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| "Mais qu'est ce qui m'a pris !" [TERMINER] | |
| | Invité | |
| Ven 24 Avr 2009 - 12:35 | |
| "Tu aimeras chaque instant de ton voyage ! Tu parles !!! Marre marre marre ! J'en ai marreuuuh !!"
5 semaines, voila a présent 5 semaines que la jeune Ondine était partit de chez elle. Anémine marchait sans presque jamais s'arrêter si ce n'est pour manger, dormir et oberserver. Son petit baluchon au bout d'un bâton de bois, elle transportait ce qui lui rester d'affaire. En effet en partant de son petit village, les habitants, ainsi que sa mère et ses sœurs lui avaient offert quelques bricole qui avaient été bien utiles dans sa quête. Parmi eux, un petits canif de corail, utile pour couper de petites branches, découper sa nourriture,...; une légère couverture pour se couvrir lorsque la température commence a se rafraichir; Quelques petites choses a grignoter; un petit sifflet au cas ou elle serais en danger. Mais l'objet le plus bizarre qui lui avait été confier fut donner par Emilia, son mentor en quelques sortes... Cet objet, ou plutôt cette chose, était une petite fiole remplie d'une poudre blanche dont la jeune fille ignorait l'utilité. L'on été alors au début et printemps et dans la grande forêt ou marchait Anémine, il y avait tout la végétation qui grandissait. Ce n'est surement pas pour épargner les ronces ! Anémine n'en pouvait plus ! Ses jambes était pleines de petites griffure qui lui picotait et la grattait ! A force de marche, de chute et colère, Anémine tomba sur une sorte de petite clairière. Il ne faisait pas encore tout a fait nuit, et c'est sous le crépuscule que la jeune fille décida de s'arrêter manger. Elle pose son baluchon a terre, défait le nœud, ouvre le bout de tissus et en sort en petite serviette, et les quelques fruits trouver par la et ayant l'air comestible. L'Ondine commença son repas en croquant bien fort dans une gros fruit tout rond et tout rouge. Elle en mangeât 1, 2,3... Puis venue de nul part se pointât un petit Noname qui s'approcha tranquillement de Anémine et volletigeat autour d'elle comme pour lui souhaiter la bienvenue.
"Hey salut toi !"
La jeune fille était enchanté, elle n'avait jamais vu ses petite bestiole et la trouva trés rigolote avec son petit coquillage. Décidément, il y avait de drôle de créature dans le coin ! Au bout de quelques minute a avoir observer le Noname danser et faire le fou autour d'elle Anémine décida qu'il été temps temps de trouver un coin pour dormir car la clairière était très bien mais néanmoins trop ouvert au prédateurs. Elle rengeat ses affaires et repris son chemin. Elle marcha un moment, il faisait a présent bien nuit et les animaux de la forêt commençait a présent a sortir de leurs cachette. Un tas d'animaux inconnue a Anémine, qui vivait dans une tout autre contrée. Quelques chat siamois a 2 tête sautant de branche en branche avec néanmoins un petit temps de réflexion pour savoir quel arbre serais leurs prochain saut, des tas de Touffins courant en tout sens et s'écartant en entendant approcher la jeune fille ainsi que des tas affamé de Brokmïn cherchant sans cesse de la nourriture sans même faire attention a Anémine (sauf lorsque celle ci leurs marche sur la queue bien sure !). Puis tout d'un cou, alors que la jeune fille ne trouvais pas un seul endroit calme pour se poser, elle entendit un bruit derrière elle. Un bruit étrange, comme une sorte de petit rire aigüe qui la suivait...
"Qui... est la ?"
Mais le bruit la suivait toujours, sans répondre. Elle commença a avoir un peu peur, alors elle alla plus vite, de plus en plus vite jusqu'à ce que son rythme soit proche d'une course d'endurance. Elle se prit les pieds dans quelques branche, trébucha, se cogna. A son passage des vingtaines de papillon doré portèrent des buissons et volèrent tous en cœur pour aller en contre sens du passage de la jeune fille. C'est alors qu'elle aperçut la sortit de la forêt, en fin de compte elle n'était pas si grande que sa cette forêt ! Elle sortit de la forêt, il faisait bien sombre... Elle recula, marchant en contre sens de la d'où elle venait et vit enfin ce bruit qui la terrifié tellement : un Ebrom qui éclairait un peu l'endroit grâce a sa petite lanterne frontale.
