Cylia alla tout de suite près du volcan et plongea ses mains fines dans la lave. Elle se sentait déjà mieux, détendue et son chagrin c'était envolé comme si le feu prenait tout ses soucis.
Elle regarda Aïdul dans les yeux, des yeux si bleus ! sans même une parole, elle savait qu'Aïdul avait parfaitement compris ce qu'elle voulait dire.
*Je t'aime !*

"Eh bien si ce n'est de l'amour, ce n'est en tout cas pas de la haine!"

HJ: je suis très poète héhé mdr ^_^

"Tes yeux, j'aimerais me noyer dedans... Tu es si belle, ma princesse!"

Aïdul regardait amoureusement Cylia, sa si belle petite fée.

Cylia se sentit rougir.
Pourtant ce n'était que des paoles et elle l'avait embrasser mais rien à faire, elle rougissait et rougirait toujours.
"Tu m'emmeneras dans ton palais un jour ?"

"Oh, mon palais... Je l'avais oublié, celui-là... Il est beau en apparence, mais plein de commères et de vils hommes. Mais si tu y tiens... Nous pourrons y passer une de ces jours!"

Il sourit.

"Enfin, si je sais où ça se trouve.... Non, je rigole!"

Il se mit à rire. Il s'arrêta un moment pour poser ses lèvres juste sur celles de Cylia.

"Ce contact est si doux..."

"Arrête de ier ça...tu sais bien que je rougis..."
Et elle rougit de nouveau. Mais elle ne détestait pas pour autant ambrasser Aïdul et c'est bien pour cela qu'elle l'embrassa de nouveau. C'était comme lorsqu'elle plongeait ses mains dans le volcan mais en plus doux et tiède.

"Mais tu es si belle, rougissante! C'est ce qui fait tout ton charme..."

*Il faudrait que je pense à ménager mes paroles, elle va croire que je ne suis qu'un beau-parleur...*

"Je ne sais plus trop quoi dire à part que je suis au comble du bonheur. Rien qu'entendre ton soufle remplit mon coeur et me donne des frissons..."

Moi non plus je ne sais plus quoi dire... si je devais vraiment parler je ne dirais que je t'aime !"
Cylia baissa les yeux, elle avait l'impression de se perdre dans ceux d'Aïdul.
"Hum ! tu ne veux pas qu'on retourne danser au bal de Noël !"

"Oh si, ma douce amie! Je te suivrais au bout du monde s'il le faut... Alors, par où allons-nous?"

Aïdul Baisa la main de Cylia et en une révérence, il s'envola à ses côtés...