Un jeune homme arriva depuis la forêt qui se dressait devant la grande porte. Il portait une grande cape rouge cachant son visage et d'autres de ses traits physiques sauf pour ses yeux qui brillaient d'un rouge vif. Il avait marché durant deux jours. Exactement ce que sa mère lui avait dit. Il regarda la grande porte. Il la regarda de haut en bas. Il remarqua devant lui des signes: un pour chaque élément. Il déposa sa main sur celui de feu. À sa main on pouvait voir qu'il n'avait que trois doigts. Étrange comme être cet adolescent. La porte commenca à se rouvrir devant ses yeux. C'était assez intelligent comme mécanisme. Un porte qui s'ouvre grâce aux éléments. Il entra finalement. La porte commenca à se fermer derrière lui. Il regarda derrière lui. La porte fut finalement fermée. Il eut un sourire maléfique. Il se retourna et continua un peut son chemin. Il remarqua un banc et alla s'y assoir. Il relaxa. Il aimait bien relaxer. Il regarda autour de lui. Tout le monde le regardait bizzarement.

" Quand on cccccède à la peur du mal, on ressssssent déjà le mal de la peur. Ils ssssssont tant à passsssser là en ce moment. Le propre de la médiocrité est de se croire sssssupérieur. C'est complètement vrai ceci. Comme pour mes amis. De l'intérieur, tout pourris dans leur coeur. Je me fais du tord de ressssster ici, or c'est tout de même mieux que d'être avec tous ces autres maleureux."

"Ccccccccccc'est vrai, çççççççça !"

Une voix féminine et moqueuse se glisse dans les oreilles de l'être vêtu de rouge. Mesquine, une jeune femme, assise un banc plus loin, sur la droite, siffle telle une vipère ces quelques paroles. Son visage affiche un air satisfait de sa blague et son sourire terriblement agaçant est dirigé vers Ceeliard.
Tranquillement posée là, elle s'amuse de l'entrée du nouveau venu et de sa manie à parler tout haut. Sur un calepin posé près d'elle, elle note quelques mots avec vivacité. Puis, elle repose ses pupilles diaboliquement malicieuseuses sur le garçon.
Ses cheveux d'un blond casi blanc encadrent au mouvement du hasard sa petite tête pâle tandis qu'elle s'affiche dans une tenue assez dénudée, provoquante, à demi dévoilée sous sa cape de velours noir...

Ceeliard tourna sa tête vers la jeune femme qui veanit de se poser à côté de lui. Son visage toujours caché par la capuche de la cape, il la regarda un instant et soupira longuement, même très longuement. Elle lui gâchait tout son vilain plaisir à parler seul. Elle était belle certe masi certainement pas belle de l'intérieure.

"La beauté du corps, découronnée de celle de l'âme, n'est qu'un ornement que pour les animaux. La beauté sans la grâccccce attire, mais elle ne sssssait pas retenir ; c'est un appât sssssans hamecccccon. N'esssssait pas de t'amuser, ca ne peut te causer que tord. N'essssssaie pas de m'amener où je m'en mord la langue. Tes mensssssonges n'ont que goût de mangue. Les menteurs ne gagnent qu'une chose, c'est de ne pas être crus, même lorsssssqu'ils disent la vérité. Je peux très bien voir dans tont regard, tu te marres, de me voir. Cesssse tes enfantillages et fait un peut le ménage."

Et voilà que la jeune personne éclate d'un grand rire, franc et spontané. Elle griffonne encore une page sur son carnet, la noircissant sans que l'ont puisse voir son contenu. Son sourire s'évanouit alors qu'elle relève la tête. Avec une certaine autorité dans la voix mais une froideur bien audible, elle répond au jeune garçon :

"Hey, l'inconnu, nous ne parlons pas le même language ! Je ne connais l'espérance, la pureté et la vertu. Laisse-moi tranquille avec tes poèmes verdoyants mais surtout, tais-toi, et fiche la paix au monde avec tes idées d'ange bienveillant. Personne n'y croit à ton utopie !"

