Laura laissa apparaitre ses ailes blanches remplies de plumes. Elle marcher dans le champs rempli de maisonnettes dans les arbres. L'herbe remontait à chaque pas de la jeune fille. Elle la regardait en laissant ses cheveux partir vers la terre. En ce moment, le vent ne faisait pas voir ni apparaitre. Elle se pencha vers l'herbe, se baissa et la toucha doucement. L'herbe émit un scintillement vert puis elle se releva et continua de marcher tout aussi doucement, ses pieds nus et doux comme l'eau se posaient frénétivement sur l'herbe. Tout d'un coup, elle vit une jolie maisonnette en bois (comme les autres d'ailleurs) mais qui l'inspirait. Elle sauta d'un large bond vers une branche en s'accrochant au tronc mais la branche ne craqua pas et ne la fit pas tomber. Elle enleva ses bras, les mit en l'air comme une équilibriste. Elle sauta encore et encore, quelque fois en fermant les yeux quand elle était reposée sur une branche. Elle resentit cette impression d'équilibre malgré le vide. Elle sauta à la porte, ouvrit ses yeux bleux vides et toqua doucement à la porte et laissa sa voix mélodieuse prononcer un salut joyeux.

L'ange vertue, aimant le bonheur des autres ouvra doucement la porte peu colorée et découvrit à l'intérieur en avançant doucement en baissant la tête pour entrer une chambre grandiose, complétement naturelle devant elle. Tout comme à la cité, elle fut émerveillée et cru que des étincelles vertes étaient apparues autour d'elle. Elle regarda la jeune fille devant elle et souria gentiment et innocentement et dit d'un ton doux en caressant une feuille qui avait réussi à résister à l'intru=maisonette:

"Je cherchais une chambre vide mais avoir une colocataire était une meilleure idée alors je peux...?"

Elle disait ses quelques mots en montrant un lit douillet non utilisé dans un petit coin, près d'une fenêtre ensolleillée.

Laura qui était très peu timide regarda le lit. Le vertige, elle aimait! Elle remercia la jolie dryade qu'elle ne connaissait qu'à peine et qui ne connaissait pas son prénom. Elle fit apparaitre un petit gilet naturel et mit ses couvertures en place sur son lit. Elle s'allongea dessus, laissant ses ailes argentées de plumes posaient sur les couvertures. Elle regarda dehors, une prairie sans fin, un rêve...Elle se retourna et répondit à Elanor:

"Enchantée Elanor! Moi je m'appelle Laura, Laura Angel, ange vertue!"

Elle lui souria puis ferma les yeux.

Laura entendu Elanor à moitié et aquiesça d'un signe de tête peu convaincant. Elle prit le rideau de dentelle blanche avec ses fins doigs, le retroussa un petit peu et regerda un peu mieux la longue étendue d'herbe, de fleurs: la prairie. Elanor était rentrée dans la salle de bain de même matière que la cabane. Elle ne savait par où passait l'eau, ce qui la tracassait. Laura se leva, descendit en sautant du lit et marcha vers la salle de bain. Elle examina tous les cotés et vu une liane fine et longue partir dans la terre en s'enroulant autour de l'arbre. Comme sa copine n'avait pas d'affaire , elle lui proposa amicalement:

"Ca te dit de faire les magasins avec moi? Je n'ai rien moi non plus! Aller! Ne te fais pas prier!"

Laura avait rejoind la dryade dans la salle de bain. Comme Elanor n'avait pas trouvé de solution à propos de la baignoire, elle se posta contre le mur et observa l'ange chercher à sa place. Suivant son regard, Elanor fit plus attention à cette liane que regardait Laura.

"ha oui je n'y avais pas pensé... ça doit être ça."

Citation :

"Ca te dit de faire les magasins avec moi? Je n'ai rien moi non plus!"

Elanor toujours appuyée contre le mur regarda l'ange d'une façon perplexe.

"Euh..."

Citation :

Aller! Ne te fais pas prier!

"mmm... Je veux bien mais... il faut que je te dise, je n'ai jamais mis les pieds dans un ... magasin, comme tu l'appelles... Je sais juste vaguement que ce sont des maisons dans lesquels on vend des choses, je l'ai entendu par les gens de la cité mais c'est tout."

En lui révélant cela, Elanor pris un air gêné. Elle ne savait pas si l'ange allait plutôt se moquer d'elle et lui rire au nez, ou bien la comprendre.

"J'ai passé toute ma vie à l'état sauvage avant mon amnésie, et c'est un ami Aqua qui m'a appri à parler le langage des hommes. Alors... je veux bien aller en ville avec toi, mais euh... disons que je ne suis pas très rassurée. Et puis comment allons nous payer??"

Cela faisait maintenant presque trois heures que Laurencius tournait dans la citée et manifestement il s'était perdu:

"Oh mon Dieu,je n'ai pas de sens de l'orientation,comment je vais trouver trouver la cabane que m'a indiquer Elanore !"

Se dit'il.Il continuait à marcher lorsqu'il arriva dans une sorte de clairiere,des cabanes accrochées dans d'immenses arbres se trouvait ici:
C'est là !

s'exclama Laurencius,heureux d'être tombé par inadvertance au bon endroit.
Il se mit alors à chercher la cabane de son amie,arrivé devant ce qui semblait être la demeure d'Elanor,il frappa à la porte:

"Que j'ai hâte de pouvoir avoir un chez moi !"

se dit'il,cela faisait longtemps qu'il imaginait ce moment,un endroit où enfin quelqu'un l'aimerait.
En pensant à cela,Laurencius poussa la porte de la cabane,celle-ci grinça affreusement:

"Bravo la discrétion Laurencius !"

Il pénétra donc à l'interieur,curieusement,la cabane semblait plus grande que de l'extérieur:

"Un sortilège sans doute"

Laurencius appela:

Il y a quelqu'un,c'est Laurencius,je viens pour la place que vous m'avez si gentillement réservée...