* Bon il a pas l'air trés dangereux non plus celui la, même si il a une drôle d'allure...*
" Coucou petit ! Viens..."
Elle approcha sa main et le Ebrom eu une réaction un peu brusque, ce qui fut trébuché Anémine en arrière. La jeune femme se cogna contre quelques choses. Elle se retourna et la surprise ! Un immense muraille en pierre clair, légèrement rouge... Le Ebrom semblait bien aimé la jeune fille et vint a coté d'elle pour l'éclairer. Cela fit sourire Anémine. Elle se leva, et décida de longer la muraille. Le Ebrom resta en arrière et Anémine pensa qu'il ne l suivrait plus. Alors elle se retourna lui dit au revoir de la main et continua a avancer caressant la muraille pour ne pas s'en éloigner. Puis dans un grincement aigüe le Ebrom rejoint la jeune fille pour l'éclairer dans son voyage.
Anémine allait bientôt découvrir l'entrée de la cité et la si grande porte dont Emilia lui avait parler... |
| | | Invité | |
| Sam 25 Avr 2009 - 19:04 | |
| -> Réunion au Sommet; Les Enfers [Juste avant de rp, je tiens à te dire que mon personnage est un peu schyzo, il parle de lui à la première personne du pluriel (nous)] Tous des incapables et des laideurs animalières ! Entre les Semis-Moitiés (Drewoor) et les catins (incubes), la Fée avait détesté la réunion qui s'était déroulée dans les enfers. Ca voulait planifier la destruction de la cité, ça ? Avec aucune Bistre dans les rangs ou à sa tête ? Les femmes démons étaient toutes des putains qui s'amusaient dans les bordels quand elles ne se gavaient pas d'alcool. Le seul asexué présent, le Haut-Roi ou un truc dans le genre, lui, s'était quelqu'un avec un peu plus de classe - non pas que Tarna ne lui accorda plus d'importance que celle d'un cancrelat, non non - mais au moins, il allait directement au but, il ne parlait pas de façon sybilique, ne faisait pas d'introduction à chacune de ses plaidoyers...
Enfin, bref. Tarna était actuellement sur le chemin du "retour", vers la cité. Avant d'être conseillère des enfers, elle était gardienne de la cité, et avait donc son tour de garde à prendre, sans compter les heures de formation de sa sentinelle à elle - qui était morte il y a peu, il paraît... Et, cette nuit-ci, c'était à elle de vérifier les entrées et les sorties de la cité, et de faire des rondes dans les ruelles et sur les murailles. Séparer les ivrognes et réprimander les enfants qui fuguent, en voila une bien belle façon de vivre...
Elle arriva enfin à la grand porte, ayant longé sur des kilomètres la muraille, lorsqu'un Ebrom lui frôla les cheveux. Pour épuiser sa rage, elle tendit une main vers lui et l'annihila de la surface de cette planète en le noyant de lumière. Bah oui... La meilleure façon de tuer une créature qui se nourrit de ténèbres et d'ombres, c'est de la gaver de rayon solaire ! La pauvre petite créature s'effondra sur elle-même en produisant un piaulement tout bonnement désagréable aux oreilles d'une Aera aveugle.
Elle ricana.
Le visage entouré de ses bandes, mais connaissant la route entre les monts décharnés et la cité par coeur, la fée n'avait pas fait l'effort d'étendre autour d'elle sa toile d'air, sorte de longs fils invisibles, pareils à ceux d'une araignée, qu'elle jetait devant elle pour éviter les obstacles. Mais, maintenant que la Marquée était près de l'Emmuraillée, il fallait qu'elle déroule la bobine ~
C'est alors que sa trame s'étirait qu'elle perçut un mouvement. Un visiteur ? En pleine nuit ? Si c'était un démon, il devrait avoir une bonne raison, et si c'était un habitant, elle lui ferait passer l'envie de se promener à l'extérieur de la cité en pleine nuit.
