Au loin on pouvait apercevoir un point blanc dans le ciel bleu, puis le point grossi, jusqu'à ce qu'on puisse distinguer deux ailes, puis un corps qui posa délicatement un pieds au sol. Wind regarda autour de lui, appercevit une forêt, sombre, non chaleureuse où, d'ici, on pouvait appercevoir des bêtes sauvages. Il tourna la tête vers les portes et le petit banc acompagné de fleur, toute petites et magnfiques, arobrant des couleurs vivent tel que le bleu, le blanc et le rose. Le soleil était présent mais il ne faisait pas chaud, l'hivers approchait et on pouvait le voir ce matin car l'herbe avait une fine couche de givre. Wind se tourna vers les portes, il s'en aprocha, les touchant du bout des ses doigts, le bois dur lui rapait délicieusement la peau. Il regarda avec patience et admiration les beaux motifs scultés sur les portes, essayant de percer le mystère de la beauté de cet art. Tout était scuplté avec passion, amour et grâce. Ne voulant pas trop se hater, il alla s'alonger sur le banc, les bras qur le dos du benc, la tête penchée vers l'arrière les pieds joints sur le sol, le soleil lui inondait le visage, il ferma les paupières. Le soleil faisait des reflets cuivrés dans ses cheveux. Il goutait à la volupté du calme et de ne rien avoir à faire pendant dix minutes. Puis conscient qu'il devais rentrer, il se leva, s'approcha des portes, pointa son doigts sur les quatres symboles, laissant que quelques milimètres d'air en son doigts et les symboles.
* Voyons voir...*
Il effleura délicatement la tornade et les portes s'ouvrirent, le laissant rentrer dans la cité. Il marcha calmement, arppentant les rues et ruelles à la rechercher de quelque chose d'inimaginable malgrès a grande imagination. Il s'arreta souvent pour regarder les batiments de briques ou de pierres ou alors pour admirer la beauté d'un par-terre de fleurs. Malgrès tout, il continua lentement sa marche...