Elle rejète une mèche de cheveux en arrière puis permet inconsciement à ses lèvres d'inscrire un léger sourire sur sa bouche.

"Tu penssssses que je parle d'un ange? Mange bien tes mots avant qu'il ne sssssortent en gros. Je ne suis pas un bon adolesssssccccccent même sssssi je ne ment pressssssque jamais. C'est vrai. J'ai fait autres choses bien plus terribles. Je sssssuis sssssûr que même si je te montrait mon visage tu ne ssssssaurais point trop ce que je sssssuis. Je n'ai aucune confianccccce en des persssssonnes comme toi. Confiancccccce et défianccccce sssssont également la ruine des hommes. Je ne crois pas en l'amitié entre toi et moi. Tu auras beau dire ce qui te passssssse par la tête ca ne changera rien au sssssentiment de dégout que je resssssssent pour toi. Tu ne connais rien de la vie. Sutout pas ce que c'est que de se faire rejeter. Je vois bien dans ton jeu. Tu esssssaye de me flatter et ensuite de me laissssser là à pourire comme une vulgaire pomme. Pensssssse y plus d'une fois avant de parler. Ca t'aidera peut être à avoir des remarques beaucoup plus intelligentes. Trois sssssortes de gens disent la vérité : les sssssots, les enfants et les ivrognes."

La jeune femme souria. Il y avait quelque chose de triste et comme une lueur de mépris en le regardant. Non seulement la belle amazone avait une claire idée de son identité pour être habituée à fréquenter toute la foule élamentienne, mais en plus, elle était vexée par ses propos...

Elle ? Ne pas connaître le rejet d'autrui ?

Elle avait passé ces dernières années à se battre contre la haine et l'intolérance des autres vis-à-vis d'elle et de sa différence. Jamais elle n'avais pu trouver un ami en ce lieu aussi pitoyable dans lequel nous nous trouvons tous. A cet instant précis, elle maintient ce sourire trop poli pour être vrai en demandant :

"Quel est ton véritable prénom l'Ananconda ?"

Elle le surnomma instinctivement ainsi, sans plus de réfléxion.

"Pour toi cccccce sera M. Vliaqiumkog. Je ne te diras point mon prénom. Votre raccccce n'est point de confianccccce. Avec le temps et la patienccccce, la feuille du mûrier devient de la sssssoie. Je sssssuis plus comme un aigle. L'aigle vole seul ; ccccce sssssont les corbeaux, les choucas et les étourneaux qui vont en groupe. Je n'ai besoin de persssssonne pour avoir du sssssucccccccès puissssssque les ssssssucccccscès produisent les ssssssucccccccès, comme l'argent produit l'argent. Tu devrais essssssssayer de contrôler ta colère. Vaincre la colère, c'est de triompher d'un plus grand ennemis. N'entretiens pas l'espoir de ccccce qui ne peux pas être essssspéré."

Il la regarda un instant de ses yeux d'un rouge brillant. Il tourna sa tête d'un sens et se décida finalement à ôter sa capuche. Quand le visage de Ceeliard était à présent à l'air l'on pouvait très bien voir ses deux petites cornes sur sa tête. Il avait des yeux exactement comme ceux d'un chat. Il la regarda un instant et lui répondit tout en issant les mot comme il savait si bien le faire.

"Alors je ne sssssuis pas ccccce que tu pensssssais hein!"

"Bien sûr que si, je savais très bien que tu étais un idiot parmis les idiots. Et laid avec ça."

Répond t-elle en haussant significativement les épaules. Elle gribouille encore quelque chose puis se lève. Elle vous adresse une révérence moqueuse, un hochement vulgaire de la tête vers l'avant qui secoue ses cheveux.

"Anaconda..."

Elle pivote sur elle-même partant dans un éclat de rire explosif, elle s'éloigne. Peu lui importe la jeune fille blonde écroulée de fatigue au pied d'un mur dvant laquelle elle s'enfuit...