D'une voix sûre, la Fée lança : " Qui vive ? "[j'ai un peu trop de travail pour faire plus long, j'espère que tu m'excuses] |
| | | Invité | |
| Dim 26 Avr 2009 - 7:35 | |
| "Hey ou vas tu ? Reviens...."
Le petit Ebrom qui suivait Anémine dans sa quête s'avança bizarrement tout d'un cou en avant, a tel point que la jeune fille ne discerner plus que très infiniment la lumière de sa petite lanterne dans la nuit. Soudain, un rayon de lumière se fit voir au loin, puis un sifflement aigüe, a faire glacer le sang... Ebrom était mort, et Anémine frissonnait a l'idée de croisé son meurtrier... Elle s'arrêta un instant, histoire d'essayer d'apercevoir ce mystérieux inconnu qui se permettait d'enlever la vie a un malheureux animal n'ayant rien demander... Mais elle n'y voyait absolument rien ! Elle décida d'avancer, doucement, tout doucement... Il aurait été mille fois plus prudent et intelligent de rester en arrière, mais la curiosité de la jeune fille était bien au dessus de cela... Il faillait qu'elle sache... Elle rampait donc au pied de la muraille, n'apercevant même pas la silhouette de cet inconnue. Arrivé a hauteur du Ebrom elle crût que la personne était surement partit... Bizarre quand même. Elle se leva pour rejoindre le malheureux Ebrom qui l'avait suivit et éclairé un bon moment de sa quête. C'est entre autre grâce a lui qu'elle avait trouvé la muraille ! Même si ce n'avait été qu'un pure hasard ! Mais soudain...
" Qui vive ? "
Une femme, c'était donc une femme. Elle avait une voix assuré, sûre d'elle. Une voix qui ne rassurait pas du tout Anémine... Que faire, que faire... Essayer de partir en courant... Non, Anémine ne courant pas trés vite elle se serait vite fait rattraper et elle n'avait pas envie de finir a terre. Ou alors, ne plus bouger, de pas répondre... Pas super non plus comme idée, a part énerver son interlocutrice cela n'aurait pas servit a grand chose ! Bon, alors il fallait engager la conversation. Elle se baissa et ramassa le Ebrom a terre, il fallait trouver un moyen de partir d'ici rapidement. Pour cela il fallait trouver un petit mensonge, pas trop gros pour rester crédible mais assez pour pouvoir s'enfuir d'ici vite fait ! Surtout, garder un ton sobre, ne pas avoir la voix qui trembe, respirer... Et c'est partit : " Bonsoir, excusez moi je viens d'arriver en ville et ne trouvant pas la porte j'ai attacher cet Ebrom a une corde pour qu'il m'éclaire le chemin mais apparemment votre lumière est plus forte que la sienne ^^'. Je vais le mettre de côté et reprendre mon chemin. "
La jeune fille espérait que tout cela avait été crédible, mais malheureusement même elle aurait eu du mal a y croire... Elle était donc la, debout avec la créature inerte dans ses bras... Néanmoins, cette étrange femme ne la connaissant pas elle pensait que tout irais bien et qu'elle ne remarquerais pas le petit manège de l'Ondine. Malheureusement les bruit de la nuit n'était pas avec elle et tout les craquement, les bruit d'animaux sauvages, les hurlements... De plus, au loin derrière elle s'étirait la grande forêt qu'elle venait de traverser. Elle se doutait qu'a travers ses bois devait se trouver des animaux plus dangereux que des Noname, des papillons dorée ou encore des Ebrom. Un air de paranoïa flottait dans l'air, légèrement mais augmentait a chaque seconde qui se déroulait en compagnie de cette sombre femme. Enfin, Anémine ne pouvait pas voir le visage de son interlocutrice et ce mystère restait cependant un peu angoissant. Tout sa se mélanger pour donner des frissons a Anémine qui puisait toute son énergie a ne pas faire dresser ses nageoire sur ses avant bras...
