchissait à deux fois avant de prononcer un mot. Elle était épuisée et se demandait si elle arriverait à tenir le coup dans cette ville.

Il observa le sourire carnassier. Et l'écouta parler et annoncer qu' elle était nouvelle.
*Elle parle trop lentement pour étre sincére! Non je me fais des idée.*
Il observa la jeune fille et un éclair de mafiance passa dans ses yeux.
Il observa une des ruelles et nota au moins 5 croisements.
*Bon le mieux c'est de demander a quelqu'un.*
Il regarda la foule avec animosité. Et interpella un habitant de la cité.
"Bonjour je cherche l'école d'£lament pouvez vous m'indiquez par ou passez"
"C'est le grand batiment qui domine la ville."
Il se tourna vers Coeur en disant.
"Au fait je ne connais méme pas votre nom? Vous plairai t'il de m'acompagner?"
Il attendit sa reponse toujours mal a l'aise a cause de la foule.

- Je m'appelle... Coeur-de-Lune

Mouais. Pas une nom très bipède ça mais elle n'avait pas eu le temps de trouver un autre, ne pensant pas être interrogé sur ce sujet avant un moment. Elle songeait avec amertume qu'elel n'avait non plus pas de nom de famille comme c'en était courant chez les bipèdes.

- Et vous? Comment vous appelez-vous?

Elle regarda un moment les ruelles, et le batiment qui surplombait la ville. Ils deviaent y avoir plus d'une centaine de rue dans cette ville, et qui ne menaient pas forcément au collège. Peu importq, vu qu'elle ne voulait pas aller jusque là. Elle fit quelques pas, s'effraya de ne pas sentir le sol sous ses pattes avant de se rappeler une fois encore qu'elle avait une apparence humanoïde. Elle utilisait vraiment très peu cette forme et avait beaucoup de peine à se souvenir à quoi elle ressemblait.

- Je n'irais peut-être pas jusqu'au collège, mais veut bien vous accompagner un bout.

Le soleil était à présent haut et lumineux. Les quelques gouttes de rosés avaient disparu et une douce chaleur avait envahie la cité. Coeur-de-Lune leva son regard couleur de pluie vers le ciel, enviant l'espace d'un instant, ses ailes. Sentir les rayons du soleil joués avec les refets de ces écailles était un sensation unique et fort agréable. Mais voilà, elle devait se contenter de cette peau blanche, à tout point vulnérable.

Il sentit la douce chaleur sur sa peau et sourit legerement.

"Je m'apelle Erïn. Puis je vous tutoyer?"

Tout en disant cela il s'était mis en marche vers une des ruelles. Quand ils y entrérent une difference de temperature se fit sentir il faisait frais presque froid. La ruelle était sombre et les pavé humide et glissant.
Il se sentit beaucoup mieux le froids ne l'incomoder pas et le fait de ne plus voir la foule le rendez plus sur de lui. Une forte odeur se degage de la ruelle pas desagreable une odeur de lessive de cuisine et d'autre chose une odeur de vie. il changat sa position il était a l'aise. pendant que la lumiere jouait sur l'humidité des murs.
Il se taisait en écoutant les bruits de la vie autour de lui les enfants qui jouait, les chiens qui aboyait, etc..

"J'aime beaucoup ces petite ruelle elle deborde de vie"
*Elle est un peu étrange*

Coeur, le nombre de ligne minimal pour un post est de dix. En plus, je dis bien minimal, au vu de ta fiche, je suis sûr que tu peux faire bien plus.

[dsl pour ce manque de lignes. C'est modifié]
[pour éviter mes répétions "bipèdes", je dirais également humain. Humain regroupant tout ce qui a une forme humanoïde]

*Tutoyer? c'est quoi ça tutoyer?*

Certains mots ou concepts n'existaient pas chez les Drakans. Elle ne connaissait donc pas le tutoiement. Surprise, elle était restée immobile, à essayer de comprendre ce que le dénommé Erïn avait dit. Puis remarquant qu'il avait déjà quelques mètres d'avance sur elle, elle le ratrappa en quelques longues et rapides enjambées.

- Bien sûre, vous pouvez me tutoyer.

Le tutoiement semblait important chez les humains. Elle accepta essentielement pour ne pas paraître encore plus bizarre qu'elle ne l'était.

Ces bottes claquaient sur les pavés des ruelles, bien que personne ne semblait l'entendre. Normale, avec tout ces bruits, ces rires d'enfants... Elle arrêta son regard sur ces petits bipèdes. Ils étaient peut-être différents des siens mais ils avaient le même rire. Son esprit parti un instant très loin, survola l'océan, dépassa les montagnes, glissa sur la cime des forêts et elle revit son frère, Griffe-du-Soleil, ce petit dragon doré au même regard, si espiègle et toujours prompt au rire. Le même rire que ces enfants d'humains. Le rire est l'un des rares points communs entre les différentes races. Elle faillit verser une larme, presque, mais se maîtrisa. Elle avait laissé Griffe pour qu'il vive, mieux valait l'oublier.

