[concours ouvert, les images proposées serviront pour le suivant. Manque de temps et il fallait démarrer]





Voici l'image autour de laquelle vous devrez écrire.
Le concours sera consideré comme ouvert à partir de demain (mais vous pouvez d'ors et déjà poster).
Il restera ouvert environ une semaine et demi. Cette durée est exceptionnelle car il s'agit du premier concours. Il se terminera donc le dimanche 12 mars au soir vers 21h (heure de France).

Thamior
toute les chance sont de mon coté

La harpe d'or

"Approchez, approchez. Mes enfants vous n'avez pas peur de moi n'est pas"

Comme toujours la vielle dame commencait ces veillées ainsi. Je me rapelle la maison une vielle chaumiére, toute en bois et en paille. Chaque soir nous étions une dizaine a venir nous asseoir au prés de son feu. Nous nous asséyions par terre et on l'écoutait bouche bée. Cette dame avait vraiment un don pour raconter et tous les enfants l'appelaient chaleureusement "Grand -mère".

Voici l'une de histoire qu'elle nous a raconter et que j'ai toujours adoré.

"Aujourd'hui les enfants je vais vous compter l'Histoire de la Harpe. Oui celle qui protége notre monde.

Tout commence il y a bien longtemps, bien avant ma naissance. Le monde n'étais pas encore si peuplé. Il n'y avait sur cette terre que les elfes et les dragons. Ces deux peuples vivaient en paix.
Un jours arrivére d'on ne sais où le peuple des nains et celui des fée. Mais aussi plusieurs animaux étonnant comme la licorne ou le phénix.
Les elfes les acceuillirent chaleureusement et tous ce passa bien. Les nains allérent s'installe dans les montagne et les fée dans les prairire et prés des fontaines. Les peuples s'entendaits trés bien, malgré quelque frottement avec les nains.

Mais cette paix ne dura pas longtemps, un jour d'hivers alors que toutes le forêts etais paissible. Un vent qui apportais l'angoisse souffla sur le monde. Les nains, les fée, les elfes, les dragons et toute les autres races connurent la peur et l'angoisse. Une grande réunions eu lieu et un viel elfe appeler Röbîn, parla au nom de tous.

"Aujourd'hui est arrivé le malheur, le pire adversaire de toute vie est arrivé. Il nous vaudra être fort car le combat que nous allons menere et important. Si nous restons uni tous se passera bien."

Quand il eu fini de dire ces quelque mots les fée se levère et coururent se cacher dans les fleurs qui leur servait de maison. Tous les autres restèrent pour ce battres. La réunion venait a peine de finir que réssonna les tambour, ceux ci jouait une musique terrible qui faisait trembler les arbres et la terre.

C'est alors qu'apparurent les monstres, jamais il n'on été nommé autrement que par les monstre. Atroce, pareil que votre pire cauchemard. Il avait des corps de bêtes mais se tenait sur deux pattes. Il étais extrément fort mais pas trés malin.

Les elfes agirent les premiers, leur chant résonna dans la forêts, car c'est ainsi qu'il vont agir leur magie. Plus leur chant sont fort et snynchroniser l'un a l'autre plus leur magie est forte. Il arrivére a arreter un partie de l'attaque masi pas assez. Pendant qu'il continuait a chanter les nains et les autres être pensant attaquere de front. Beaucoup moururent.

Mais la premiére attaque pus être repoussé. Parmis les elfes se trouvait un jeune fille appele Enäween, c'étais l'une des plus puissante chanteusse. Cette jeune fille eu un idée et alla trouver un nain.
Elle le demanda de lui construire un harpe. Pendant tous le temps que le nain la forgea la jeune fille chanta. Passant sa force dans la harpe la rendant magique. A la fin la jeune fille étais épuissée mais il lui restait encore un chose a faire.