* Faites qu'elle me laisse partir vite, pitiéééééé....* |
| | | Invité | |
| Lun 27 Avr 2009 - 16:04 | |
| [ Je suis au cyber, et je n'ai rien de mieux à faire, donc, autant en profiter pour te répondre ! Au passage, j'ai choisis un poste avec un clavier super compact, au lieu d'appuyer sur retour, j'appuie sur retour au début de la phrase. Si y'a des fautes, pardonne moi ~] Ca puait la peur, et c'était délicieux. Devant la Fée se trouvait une jeune fille, à l'odeur, un être de la mer, du genre elfique ou nymphe. Et très très jeune. Rien de bien intéressant en sommes, ni rien de particulièrement nuisible pour la chasse. Tarna se demandait même si la petite fille, si insignifiante, avait déjà connu le goût salé de ce qui n'était pas l'océan. L'iode lui collait aux narines, devenant peu à peu désagréable. D'un sifflement, la Sans-aile coupa le son silence pesant qui s'était installé, un doux sourire de pure méchanceté affiché sur les lèvres." Quelle chance, nous sommes justement Gardienne de la Cité. " Sa voix exultait l'assurance et l'estime de soi. La fée transpirait ce mépris inhumain propre aux filles de sa race. N'importe quelle personne saine d'esprit aurait prit peur face à son ton, s'il n'avait jamais rencontré auparavant de fée Mystérieuse.
Sa langue claqua sur son palais. D'un pas, Tarna s'approcha de la jeune fille qu'elle percevait maintenant au travers de ses fils de vent, de sa trame d'air. Pas très grande, mais d'une indéniable beauté - pour qui aime les femmes au berceau. Elle ne ressemblait pas à une elfe, c'était donc une nymphe ou alors, une humanoïde bizarre capable de se transformer en autres choses. La fée prit bien le soin de l'inspecter, elle se refusait de parler ou d'adresser le moindre signe d'existence aux hybrides et autres races capable de se transformer en animaux. A ses yeux, il n'était rien de plus laid qu'une femme avec des cornes. Ou alors, peut(être une femme plus belle qu'elle, mais cela, elle ne l'avait jamais rencontré." Laisses-nous te guider jusqu'à la grande porte, nous vérifierons ainsi si tu as le droit de fouler le sol de ces terres. "La menace était au delà de l'implicite : oui, disait-elle, si tu n'es pas une élémentaliste, je me ferai un plaisir de te détruire telle une vulgaire mouche, ou comme cet Ebrom puisque tu l'aimes tant. Mais la fée ne le dit pas à voix haute, laissant le soin à sa bouche de souligner, par un sourire malicieux.
Le tissu de sa robe émit un délicat bruit de frou-frou lorsque la Sans-Aile précéda le pas à la jeune fille, frôlant de ses longs doigts de harpiste la pierre rouge sombre de la muraille. De la poussière se décolla, dansant un instant dans la nuit velouté. Les étoiles piquetaient le ciel. Ah, se dit la fée, voila une bonne nuit pour tuer des petites sottes ~ |
| | | Invité | |
| Lun 27 Avr 2009 - 17:19 | |
| La situation devenait un peu terrifiante. Dans la voix de la femme sonnait comme un air de cruauté, comme un amour de la mort, de la destruction... Elle se disait gardienne de la cité mais cela était ce vrai ? Anémine sentait un léger souffle autour d'elle, surement le vent mais elle en doutait. Si il s'agissait d'un piège, la jeune fille n'aurait qu'a courir, courir trés vite mais cela s'était tout de même dangereux... Elle douta, mais Tarna commença a avancer lui avançant le pas. Anémine sentait qu'elle n'avais pas intérêt a l'énerver... Elle la suivi donc, d'un pas peu rassurer... Sa première impression a Elament était plutôt mitigé, entre le peur et l'impatiente de rentré dans ses murs. La jeune Ondine -enfin, jeune pour sa race- avait envie de lancer la conversation, mais que dire face a un être si curieux ? De plus ses yeux commençait a s'habituer a l'obscurité de la nuit, et elle apercevait les traits de la femme, malicieux apparemment, et terrible aussi... Bon elle se lança a dire quelques chose, car cela faisait maintenant quelques minutes que Anémine suivait Tarna, le Ebrom inerte toujours sérré dans ses bras.