"Je sssssavais très bien qu'elle n'était pas de cccccconfianccccce. Persssssonne n'est de cccccconfianccccce. La ssssseule raccccce à laquelle je fait confiancccccce cccccc'est bien les demi-orques. Je devrais peut-être lui montrer un peut ce quoi je suis capable. Elle va bien en brûler cette gidoune. Elle ne ssssss'approchera plus jamais de moi. Ce sssssera bien fait pour elle et ssssson calepin."

Ceeliard se leva. Il regarda Amélie. C'était la première personne à l'hair dans cette grande ville. Il lui apprendrait les bonnes manières. Il fera cela un peut plus tard. Il regarda autour de lui sans voir la nymphe qui avait écouté leur conversation. Il remit sa capuche et s'étira grandement craquant bien des os de son corps. Il regarda une dernière fois autour de lui. C'est à ce moment là qu'il remarqua la nymphe par terre. Elle semblait bien épuisée. Il resta là à la regarder un instant. Il ne devrait pas la laisser là à pourrir comme bien des personnes en ont fait de lui mais ca venait tout de même en opposition à son comportement. Que devait-il faire. l'aider et avoir sa reconnaissance à jamais ou bien la laisser là et partir à grand pas? C'était tout de même un peut compliqué. Il la regarda une seconde fois et se dit qu'il ferait tout de même mieux de l'aider. Il s'approcha d'elle et la souleva de ses deux bras pour la tenir comme un enfant en besoin de soins. Sa peau ne la touchait pas. Il la tenait grâce à sa cape qui la couvrait d'une brûlure. Il ne savait trop pas où se trouvait l'école.

"J'aurais peut-être besoin de la direction. Ne te dis pas que je fais cela parccccce que je sssssuis gentil. Dis toi plustôt que ccccc'est pour des raisons persssssonnelles. Je ne sssssais pas trop où l'école ssssse sssssitue."

Kaiko vit un nouveau venu il, n'avait pas l'air a savoir ou aller et elle remarquat surtout que tout le monde le regardait bizarment et, grace a ses oreille de chat, elle avait pu entendre la conversation entre Amélie et le nouveau.Elle détestait que certaine personne pouvait être regeté l'ayant été elle meme étant jeune.Elle se diriga vers Ceeliard et dit:

" Salut!!! vous ete nouveau? "

"Oui un peut mais maintenant je voudrais pouvoir me rendre à l'école. Elle est très faible et elle a besoin de sssssoins. Pourriez vous m'aider à aller à l'infirmerie de l'école. Bien sssssûr s'il y en a une. Je ne fais pas cela de plein grée. Je l'amène car je ne voulais pas la laisssssser là à pourrir."

Il la regarda dessous sa capuche de où on ne pouvait que voir ses yeux brillants comme tout. Il tourna sa tête de côté et la regarda un instant.

"Je ne sssssuis pas normalement gentil comme cccccela. Alors vous m'aiderez même sssssi je ne vous fait pas trop confianccccce? Sssssi vous ne m'aidez pas et bien je trouverais bien mon chemin ssssseul. Je n'ai pas tellement besoin d'aide. Sssssauf bien sssssûr pour me rendre à l'école."

"Croyé moi je ne suis pas gentille moi aussi mais la je ferai un execption."
"Suivez moi si vous le voulez."

Ceeliard la suivit comme s'il était un chien de poche. Il regardait partout pour reconnaitre l'endroit pour s'y retrouver ensuite. C'était vraiment une grande cité. Il n'en voyait plus la fin. C'était comme un grand labyrinthe. Gigantesque et sans fin. Il avait de grands yeux quand ils arrivèrent devant l'école. C'était tellement grand. Il ne pouvait point en croire ses yeux de chat. C'était trop grand. Il n'y avait aucun mot pour décrire la grosseur de cette bâtisse. Il ne pouvait plus rien croire.

"Ccccc'est vraiment iccccci?"

Il passèrent devant et allèrent vers l'infirmerie.

(Prochain infirmerie)

(dans la cité et dans l'infirmerie)