Enäween acorda la harpe et se mits a jouer. Se dressa alors un barriére qui empéchera les monstres de passer. La jeune fille sorit et s'evanuis.
La paix revenue , elle décida de partir a l'aventure pour découvrire le monde. C'est alors qu'elle tomba amoureuse d'un mortelle. Elle vécut longtemps heureuse avec lui mais comme tout mortelle celui ci mourut.
Enäween revins alors au village, ou elle avait laisser sa harpe. Elle sorti chaque nuit pour en jouer, et toute les nuit la jeune femme recevait la visite d'un fantôme le fantome de son mari. Ce manége dura pendant 100 ans.

Au bout de 100 ans la jeune fille joua une autre mélodie et le lendemain matin, les villageois retrouvérent un statue. Un couple, assis sur un même pierre et qui semblait trés heureux.
Un inscription se trouvais sur la statue. " La harpe d'or reviendra a son peuple quand celui ci seras en danger"

Et depuis jamais encore la harpe ne sais dépétrifiée"

Les enfant qui pendant que la grand-mère parlait avait retenus leur souffle. Se mirent a l'applaudir et lui demandére encore une histoir. Mais comme chaque soir, celle ci secoua la tête et nous demande de partir. Que j'ai aimer ces moment et que j'aime les moments que je passe aujourd'hui a la place de la grand-mère. Parler devant ces enfants au yeux ébahis est vraiment ce qu'il y a de mieux au monde.


Selene Neewix, Terra

Quand la mort nous sépare…



Une nuit de pleine lune, une silhouette s’avançait parmis les tombes. Ses ailes laissaient filtrer les rayons de la lune, ses longs cheveux noirs se mêlant à l’obscurité régnante dans ce lieu de froid ; dans ce lieu de mort…Elle tenait fermement dans sa main une harpe, des symboles gravés dans le bois lisse. Elle s’avançât lentement, sa robe bleue nuit glissant sur les feuilles d’Automne. Elle arriva devant une tombe, et la simple vue du nom Amarin lui fit perdre toute résolution. Elle s’assit sur une tombe voisine, les yeux embrumés ; et repensa à son passé.
Oarel, car tel était son nom, était une jeune fille de famille respectable. Elle se passionnait pour la harpe et un homme, Amarin, lui embellissait ses journées. Malheureusement, cette liaison était secrète, Amarin étant promis à une autre depuis sa naissance. Un beau jour d’été, alors qu’elle se promenait dans un parc, elle le vit, lui et sa promise. Ils avaient l’air si bien ensemble que cela lui fit mal, mais elle ne dit rien. Après tout, n’était ce pas Amarin qui lui répétait sans cesse qu’il trouverait une échappatoire ? Mais cette nuit la, au bord du lac, il lui dit qu’il aimait la femme qu’il allait épouser, plus que tout autre, et que c’était finit. C’était faux…Il savait bien qu’il ne parviendrais jamais à empêcher le mariage et espérait que ça la ferait moins souffrir d’en finir maintenant. Oarel courut chez elle, et Amarin la suivit, le cœur lourd de la bêtise qu’il venait de commettre. Oarel l’aimait, et ça ne changerais jamais.. Quand il ouvrit la porte de la cuisine, criant son nom, il la vit, son corps frêle baignant dans une mare de sang jaillissant de son poignet, un couteau à ses cotés. Lentement déjà, son esprit s’envolait. Du haut de la pièce, elle vit Amarin serrer son corps inerte dans ses bras. A son tour, il prit le couteau et s’ouvrit les veines, s’allongeant prés d’elle. Il entrelaça les doigts dan les siens et dit « je t’aime »dans un dernier souffle. Elle regretta, le geste qui l’avait éloigné d’elle…Oarel devint un esprit errant, son âme rongée par le remort et la tristesse, conservant parfois un aspect humain ; alors qu’Amarin disparut dans la nuit.
Elle s’éveilla de sa longue rêverie, et se mit à jouer de son instrument, des larmes coulant sur son visage. Par moment, elle sentait sa présence, son souffle dans sa nuque, et retrouvait la paix…

Althys Emphel, Aera de premiere année

Il était une fois dans le royaume de la reine Sémiramis, deux jeunes adolescents qui s’aimaient, Pyrame fils d’un noble politicien grec et Thisbé jeune musicienne fille unique d’un chrétien. Par faute de leur différence de religions les deux familles ce haissèrent et interdirent à leur deux enfants de se revoir et de s’aimer.