"Euhmmm.... Je viens pour suivre des cours sur l'eau... Vous savez comment ça se passe ?"
Elle se douta que l'étrange gardienne de la cité trouverais cela peu intéressant... Néanmoins, trop curieuse surement, elle continua a parler, attendant toujours des réponses, mais il s'avairait que son interlocutrice restait froide envers elle... Et puis, sa voulais dire quoi : " Laisses-nous te guider jusqu'à la grande porte, nous vérifierons ainsi si tu as le droit de fouler le sol de ces terres. ". Le droit de fouler ces terres... Que faudrait t'il faire pour pouvoir rentré en ces murs ? Des épreuves ? Elle esperait qu'il ne faudrait pas montrer ses capacité, car en absence de son éléments a porter, Anémine restait presque incapable d'utiliser la magie élémentaire de l'eau... Et, cette dame, avait elle un éléments ? Elle n'osait vraiment pas demander... Plus elles avançait dans la nuit, accompagné des murs pâle des murailles entourant la ville, plus son cœur battait encouragé par l'impatiente de rejoindre la porte et la peur de tomber dans un piège... Quand soudain une forme se fit voir au loin, l'ombre de la porte de la cité... Anémine ne put s'empêcher de lacher un soupir...
"On y... est ... ?" |
| | | Invité | |
| Dim 3 Mai 2009 - 22:38 | |
| Oui, elles y étaient. Etait-elle sotte, ou aveugle, ou stupide pour ne pas voir l'immense porte sur laquelle luisaient doucement des morceaux de pierre taillés de formes différentes ? Un magnifique saphir représentait une goutte d'eau, taillé en marquise, un émeraude d'une étonnante pureté symbolisait la terre, sculptée de la forme d'une feuille, un triangle de diamant représentait l'air, tandis qu'une rubis éclatant, sous forme de flamme, incarnait le feu. La fée claqua de la langue à chacune des questions de la jeune fille, méprisant son intolérable curiosité. Ne pouvait-elle pas se contenter d'observer et se taire, tout bonnement ?
D'un geste délié de la main, la Fée posa le bout de ses doigts sur la pierre précieuse représentant l'air, le triangle de diamant. Celle-ci scintilla quelques instants, et la réalité sembla se troubler. Comment décrire la sensation du franchissement de la grande porte de la cité ? Les mots, seuls, ne suffisent pas. c'est comme embrasser l'hiver lui-même, ou épouser de ses bras le corps longilline du dieu Aéra lui-même. Juste un soupir, presque rien, le temps de franchir ce bois solide mais pourtant d'une extrême fragilité. Qu'ils étaient magnifiques les sorts qui avaient servit à cet ouvrage, qu'ils étaient puissants aussi : seuls les élémentalistes pouvaient passer la porte, envoyant les Sans-Dons et les Démons voler quelques mètres plus loin. Les maîtres Elémentaires des anciens temps possédaient une telle maîtrise qu'aujourd'hui, seule une poignée de personne leur arrivaient à la cheville. Tarna savait, en son for intérieur, qu'elle les égalait, sinon qu'elle les dépassait tous jusqu'au dernier.
Une fois le vertige franchit, une fois la réalité remise à sa place, il ne restait plus de l'autre côté de la porte qu'une avenue rectiligne, menant directement à l'Ecole, en passant par la grande place de la fontaine Cryselle. La rue était déserte, même de loin, de très loin, se faisait entendre le murmure délité d'un vacarme étouffé : quelques ivrognes se disputant à la sortie d'un bar, probablement. La Fée devrait résoudre se problème après. Châtier les faibles, voila ce qui lui plaisait dans ce "travail". Elle leva son visage aux yeux bandés vers le ciel, tendant ses fils d'Air pour percevoir le moindre mouvement, mais rien ni personne n'assistait de près ou de loin à la scène, elle se retourna, soulevant sous son talon un peu de poussière. Le sol, quoi que dallé de pierre, portait ces traces d'humanité - sales - qu'un bon coup de balais n'aurait su effacer.