Avec un temps de retard, elle se rendit compte qu'Erïn avait parlé.

- Oui, vous avez raison. Ces rues respirent la vie et c'en est fort agréable.

Son attitude changea lentement de detne du il se crispa lentement. Son entrainement prenez le pas doucement sur lui. Ses mouvement se firent plus fluide et ses pas l'enmener vers des positions qui lui donné un avantage defensif.

*calme toi ce n'est qu'une impression*
*Elle est juste pensive*

Il se detendit un peu, Et il l'observa sous toute les coutures. Elle était belle incontestablement et il commenca a sentir son coeur s'embellé.

*Comme si je n'avais que sa a faire*
"Quel age as tu?"

Il tourna a droite vers les haut batiment de l'école et observa la nouvelle ruelle celle ci était franchement sombre et elle sentait la mort et la desolation. Curieusement il se sentai bien dans un lieu comme celui ci. Il se detendit encore en attente de la remponse de Coeur.

Elle trébucha, suprise par la question. Quoi? quel âge, elle avait?

- Euh... je...

Elle n'arrivait qu'à bégayer, pathétiquement.

*Deux secondes! Les elfes peuvent avoir quel âge? et les humains? Non, les humains ne peuvent pas entrer dans la cité. Et les autres? A quoi correspond mon âge ici?*

Elle respira à fonds, essayant de se calmer. Ce n'était pas la fin du monde et elle allait bien s'en tirer, non? Comme toujours. Finalement, un sourire mystérieux et une étincelle énigmatique au fonds des yeux s'emparèrent de son visage quand elle répondit.

- Ce n'est pas le genre de question que l'on pose à une jeune fille.

Voilà. Une réponse douteuse et très vague. Son regard fut accroché par les hauts bâtiments de l'école. Elle s'arrêta et les contempla, cette fois-ci admirative. Mettre tant d'énergie dans un lieu de savoir était si rare chez les bipèdes. Habituellement, ils se contentaient de détruire tout ce qui se trouvait sur leur chemin, mais ça, c'était il y a 300 ans... peut-être ont-ils changé?

Elle s'éclaircit la gorgre avant de reprendre.

- Je n'irai pas plus loin, messire Erïn. Ma place n'est pas dans le collège. J'imagine que vous êtes un nouvel élève? Dans ce cas, nous nous reverrons bien une fois ou l'autre, je vais habiter dans la cité.

Il l'observait en coin c'était un test. Et aparament elle n'était pas ce quelle voulait paraitre mais qu'importe.

*mon impression se confirme*

"Je vous remercie pour cette charmante visite Coeur"
*mais n'eyait pas peur de ce que vous étes £lament est une cité ou l'on ne s'étonne de rien. je sais que vous cachez quelque chose si vous voulez continuer a le cacher soyer plus discrete.*

"Au revoir."

Il se mit en mémoire trait pour trait le visage et le corps de la jeune fille.

*Du mystere voila qui ne fait rien pour reffrener mon sentiment pour elle*
Ne se perdant pas dans les analyse sentimentale il prit la direction du college par le chemin le plus court. Coeur de Lune l'avait troublé au plus profonds de lui méme. Il l'as revit mentalement pour étre sur de ne pas l'oublier. Il se retrouva dans une longue ruelle qui menait a la porte d'entrée de l'école qui malheuresement se trouver en plein millieu d'une grande foule. Il se mit en route vers la porte laissant derriere les ruelles sombres et la jeune fille.

La dragonne le regarda s'éloigner en fronçant légérement les sourcils. Elle s'en était tirée... mais de peu, trop peu. Il fallait absolument qu'elle observe les bipèdes, afind de copier leurs réactions, les siennes bien trop étranges pour ici. Elle se doutait bien qu'Erïn la soupconnait être autre que ce qu'elle prétendait être. Elle haussa les épaules. Ce n'était pas grave. Une seule personne n'était pas un danger.

-Au revoir, messire Erïn. Au plaisir de vous revoir

Elle tourna le dos au collège ainsi qu'au jeune homme et se ré-engouffra dans le dédale des ruelles. A présent seule, elle réfléchit à sa situation et décida de se rendre dans un endroit avec plus de passants.

Un peu de vent s'engouffra dans le passage étroit, faisant virolter ces cheveux noirs en tout sens. Plusieurs mèches dansèrent devant ses yeux, au plus grand mécontentement de la demosielle. D'un geste vif, elle rassembla ces cheveux, les roula un peu et arrêta de se préoccuper. Deux minutes plus tard, même sénario. Elle s'énerva un peu plus, un peu trop. Heureusement, elle remarqua vite les coups d'oeil étrange que lui jetaient les passants. Elle ne toucha plus ses cheveux. Décidément, être une bipède était vraiment difficile...

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