Mais peux ton vraiment interdire d’aime ? Pour continuer à se voir le jeune Pyrame à qui l’amour avait rendu ingénieux réussi a trouvée une faille dans le long mur de pierre, une fissure par laquelle ils pouvaient communiquer. Combien de nuit passèrent ils ainsi la bouche et l’oreille fiévreuse collées contre la paroi à chuchoter leur amour et à recueillir les preuves de la passion qu’il ressentait l’un pour l’autre.

Ne pouvant plus supportez cette situation les deux jeunes amants décidèrent un beau jour envers et contre tout de se rencontrer enfin pour seller leur amour, ils décidèrent de ce retrouvée prés du tombeau de Sémiramis, celui qu’elle avait fait bâtir pour son époux qui venait de rendre l’âme. Ils se donnèrent donc rendez-vous lorsque la lune serait pleine.

Quand le grand soir fut venue Thisbé réussi a s’enfuir de chez elle et ce dirigea vers le lieu de son rendez-vous avec son amant qu’elle souhaitait serrer contre son cœur, mais lorsqu’elle arriva au lieu convenue quelle ne fut pas sa déconvenue de constater que le jeune homme n’était pas encore la.

Prennent patience Thisbé s’assit mais les heures passèrent et il n’y avait toujours aucune trace de son amour, une inquiétude commença à l’envahir le lieu de leur rendez vous n’était pas un endroit sur et une heure après que Thisbé soient arrivée, une lionne apparu la gueule tenant encore un morceau de chair dégoulinent de sang d’un bœuf qu’elle venait de tuer, terroriser d’être la prochaine victime de l’animal Thisbé s’enfuit laissant derrière elle son châle blanc.

Quelques minutes après la fuite de Thisbé, Pyrame arriva, quel ne fut pas l’horreur qui s’empara de lui lorsqu’il découvrir le châle de sa bien aimer tacher de sang, imaginent le pire le jeune amant persuadé d’être le responsable de la fin atroce de Thisbé il se donna la mort en maculant de son sang le châle de son amour serrer contre son cœur.

Revenant sur ses pas la jeune femme découvrir le corps de son amant, poussant un hurlement elle s’écroula sur le corps de son amant, ses hurlements attiraient les deux famille, la haine qui les unissaient ne fit que grandir. Thisbé fut gagné par la folie, le jour de l’enterrement de son amant elle prit sa harpe et attendit la nuit.

Sortant de chez elle, Thisbé ce précipita auprès de la tombe de son amant et commença a jouer espèrent qu’il vienne la chercher après avoir jouer trois notes l’esprit de Pyrame apparu en compagnie de centaine d’autre, posant sa tête sur l’épaule de sa maîtresse des larmes de cristal coulèrent le long de ses joues. Le lendemain on retrouva le corps de Pyrame sans vie.

Aujourd’hui encore les nuit de pleine lune ont peu voir la assise sur la pierre tombale de son amant jouant de la harpe, les esprits des morts volent autour d’elle, et sur son épaules la tête de son amant pleurent des larmes de cristal, chantant une chanson d’amour.

Sous une lune particulièrement grosse et argenté, ressemblant à une perle légèrement grisée, et entourée de nuage sombre et bien moulé… D’abord, une brise, froide et lente, comme le chant d’une sirène pour attiré ses proies, mais se soir, ce n’est pas ceci qui nous intéresse, mais plutôt la jolie jeune femme, entouré de reste…

Sur les pierres tombales, la lumière de l’astre lunaires semble ravivé une blancheur longtemps oublié, un sentiment de froideur… mais qu’importe, pour la jeune femme faite de finesse et de tristesse, de son regard, rien ne vaut plus la peine qu’elle ne voit, de son nez, même pas la senteur des fleurs mit devant les tombes ne lui redonne de la chaleur, seul ses doigts et son ouïe, maintenant ses seules outils, la garde en vie.