De l'autre côté de la porte, Tarna savait la jeune fille qui cherchait comment faire : la Grande Porte de la Cité possédait ainsi un double sortilège. Des gens qui venaient de l'extérieur, seuls les élémentalistes pouvaient passer, des gens qui se trouvaient à l'intérieur, tous pouvait voir à travers le bois ce qui se passait dehors. Mais la Fée elle-même ne pouvait voir à travers la porte, ses fils d'air s'arrêtant contre la surface impalpable. Elle soupira, croisa les bras et attendit que l'autre petite idiote dépourvue de cervelle comprenne le mystère simple du passage dans la cité. Et si elle n'y parvenait pas... mhh, la fée se ferait un plaisir de la corriger. |
| | | Invité | |
| Sam 9 Mai 2009 - 13:15 | |
| De l'autre coté de la porte, l'angoisse d'Anémine montait petit a petit. La jeune fille regardait les symbole dessiner sur la porte avec admiration comme s'il s'agissait d'une collection de pierre précieuse ancienne sur lesquelles poser la main serait un grand honneur. Et sa l'était... Les quatre cristaux coupé l'obscurité de la nuit, rendait cette dernière plus belle encore que si un milliard d'étoile s'y trouvais et formaient des dessins de toutes les couleurs. Anémine s'approchait doucement de la porte, sa main tremblait comme des feuilles morte prête a se décrocher lors d'un vent d'automne. Ses jambes se faisaient fébriles et comme attirer par une énergie magnétique ne pouvait s'arrêter d'avancer près de la porte de la cité. Sa première entré a Elament serait un moment a jamais gravé dans sa mémoire. Ses sentiment se mélanger en elles, créant une sorte de salade composé de chose bonne et d'autres que l'on aimerait pouvoir enlevé sans néanmoins jamais réussir a se défaire de leurs goût.
*Bon, c'est partit...* Se dit l'Ondine.
Elle leva sa main vers le signe qu'elle pensait être celui de l'eau. Ce ne pouvait être que celui la, de part sa forme, sa couleurs et l'énergie qu'il envoyait a la jeune fille. Elle laissa sa main devant un instant, ferma les yeux, respira fort, le toucha. Quelques chose lui dit en elle qu'il fallait a présent avancer. Alors, toujours les yeux fermé, elle fit un pas, deux pas, sentit autour d'elle une sorte de champs magnétique étrange comme si elle passait a travers une matière solide. Elle ouvrit les yeux, l'entré de la cité. Elle croyait rêver, même de nuit, Elament avait l'air vraiment... magique ! Elle avança encore afin de s'éloigner du champ magnétique qui la retenait. Mais elle se demandait néanmoins comment elle avait pu passer a l'intérieur de la cité sans même que les porte ne s'ouvre... Cela donnait néanmoins une explication a la soudaine disparition de Tarna... Anémine laissa sortir un soupir de stupéfaction et de soulagement. Son coeur battait la chamade, mais face la froideur de Tarna - Qu'elle avait a présent rejoint en traversant la grande porte - elle n'osait pas montré son enthousiasme... Elle lança un autre regard autour d'elle. Plus troublé cette fois ci. Il y avait de nombreuse direction possible depuis l'endroit ou elle se trouvait, cela ressemblai entre autre a de nombreuse tentacule menant chacune, sûrement, a différentes destination nouvelles a découvrir qui emmènerais la jeune fille dans des aventures qu'elle n'aurait même jamais imaginé... Anémine se tourna vers la gardienne de la cité, trés timidement, cette dernière était intrigante et forçait au respect.
"Excusez moi... Je suis venue pour étudier et j'ai vraiment ^^hâte de découvrir l'école, seriez vous m'indiquer le chemin... s'il vous plait ?"