Chaque nuit, depuis de nombreuse année, sur cette colline oublié, elle vient jouer.
Sa robe bleue qu’elle a mille fois portée, est rendue pour elle qu’une illusion du passé.

Pourquoi temps de souffrance sur ses fins traits? Pourquoi éloigné le silence de ses doigts, alors que personne n’est là pour entendre la mélodie de sa mélancolie?

Pourquoi la seule chose qui la rattache à se lieux maudit, soit la seule personne à qui elle à dit « je t’aime » de toute ça vie?
Qui a-t-il de si terrible dans ses yeux pour qu’elle ne veille plus les levés pour regarder la lune, qui pendant se temps, l’illumine comme ci ça serait sa propre fille?
Qu’est-il arrivé au soleil pour qu’il ne puisse plus se levé? Pour qu’il ne puisse plus commenter la beauté de sa tendre promise?

La réponse est simple… vous la trouverez dans se cimetière, juste à la porter des doigts de la jeune femme, cette Harpe aux allures colossal, aux son ensorcelant, un présent maudit, signé par les runes du mal.

Son bois, à moitié sombre et clair, lui avait tout de suite rappeler la couleur du miel sauvage, ses reflets bleutés lui rappelait ses yeux… les yeux du jeune homme dans son rêve… magnifique comme la couleur du ciel quand le soleil à presque fini de disparaître… d’un bleu si peu commun… un bleu si trompeur.

Mais voilà, il était trop tard, le jeune homme était là, tout près d’elle, encore une fois…

Ses lèvres frémirent, maintenant rouge comme le sang frais, ses cheveux d’un noir de jais venaient se fondre dans ceux du spectre qui l’avait emprisonné, elle qui avant chantait sa beauté, la maudissait à présent…

Ce soir la harpe allait mourir, et en même temps, elle et le jeune homme qui avait sut la conquérir, car se soir, de ses fines mains, elle allait jouait la mélodie de la mort, la harpe allait, pour la première fois, périr par l'ironie du sort…

Le spectre regardait les doigts de la jeune femme faire une mélodie encore inconnue… mais quand il comprit de quoi il s’agissait, qu’il pause sa main sur son épaule pour dire combien il regrettait… son corps commençait déjà à disparaître, il aurait voulut faire quelque chose, mais pas de chance, trop tard semblait-il, la lune n’éclairait put sa silhouette, dommage, il aurait voulu lui dire combien il l’aimait…

A qui ? A qui son destiné cette musique ensorcellante sous ce ciel étoilé ?





Ou ? Ou quoi d'aileur ? Aurais-tu peur de cette solitude qui te glace ?



Alors expliques-toi ? C'est ton chant, cette harpe qui me fait halluciner ?







Dring, Dring. Sonnerie du réveil...






Fin

Du

Rêve

Par une nuit douce…

Les allées d’un cimetière tranquille, où les âmes mortelles reposent entre une végétation florissante et les doux sons de la nature… A peine dérangées par le bruissement d’une étoffe et le son des pas qui foulent la terre… Qui est-ce ? Une jeune femme, gracieuse et séduisante, d’environ vingt-cinq ans… Elle porte entre ses mains une harpe légère, finement ciselée et décorée… Soudainement la jeune femme s’arrête, alerte, avant de s’installer sur une pierre tombale fraîchement poussée… Ses doigts agiles commencent alors à gratter les cordes, créant une mélodie délicieusement douce et mélancolique… Son visage paraît calme, et pensif… A quoi pense-t-elle donc ?

Trois ans plus tôt…

La salle était remplie, et un immense brouhaha y régnait. Tous ici n’attendaient qu’une seule chose : la venue de cette jeune harpiste si talentueuse, qui allait émerveiller leur soirée, avec son seul instrument, qui semblait l’attendre sur scène avec tout autant d’impatience.
Assis à une des tribunes privées, un jeune homme, d’une vingtaine d’années environ, semblait au contraire peu satisfait d’être ici. Fils d’un notable de la région, la raison principale de sa venue ici était qu’il n’avait tout simplement rien d’autre à faire en cette soirée. Il s’était rendu dans ce théâtre sur le conseil d’un ami qui lui avait vanté les talents de la jeune femme. Cependant il regrettait déjà son acte. La harpe était à son avis l’instrument le plus désuet qu’il pouvait exister… Alors en écouter pendant deux heures entières…
Un tonnerre d’applaudissements résonna alors soudainement dans la salle, le sortant de ses pensées moroses. La jeune artiste venait d’entrer sur scène. Et quelle entrée ! Tout simplement sublime dans sa robe de soie bleue, sa longue chevelure brune coiffée en un chignon un peu lâche, elle semblait être un Ange descendu sur Terre… La jeune femme salua la salle d’une profonde révérence, un sourire un peu timide dessiné sur ses lèvres, avant d’aller s’installer à son instrument. Les frêles cordes de la harpe, jusqu’alors muettes, se fondirent en une envoûtante musique quand ses doigts commencèrent à gratter les cordes avec une agilité hors du commun. Et la beauté de la mélodie qui s’en échappait était tout simplement… indescriptible.

Le concert dura deux heures, qui parurent pourtant si courtes… Déjà, la gracieuse silhouette de la musicienne disparaissait derrière les rideaux de velours rouge, après avoir longuement salué le public… Et quant à notre jeune homme ? Ses applaudissements étaient sans doute les plus vigoureux. Ce fut cette soirée qui scella à jamais en lui un sentiment qui s’insinuait lentement dans ses veines…

Un an plus tard…

Il est étonnant de voir comme les choses tournent à notre faveur… Qui se serait douté que d’une simple rencontre dans les coulisses était né une véritable passion ? Pas ces deux jeunes amants en tout cas… Quoiqu’il en soit, en ce beau jour de Juin, le jeune homme et la talentueuse harpiste se promettait un amour éternel, un an jour pour jour cette rencontre qui marqua leur vie… La preuve même en était ce baiser qu’ils s’échangèrent en même temps que les alliances…
En descendant les marches de l’église, elle somptueuse dans sa robe blanche vaporeuse, et lui non moins séduisant, ils semblaient irradier d’un bonheur sans nom… Qui aurait cru que les choses auraient si mal tournées ?

Deux ans plus tard…

Un cri déchirant accompagna ses larmes lorsque la jeune harpiste apprit la mort de son époux. Il avait péri pendant le conflit qui sévissait depuis maintenant plus d’un an. Difficile avait été leur séparation, à peine un an après leur mariage, mais plus encore l’était cette nouvelle affreuse. Submergée par le chagrin, elle se souvint des nombreux moments qu’ils avaient passés ensemble… Comment les choses avaient-elle pu en arriver là ?

Un mois plus tard, par une nuit douce…

Des larmes de cristal coulent sur les joues de la jeune femme, tandis que la douce mélodie s’emplit de tristesse. alors qu'elle continue à jouer, elle sent la présence de son tendre amour, comme s'il était à ses côtés... Peu à peu les sons diminuent, les notes s’effacent, jusqu’à disparaître, en même temps que cette présence s'envole. On n’entend plus que les quelques bruits de la nuit, accompagné par ses sanglots presque inaudibles de la jeune harpiste, qui pleure son amour désormais perdu. Cependant un sourire apparaît sur ses lèvres. Elle vient de terminer le plus beau récital de sa vie… Elle dépose alors un lys blanc sur la tombe nouvelle, avant de reprendre son chemin, sa harpe à la main… Sa silhouette disparaît peu à peu dans la nuit, et le calme complet revient sur le cimetière. Les pétales de la fleur brillent sous les rayons argentés de la lune…


Alycia