Mélanger entre l'excitation d'être enfin arriver après des semaines de marche, et l'envie de vite se séparer de Tarna, Anémine ne regardait pas trop son interlocutrice et espérait vraiment que cette entrevue se terminerait vite, et dans les meilleurs condition possible de préférence... |
| | | Invité | |
| Dim 10 Mai 2009 - 17:14 | |
| Mince, elle était passée. Une vague de déception passa sur la Fée, qui l'étonna d'une part, et l'énerva de l'autre. Apparemment, sa présence accrue auprès des démons l'avait dotée d'un sadisme inhabituelle, même pour une fée mystérieuse. Depuis quand se satisfaisait-elle de la douleur des autres ? Un ricana mentalement, depuis toujours bien sûr ! Encore plus lorsqu'il s'agissait d'une autre femme, ou d'une femme en puissance. Ce qui l'énervait principalement, c'était qu'elle aurait parié que la gamine n'était pas une élémentaliste, et elle se serait alors fait un plaisir de l'envoyer voler au loin, avec l'espoir immense que son atterrissage la transforme en flaque de chair sanguilonante.
La langue de la fée claqua d'impatience, tandis que la jeune fille observait les choses autour d'elle. Là, une rue immense, là, une avenue large, là, l'enseigne d'un commerce. Au sol, il restait des rebuts de la journée, car à l'entrée d'Elament se trouvait un marché quotidien, sur lequel n'importe qui pouvait s'improviser marchand, ou voleur.
Tarna, à la question de la jeune fille, leva la main en direction de l'artère la plus large, l'avenue principale de la cité, qui reliait directement l'école à la porte de la cité, et vice versa.
" Prends cette route, au bout, tu trouveras un portail, passe dessous, montes les marches et frappes à la porte, le gardien de l'école devrait t'ouvrir. Si tu ne sais pas où dormir, cherches les dortoirs, les vagabonds ne sont pas appréciés dans les rues, sans oublier que les vampires rôdent parfois. " Sur ces derniers mots, sa bouche s'élargit d'un sourire, montrant ses dents.
Sans attendre d'hypothétiques remerciements, la fée quitta la gamine qui sentait le sel, en direction des cris des ivrognes. |
| | | Invité | |
| Dim 10 Mai 2009 - 19:52 | |
| A la réponse de Tarna, Anémine regardait les rues sombres qui partait du centre, ainsi que les quelques déchet qui jonchet le sol, tout près de la porte. Elle se demandait si la route était longues car elle commençait a etre vraiment fatigué. De plus, écoutant les paroles de la fée sans la regarder, peut être par timidité, elle était soulager de savoir ou dormir. Néanmoins elle se demandait si les dortoir de l'école étaient payant et si oui, si il étaient cher... Car Anémine n'avait pas un sous en poche ! D'ailleurs il faudrait vite remédié a cela en cherchant un petit travail... Mais quoi, sa serait déjà plus dure a trouver... Le temps qu'elle tourne la tête, Tarna avait disparue, comme volatilisé a travers les aires. Allait elle la revoir un jour, elle ne l'espérait pas vraiment car le sinisme de la femme était troublant, comme face a une personne supérieur, plein de charsime. Et Anémine n'était pourtant pas de nature timide et a se laisser marcher sur les pieds, mais le décors, la nuit et fatigue jouait surement aussi beaucoup... Anémine se lança donc sur le chemin de l'école d'Elament espérant trouver une chambre, et elle était loin de se douter de la nuit qu'elle allait passer. Une page de sa vie s'était tourner en passant la porte, et elle commençait a s'en rendre vraiment compte. *Aller, maintenant Anémine, tu es seule face a toi même. C'est partit.*Et c'est un pas devant l'autre que l'Ondine repris sa route, mais cette fois, a l'intérieure des grandes murailles de la cité. Suite -> https://elament.forumsrpg.com/le-lac-yuta-f35/entre-curiosite-et-deception-mega-libre-t10095.htm |
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